Nicolas Saint Gregoire
Derrière les couleurs vives et les formes épurées de ces sculptures lumineuses de plexiglass et néons, l’art de Nicolas Saint Grégoire est plus subversif qu’il n’ y paraît au premier abord.
Depuis 2007 et sa première exposition personnelle intitulée Show Me The Light, Nicolas s’évertue à briser les frontières invisibles qui isolent les arts plastiques des autres modes de création.
Ainsi en 2010 avec son exposition ArtDesign, il cherche à dépasser les frontières entre les arts plastiques et l’esthétique industrielle. Les œuvres exposées alors relèvent du répertoire du mobilier – tabourets, lustres, lampes, tables – mais sont libérées de toutes considérations fonctionnelles, économiques ou sociales inhérentes à la production de pièces de design. Le mode de présentation – une exposition dans une galerie – et le discours qui les accompagne participent à les élever au rang d’œuvres d’art à part entière.
Parallèlement Nicolas Saint Grégoire s’intéresse à une autre frontière, celle séparant les arts plastiques et la mode. C’est naturellement vers la personnalité et les créations d’Yves Saint Laurent que son regard se porte alors. Il retrouve dans la vie et l’œuvre de ce dernier une même recherche de fusion des différentes formes d’expression artistique. Ne pourrait-il en effet faire sienne cette phrase du couturier : «J'ai essayé de montrer que la mode est un art » ?
Partageant avec Yves Saint Laurent une même liberté de penser, une même élégante irrévérence envers les codes établis, Nicolas trouve dans l’œuvre du couturier une source de modèles comme autant d’échos à ses propres créations.
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robes ysl • 10 œuvres
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Biographie
Derrière les couleurs vives et les formes épurées de ces sculptures lumineuses de plexiglass et néons, l’art de Nicolas Saint Grégoire est plus subversif qu’il n’ y paraît au premier abord.
Depuis 2007 et sa première exposition personnelle intitulée Show Me The Light, Nicolas s’évertue à briser les frontières invisibles qui isolent les arts plastiques des autres modes de création.
Ainsi en 2010 avec son exposition ArtDesign, il cherche à dépasser les frontières entre les arts plastiques et l’esthétique industrielle. Les œuvres exposées alors relèvent du répertoire du mobilier – tabourets, lustres, lampes, tables – mais sont libérées de toutes considérations fonctionnelles, économiques ou sociales inhérentes à la production de pièces de design. Le mode de présentation – une exposition dans une galerie – et le discours qui les accompagne participent à les élever au rang d’œuvres d’art à part entière.
Parallèlement Nicolas Saint Grégoire s’intéresse à une autre frontière, celle séparant les arts plastiques et la mode. C’est naturellement vers la personnalité et les créations d’Yves Saint Laurent que son regard se porte alors. Il retrouve dans la vie et l’œuvre de ce dernier une même recherche de fusion des différentes formes d’expression artistique. Ne pourrait-il en effet faire sienne cette phrase du couturier : «J'ai essayé de montrer que la mode est un art » ?
Partageant avec Yves Saint Laurent une même liberté de penser, une même élégante irrévérence envers les codes établis, Nicolas trouve dans l’œuvre du couturier une source de modèles comme autant d’échos à ses propres créations.
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Nationalité:
FRANCE
- Date de naissance : 1983
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Français
Evénements artistiques en cours et à venir
Influences
Formation
Cote de l'artiste certifiée
Accomplissements
Activité sur ArtMajeur
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saint gregoire rive gauche
Galerie Stephane Olivier, 3 rue de l'universite
Pour Saint Grégoire Rive Gauche, la galerie Stéphane Olivier présente douze sculptures réalisées par Nicolas Saint Grégoire entre 2009 et 2012.
Ces œuvres sont composées de plaques de plexiglass coloré, découpées au laser et rétro-éclairées par des tubes de néons qui en amplifient la présence.
La lumière est au centre de l’œuvre de Nicolas Saint Grégoire. Que ce soit dans les portraits lumineux des débuts de sa carrière ou dans ses œuvres les plus récentes comme celles inspirées des robes d’ Yves Saint Laurent, il ne cesse d’explorer les possibilités de la lumière électrique comme matériau impalpable mais non moins essentiel à son art.
Parmi les œuvres exposées, une suite de quatre robes Mondrian – dont les modèles furent dessinés par Yves Saint Laurent pour la collection automne-hiver de 1965 – permet de fusionner les recherches de Nicolas Saint Grégoire sur la lumière et celles menées sur les couleurs au siècle dernier par l’artiste hollandais.
Dans la Robe Mondrian Ivoire, la lumière électrique donne aux couleurs une dimension supérieure. Elle y accentue l’intensité du bleu, du rouge et du jaune qui rivalisent de présence. Mais dans la Robe Mondrian 2, puis la Robe Mondrian 3, les couleurs disparaissent progressivement au profit du blanc jusqu’à la pureté virginale de la Robe Mondrian 5. Demeurent alors les halos de néons qui seuls conservent la mémoire de la structure originelle de l’œuvre.
C’est la lumière encore qui accentue les contours du corps nu de la Robe Wesselmann 2, du visage de la Robe Wesselmann 1, ou des silhouettes aériennes des deux colombes qui s’embrassent de la Robe Braque. Sous l’effet du néon les contours des motifs se redessinent, les couleurs se modifient, deviennent plus ou moins intenses selon que les plaques de plexiglass soient proches ou éloignées de la source lumineuse.
Comme en écho à l’exposition Néon, who’s afraid of red, yellow and blue ? présentée de février à mai 2012 à la Maison Rouge, Saint Grégoire Rive Gauche nous interroge sur le néon comme médium artistique.
De l’Art à la Lumière
Derrière les couleurs vives et les formes épurées de ces sculptures lumineuses de plexiglass et néons, l’art de Nicolas Saint Grégoire est plus subversif qu’il n’ y paraît au premier abord.
Depuis 2007 et sa première exposition personnelle intitulée Show Me The Light, Nicolas s’évertue à briser les frontières invisibles qui isolent les arts plastiques des autres modes de création.
Ainsi en 2010 avec son exposition ArtDesign, il cherche à dépasser les frontières entre les arts plastiques et l’esthétique industrielle. Les œuvres exposées alors relèvent du répertoire du mobilier – tabourets, lustres, lampes, tables – mais sont libérées de toutes considérations fonctionnelles, économiques ou sociales inhérentes à la production de pièces de design. Le mode de présentation – une exposition dans une galerie – et le discours qui les accompagne participent à les élever au rang d’œuvres d’art à part entière.
Parallèlement Nicolas Saint Grégoire s’intéresse à une autre frontière, celle séparant les arts plastiques et la mode. C’est naturellement vers la personnalité et les créations d’Yves Saint Laurent que son regard se porte alors. Il retrouve dans la vie et l’œuvre de ce dernier une même recherche de fusion des différentes formes d’expression artistique. Ne pourrait-il en effet faire sienne cette phrase du couturier : «J'ai essayé de montrer que la mode est un art » ?
Partageant avec Yves Saint Laurent une même liberté de penser, une même élégante irrévérence envers les codes établis, Nicolas trouve dans l’œuvre du couturier une source de modèles comme autant d’échos à ses propres créations.

saint gregoire rive gauche
Pour Saint Grégoire Rive Gauche, la galerie Stéphane Olivier présente douze sculptures réalisées par Nicolas Saint Grégoire entre 2009 et 2012.
Ces œuvres sont composées de plaques de plexiglass coloré, découpées au laser et rétro-éclairées par des tubes de néons qui en amplifient la présence.
La lumière est au centre de l’œuvre de Nicolas Saint Grégoire. Que ce soit dans les portraits lumineux des débuts de sa carrière ou dans ses œuvres les plus récentes comme celles inspirées des robes d’ Yves Saint Laurent, il ne cesse d’explorer les possibilités de la lumière électrique comme matériau impalpable mais non moins essentiel à son art.
Parmi les œuvres exposées, une suite de quatre robes Mondrian – dont les modèles furent dessinés par Yves Saint Laurent pour la collection automne-hiver de 1965 – permet de fusionner les recherches de Nicolas Saint Grégoire sur la lumière et celles menées sur les couleurs au siècle dernier par l’artiste hollandais.
Dans la Robe Mondrian Ivoire, la lumière électrique donne aux couleurs une dimension supérieure. Elle y accentue l’intensité du bleu, du rouge et du jaune qui rivalisent de présence. Mais dans la Robe Mondrian 2, puis la Robe Mondrian 3, les couleurs disparaissent progressivement au profit du blanc jusqu’à la pureté virginale de la Robe Mondrian 5. Demeurent alors les halos de néons qui seuls conservent la mémoire de la structure originelle de l’œuvre.
C’est la lumière encore qui accentue les contours du corps nu de la Robe Wesselmann 2, du visage de la Robe Wesselmann 1, ou des silhouettes aériennes des deux colombes qui s’embrassent de la Robe Braque. Sous l’effet du néon les contours des motifs se redessinent, les couleurs se modifient, deviennent plus ou moins intenses selon que les plaques de plexiglass soient proches ou éloignées de la source lumineuse.
Comme en écho à l’exposition Néon, who’s afraid of red, yellow and blue ? présentée de février à mai 2012 à la Maison Rouge, Saint Grégoire Rive Gauche nous interroge sur le néon comme médium artistique.

usine 27 paris

saint gregoire rive gauche
Pour Saint Grégoire Rive Gauche, la galerie Stéphane Olivier présente douze sculptures réalisées par Nicolas Saint Grégoire entre 2009 et 2012.
Ces œuvres sont composées de plaques de plexiglass coloré, découpées au laser et rétro-éclairées par des tubes de néons qui en amplifient la présence.
La lumière est au centre de l’œuvre de Nicolas Saint Grégoire. Que ce soit dans les portraits lumineux des débuts de sa carrière ou dans ses œuvres les plus récentes comme celles inspirées des robes d’ Yves Saint Laurent, il ne cesse d’explorer les possibilités de la lumière électrique comme matériau impalpable mais non moins essentiel à son art.
Parmi les œuvres exposées, une suite de quatre robes Mondrian – dont les modèles furent dessinés par Yves Saint Laurent pour la collection automne-hiver de 1965 – permet de fusionner les recherches de Nicolas Saint Grégoire sur la lumière et celles menées sur les couleurs au siècle dernier par l’artiste hollandais.
Dans la Robe Mondrian Ivoire, la lumière électrique donne aux couleurs une dimension supérieure. Elle y accentue l’intensité du bleu, du rouge et du jaune qui rivalisent de présence. Mais dans la Robe Mondrian 2, puis la Robe Mondrian 3, les couleurs disparaissent progressivement au profit du blanc jusqu’à la pureté virginale de la Robe Mondrian 5. Demeurent alors les halos de néons qui seuls conservent la mémoire de la structure originelle de l’œuvre.
C’est la lumière encore qui accentue les contours du corps nu de la Robe Wesselmann 2, du visage de la Robe Wesselmann 1, ou des silhouettes aériennes des deux colombes qui s’embrassent de la Robe Braque. Sous l’effet du néon les contours des motifs se redessinent, les couleurs se modifient, deviennent plus ou moins intenses selon que les plaques de plexiglass soient proches ou éloignées de la source lumineuse.
Comme en écho à l’exposition Néon, who’s afraid of red, yellow and blue ? présentée de février à mai 2012 à la Maison Rouge, Saint Grégoire Rive Gauche nous interroge sur le néon comme médium artistique.

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