Pierre Duquoc
Pierre Duquoc est un photographe attiré par le montage, le trucage, l’art de rendre réel ce qui ne l’est pas, d’ouvrir des fenêtres sur l’imaginaire. Ses premiers travaux sont restés ancrés dans le réel, grâce aux outils numériques, il a rapidement orienté son travail vers le photo-montage.
La série de photos des « Minipéripéties » se veulent comme des instantanés à l’humour absurde, reflétant souvent en filigrane des situations vécues.
Pierre Duquoc est un artiste autodidacte, il vit et travaille à Athis-Mons (France). Il a participé à de nombreuses expositions. Sa série « Les Minipéripéties », exposée à plusieurs reprises, lui a valu une nomination au prix Arcimboldo 2011 organisé par l’association « Gens d’image » et la fondation « Swiss Life ».
Découvrez les œuvres d'art contemporain de Pierre Duquoc, parcourez les œuvres d'art récentes et achetez en ligne. Catégories: artistes contemporains français. Domaines artistiques: Photographie, Arts numériques. Type de compte: Artiste , membre depuis 2017 (Pays d'origine France). Achetez les dernières œuvres de Pierre Duquoc sur ArtMajeur: Découvrez de superbes œuvres par l'artiste contemporain Pierre Duquoc. Parcourez ses œuvres d'art, achetez des œuvres originales ou des impressions haut de gamme.
Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
Illustrations • 13 œuvres
Voir toutAXI • 7 œuvres
Voir toutNo(s) Déchet(s) • 15 œuvres
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Au début de l’été 2021, Christophe Menuel, directeur de la Maison de l’environnement d’Arcueil, rayonnant [...]
Au début de l’été 2021, Christophe Menuel, directeur de la Maison de l’environnement d’Arcueil, rayonnant sur l’ensemble du territoire Grand Orly Seine Bièvre, me proposait de produire un travail photographique sur le thème des déchets, afin d’illustrer une série d’évènements que sa structure allait organiser dans les prochains mois.
La thématique était large et je bénéficiais d’une « carte blanche » quant à la manière de la traiter.
Après quelques recherches, je constatais qu’en photographie, les déchets sont souvent abordés sous l’angle documentaire (la filière de traitement, les acteurs du secteur…).
Quelques photographes les mettent en scène de manière plus originale et particulièrement visible, jouant sur les effets de l’accumulation ou de la collection.
J’imaginais alors de travailler à contre-sens de toutes ces visions où le déchet est omniprésent dans l’image.
Et si, pour parler du déchet, une autre approche ne serait-elle pas au contraire de l’effacer à notre vue ? Les absents ont toujours tort en somme, et l’on ne parle jamais autant du sujet que lorsqu’il n’est pas là !
Nous sommes tellement habitués à la présence du déchet qu’en somme, nous ne le voyons (presque) plus.
Dans chaque geste du quotidien, nous utilisons ce qui deviendra du déchet sur une échelle de temps très variable, d’ici quelques heures (l’emballage alimentaire), jusqu’à quelques années (notre voiture).
Ces objets, déchets en devenir, se soustraient pourtant facilement à notre regard en tant que tels.
Quelque part, ils sont là pour nous servir, mais ils sont plus difficilement présents dans nos réflexions en tant que matières à jeter, trier, récolter, traiter ou recycler.
Afin d’illustrer cet antagonisme, je décidais donc de les mettre en scène sans les faire voir (en recourant aux techniques de photomontages et de modélisation 3D), d’essayer d’aboutir à ce que le lecteur se dise « il y a un truc qui cloche dans cette photo… il manque quelque chose », et qu’au bout du compte, le moins visible devienne le plus visible.
Axée sur les divers gestes du quotidien d’un foyer, la série ne porte pas de sens critique ou moralisateur sur nos habitudes, mais propose simplement d’inviter à la réflexion sur les notions de production, traitement et recyclage des déchets (peut-on tout recycler, dans quelles conditions, à quels coûts financiers et environnemental, indéfiniment ? ).
Elle porte enfin en elle l’idée que le meilleur de nos déchets est celui qui n’existe pas.
Le titre de la série était donc trouvé : « NO(s) DECHET(s) !».
La thématique était large et je bénéficiais d’une « carte blanche » quant à la manière de la traiter.
Après quelques recherches, je constatais qu’en photographie, les déchets sont souvent abordés sous l’angle documentaire (la filière de traitement, les acteurs du secteur…).
Quelques photographes les mettent en scène de manière plus originale et particulièrement visible, jouant sur les effets de l’accumulation ou de la collection.
J’imaginais alors de travailler à contre-sens de toutes ces visions où le déchet est omniprésent dans l’image.
Et si, pour parler du déchet, une autre approche ne serait-elle pas au contraire de l’effacer à notre vue ? Les absents ont toujours tort en somme, et l’on ne parle jamais autant du sujet que lorsqu’il n’est pas là !
Nous sommes tellement habitués à la présence du déchet qu’en somme, nous ne le voyons (presque) plus.
Dans chaque geste du quotidien, nous utilisons ce qui deviendra du déchet sur une échelle de temps très variable, d’ici quelques heures (l’emballage alimentaire), jusqu’à quelques années (notre voiture).
Ces objets, déchets en devenir, se soustraient pourtant facilement à notre regard en tant que tels.
Quelque part, ils sont là pour nous servir, mais ils sont plus difficilement présents dans nos réflexions en tant que matières à jeter, trier, récolter, traiter ou recycler.
Afin d’illustrer cet antagonisme, je décidais donc de les mettre en scène sans les faire voir (en recourant aux techniques de photomontages et de modélisation 3D), d’essayer d’aboutir à ce que le lecteur se dise « il y a un truc qui cloche dans cette photo… il manque quelque chose », et qu’au bout du compte, le moins visible devienne le plus visible.
Axée sur les divers gestes du quotidien d’un foyer, la série ne porte pas de sens critique ou moralisateur sur nos habitudes, mais propose simplement d’inviter à la réflexion sur les notions de production, traitement et recyclage des déchets (peut-on tout recycler, dans quelles conditions, à quels coûts financiers et environnemental, indéfiniment ? ).
Elle porte enfin en elle l’idée que le meilleur de nos déchets est celui qui n’existe pas.
Le titre de la série était donc trouvé : « NO(s) DECHET(s) !».
Les Visiteurs • 2 œuvres
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Ils visitent des expositions ou des lieux culturels, et deviennent eux aussi partie intégrante du spectacle.
Ghosts • 63 œuvres
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Pour un photographe il est souvent paradoxal d'accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos [...]
Pour un photographe il est souvent paradoxal d'accepter et encore plus de faire en sorte que ses photos soient floues.
Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions.
Pas les plus douloureuses, telles que la perte d'un proche, mais plutôt celles que j'appellerai les petites disparitions du quotidien.
Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs.
J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là.
Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire.
A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit.
Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien.
J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets.
Dans la série « Ghosts », j’ai choisi de travailler sur le thème des disparitions.
Pas les plus douloureuses, telles que la perte d'un proche, mais plutôt celles que j'appellerai les petites disparitions du quotidien.
Les instants que notre cerveau capte, emmagasine dans notre mémoire, pour pouvoir ensuite les transformer à sa guise, dans ce que nous appelons nos souvenirs.
J’ai senti que les mouvements des artistes, musiciens, danseurs, chanteurs, circassiens et autres, sont particulièrement propices à ce petit jeu là.
Ils s’effacent peu à peu derrière leurs instruments, leurs prestations, au profit des traces qu’ils vont laisser dans notre mémoire, et des souvenirs que notre inconscient va produire.
A la fin du spectacle, leur petite disparition nous aide à peupler, hanter notre esprit.
Le jeu ne s’arrête pas à la scène du spectacle, mais s’opère aussi parfois à l’occasion d’autres moments fugaces du quotidien.
J’ai poussé le paradoxe encore plus loin en faisant non pas des clichés flous des le départ, mais, comme l’aurait fait notre inconscient, en recréant le flou à partir de clichés nets.
The I.B.I Project • 31 œuvres
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Le I.B.I (Ink Bubbles Ice) Project est un projet photo où l'abstrait né de clichés macro de bulles de [...]
Le I.B.I (Ink Bubbles Ice) Project est un projet photo où l'abstrait né de clichés macro de bulles de savon, colorées à l'encre aquarelle, mêlées ou posées pour certains clichés sur de la glace.
Chacun pourra y voir ce que son esprit viendra plaquer sur ces images : l'infiniment grand, l'infiniment petit, des mondes fantasmagoriques, des visages ou des monstres, des rêves ou des cauchemars...
Chacun pourra y voir ce que son esprit viendra plaquer sur ces images : l'infiniment grand, l'infiniment petit, des mondes fantasmagoriques, des visages ou des monstres, des rêves ou des cauchemars...
Nights • 9 œuvres
Voir toutNature • 29 œuvres
Voir toutPortraits • 5 œuvres
Voir toutUrban & people • 48 œuvres
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Reconnaissance
Artiste émergent
La carrière de l'artiste est prometteuse
La carrière de l'artiste est prometteuse
Récompensé
L'artiste a remporté des prix et des récompenses
L'artiste a remporté des prix et des récompenses
Publié dans ArtMajeur Magazine
L'Artiste a été mis en avant dans un article de ArtMajeur Magazine
L'Artiste a été mis en avant dans un article de ArtMajeur Magazine
Choix de la rédaction
Les travaux de l'artiste ont été remarqués par la rédaction
Les travaux de l'artiste ont été remarqués par la rédaction
Artiste autodidacte
L'artiste a développé sa technique de par sa propre expérience artistique
L'artiste a développé sa technique de par sa propre expérience artistique
Biographie
Pierre Duquoc est un photographe attiré par le montage, le trucage, l’art de rendre réel ce qui ne l’est pas, d’ouvrir des fenêtres sur l’imaginaire. Ses premiers travaux sont restés ancrés dans le réel, grâce aux outils numériques, il a rapidement orienté son travail vers le photo-montage.
La série de photos des « Minipéripéties » se veulent comme des instantanés à l’humour absurde, reflétant souvent en filigrane des situations vécues.
Pierre Duquoc est un artiste autodidacte, il vit et travaille à Athis-Mons (France). Il a participé à de nombreuses expositions. Sa série « Les Minipéripéties », exposée à plusieurs reprises, lui a valu une nomination au prix Arcimboldo 2011 organisé par l’association « Gens d’image » et la fondation « Swiss Life ».
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Nationalité:
FRANCE
- Date de naissance : 1966
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Français
Evénements artistiques en cours et à venir
Pas encore de données disponibles
Influences
Pas encore de données disponibles
Formation
Pas encore de données disponibles
Cote de l'artiste certifiée
Pas encore de données disponibles
Accomplissements
Activité sur ArtMajeur
Dernière mise à jour: 13 févr. 2025
(Membre depuis 2017)
Vues image: 751 995
Œuvres de Pierre Duquoc ajoutées aux collections favorites: 1 013
Dernières Nouvelles
Toutes les dernières nouvelles de l'artiste contemporain Pierre Duquoc
Ajouté le 19 nov. 2023
Commentaires
1
Marché des Arts - Montgeron
samedi
2
décembre
2023
dimanche
3
décembre
2023
Je serai présent les 2 et 3 décembre prochains au Marché de l'Art de Montgeron.
Aux côtés d'une cinquantaine d'autres artistes, toutes disciplines confondues, j'y exposerai petits et grands formats extraits de plusieurs de mes séries de photos ou de travaux numériques.
A l'approche des fêtes de fin d'année, c'est peut être l'occasion d'offrir ou de s'offrir un tirage original en édition limitée.
Entrée libre les 2 et 3 décembre, salle l'Astral, 121 avenue de la République, 91230 Montgeron.
Salon organisé par l'association Arts et Artistes à Montgeron - AAM
Ajouté le 25 mars 2022
Exposition "Ghosts" et "Les Minipéripéties"
Châtenay-Malabry, France
mardi
29
mars
2022
samedi
23
avril
2022
Pierre Duquoc expose ses séries "Ghosts" et "Les Minipéripéties", au Pavillon des Arts de Châtenay-Malabry (92), du 29 mars au 23 avril 2022.
Vernissage le 1er avril 2022 à 19 heures.
Entrée libre.
98, rue Jean Longuet, 92290 CHATENAY MALABRY
Infos : 01.47.02.75.22
Ajouté le 28 août 2020
Rencontres Photographiques de Pont Saint Esprit
Pont-Saint-Esprit, France
samedi
26
septembre
2020
dimanche
4
octobre
2020
J'aurais le plaisir de participer aux 4èmes Rencontres Photographiques de Pont Saint Esprit (30), du 26 septembre au 4 octobre 2020.
A cette occasion, j'exposerai 10 oeuvres extraites de la série "Ghosts".
Ajouté le 29 févr. 2020
Expo "Les Minipéripéties" - "Ghosts"
Pavillon des arts et du patrimoine - Châtenay-Malabry
mardi
30
mars
2021
samedi
24
avril
2021
J'aurais le plaisir d'exposer les séries "Les Minipéripéties" et "Ghosts", au Pavillon des Arts et du Patrimoine de Châtenay-Malabry, du 30 mars au 24 avril 2021.
Vernissage, le vendredi 2 avril à 18h30.
Entrée libre.
Pavillon des Arts et du Patrimoine
98 rue Jean-Longuet, Châtenay-Malabry
Mardi : 10h-12h30 / 16h-18h
Mercredi : 10h-12h30 / 14h-18h
Jeudi : 10h-18h
Vendredi : 14h-18h
Samedi :10h-12h30 / 14h-18h
Ajouté le 4 oct. 2018
La photographie et ses dérives - Expo collective - Espace d'art CHAILLIOUX
7 Rue Louise Bourgeois, Fresnes, France
samedi
10
novembre
2018
samedi
22
décembre
2018
Exposition collective - La photographie et ses dérives
Pour sa troisième exposition, l’Espace d’art Chaillioux propose un voyage dans l’univers de la création photographique, en empruntant des chemins de traverse. Sont présentés les travaux de huit photographes qui ont une pratique non conventionnelle de leur médium, qui le détournent de son usage habituel. Ce sont quelques-unes de ces dérives – en rien exhaustives – que le visiteur est invité à découvrir à travers des travaux dont la diversité devrait le surprendre et, nous l’espérons, l’enchanter. Chacun des photographes exposés, à sa manière, réussit à arracher le médium photographique à son ghetto traditionnel de représentation prétendument objective de faits visuels, à en finir avec cette fatalité d’aliénation historique et sociale, pour, à l’instar des autres médiums plastiques, en faire un outil d’investigation et de remise en cause de notre monde.
Artistes exposés : Pierre Duquoc - Loïc Jugue - Caroline Leite - Laetitia Lesaffre - Thibault Messac - Pauline Moukoukenoff - Françoise Peslherbe - Alain Rivière-Lecoeur
Avis et commentaires
Bonjour Pierre, cela tombe bien, j'y serai aussi. A bientôt !

©2016 Pierre Duquoc
cool! smiles and terrifies at the same time!
juste dingue ! MERCI

©2016 Pierre Duquoc

©2017 Pierre Duquoc
Very fantastic Pierre! Congratulation! Kindly greetings to France

©2020 Pierre Duquoc

©2020 Pierre Duquoc

©2020 Pierre Duquoc

© Pierre Duquoc

©2020 Pierre Duquoc

©2020 Pierre Duquoc

©2020 Pierre Duquoc

©2012 Pierre Duquoc
Merveilleuse photographie. Un très grand BRAVO !!!.

©2019 Pierre Duquoc

©2019 Pierre Duquoc

©2020 Pierre Duquoc

©2019 Pierre Duquoc
Merci beaucoup Eve Lyne, j'essaie de la développer. C'est un régal à travailler !

©2019 Pierre Duquoc
J'aime beaucoup cette série de photographie consacrée aux musiciens, Pierre!

©2011 Pierre Duquoc
J'adore toutes vos Minipéripéties...un régal!

©2016 Pierre Duquoc

©2012 Pierre Duquoc
Fantastic arts ! Bravo !!! :)

©2018 Pierre Duquoc
Très belle serie le sang des fleurs ,mais pour moi le sang des fleurs est vert ...

©2018 Pierre Duquoc
Your photographs embody beauty and character.

©2018 Pierre Duquoc
Merci Eve pour votre commentaire. Votre interprétation de la série me plait bien :)

©2018 Pierre Duquoc
"Le sang des fleurs" ! Un titre formidable pour cette série de photos superbes aux lumières savamment étudiées qui font la part belle au mystère. Le sang des fleurs... le sang des femmes ? Félicitations pour cette évocation qui n'a que rarement droit de cité et que j'inscris dans ma collection "Accueillir ce qui dérange".

©2012 Pierre Duquoc
Tres belles oeuves ,felicitations
(Je ne savais pas qu'on pouvait faire de si belles choses avec du liquide vaisselle!!!!)