Toutes les œuvres de Shank Arte
Tromso, Norvège • 3 œuvres
Voir toutEros et Thanatos série A • 2 œuvres
Voir toutC'est donc très personnel et pas volontairement provocant.
« Ce n'est pas en regardant la lumière que l'on devient lumineux mais en plongeant dans son obscurité ». de C.G.Jung .
Dans cette série, il existe deux faces de la même pièce : être dans le contrôle (domination) ou être à la merci (Abandon de soi).
S’abandonner à la mort : la mort est cette femme fatale, à la fois mortifère et désirable. J’ai traité ce sujet sous forme photographique.
Hors série • 8 œuvres
Voir toutCinéma • 2 œuvres
Voir toutUne simple image peut déclencher l'envie de la dessiner en la transformant plus ou moins, que j'aime le film ou pas.
Super-héros / victimes • 4 œuvres
Voir toutL’idée générale (notamment du tryptique autour de Peter Parker : Larme araignée - Ikbal le tisseur - Le tisseur de liens) est de sensibiliser sur la manière de prendre de soin de l‘enfant. L’enfant réel, l’enfant qui est en nous, l’enfant qui est en eux, les super-héros. Je me sers de leur mythologie car ils ont été des enfants dont peut-être «on» n’a pas su prendre soin. Par contre, une fois adulte, eux prendront soin, de nous (ou de l’enfant qui est en eux).
Il est également question de réalité comme avec Ikbal Masih, devenu un véritable enfant héros.
L'animus ou le masculin fantasmé • 3 œuvres
Voir toutPortrait mahorais • 6 œuvres
Voir toutPetit à petit, j’ai découvert que le manque d’éducation des femmes les privait d’une indépendance salvatrice dans leur relation de couple (d’autant qu’elles ont implicitement à charge les enfants ). Un certain nombre de femmes subit donc la polygamie de monsieur (dans un contexte insulaire, il est inutile de vouloir s’en cacher).
Les feuilletons indiens à l’eau de rose ont d’ailleurs un franc succès là-bas.
L’islam très présent, n’est pas fanatique, c’est un islam à l’africaine. Il existe bien sûr quelques orthodoxes.
J’ai vécu cinq ans à Mayotte, en tant que pharmacien.
Mayotte est en construction littéralement et en reconstruction sociétale. Elle attire les clandestins des îles voisines, ce qui génère un climat d’insécurité selon l’heure de la journée et la zone géographique.
Rencontre de l'anima et de l'animus version adulte • 5 œuvres
Voir toutRencontre de l'anima et de l'animus • 9 œuvres
Voir toutBharat • 7 œuvres
Voir toutEn 2005, je me suis rendu, avec un ami, en Inde. Ce voyage a ceci de particulier qu’il m’a (r)amené à la terre de mes ancêtres paternels . Mon arrière-arrière grand-père avait quitté son pays pour l’Ile Maurice.
C’est en cherchant une part de mon identité dans ce sous-continent, que je me suis mis à assembler la mosaïque de portraits qui compose l’Inde, à mon sens. J’ai parcouru un mois ce pays, sans jamais me poser réellement. Je l’ai parcouru dans les grandes lignes. J’ai voulu saisir les visages qu’il me montrait : beaux ou laids, ainsi que les images, symboliques ou anodines. Mumbhaï, Agra, Khajuraho, Varanasi, Kolkata, Puri, Chennaï et Cochin ont été des étapes importantes de mon voyage. Le temps m’a manqué pour m’arrêter à Delhi, Gôa ou Bangalore.
La vie est un défilé d’images inégales que le hasard place devant nous. Je vous propose de partager celles que j’ai pu capturer lors de ce voyage empreint de quête identitaire.
J’ai commencé la photographie en 1998, avec un Pentax Z 10, puis l’année suivante j’ai appris le retirage et le développement N&B au laboratoire photo de ma faculté de pharmacie. En 2001, je suis devenu adhérent à l’association photo Declicmodels, ce qui m’a permis de me former à la prise de vue en studio, au côté de photographes tels que Gérard Vallet ou Olivier Saint-Laurans. Vers 2006, j’ai privilégié le numérique, avec un Canon G9, sans arrêter l’argentique. Je suis même passer au moyen format avec un Diana vers 2009. Vers 2011, j'ai fait l'acquisition d'un Nikon D7000 avec lequel j'ai réalisé ma série "Portraits mahorais", jusqu'en 2017 où par manque de temps, j'ai privilégié la peinture à la photo. Depuis 2021, je ne shoot qu'avec un iPhone 12 pro et mon Diana.