Nicolas Lespagnol
Ce n'est pas la forme qu'il faut trouver mais la force. La forme apparait ensuite toute seule naturellement
Toutes les œuvres de Nicolas Lespagnol
l'endroit vaut bien l'envers (la réalité trompée) • 4 œuvres
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les formes de la nature sont encore meconnues. Si l'on s'éloigne des beaux ciels, des reflets d'eau [...]
les formes de la nature sont encore meconnues. Si l'on s'éloigne des beaux ciels, des reflets d'eau flatteurs, on découvre des formes que même l'IA qui ne peut faire d'images que limitées à un algorythme , n'égalent pas.
Cette série présente des formes du réel parfois difficilement reconnaissable. elles sont mises de front à coté de leur inverse . Le spectateur est contraint de voir d'emblée les 2 impressions et se retrouve perdu , éloigné plus encore de la réalité qui lui est pourtant montré clairement. La réalité se dissout, l'abstraction s'installe un peu plus. Il ne reste que les ligne, les couleurs pour le seul plaisir
Cette série présente des formes du réel parfois difficilement reconnaissable. elles sont mises de front à coté de leur inverse . Le spectateur est contraint de voir d'emblée les 2 impressions et se retrouve perdu , éloigné plus encore de la réalité qui lui est pourtant montré clairement. La réalité se dissout, l'abstraction s'installe un peu plus. Il ne reste que les ligne, les couleurs pour le seul plaisir
Envers (paysages inversés) • 23 œuvres
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certaine matières est forme inversées sont plausibles car le cerveau découvre un nouvel espace qu'il [...]
certaine matières est forme inversées sont plausibles car le cerveau découvre un nouvel espace qu'il imagine réel. Il est trompé. Profitons en !
alors le ciel devient parfois plan d'eau
cette matière à l'envers ne nous surprend pas. A force, le ciel, mis en bas ne nous gène plus non plus, on voit un coureur dans les dunes, c'est tout . Ou une fillette sur un pelouse
On disait que les jardins de Babylone étaient suspendus, en fait ils devaient être en terrasse et les terrasses étaient multiples et à différentes hauteur.
Ici, la nature est inversée.
Si le cerveau accepte ces espaces sans l'impression d'être trompé, c'est qu'il n'a pas enregistré suffisamment les formes naturelles auquel cas, il aurait décelé rapidement la supercherie et n'accepterait pas de tels espaces.
alors le ciel devient parfois plan d'eau
cette matière à l'envers ne nous surprend pas. A force, le ciel, mis en bas ne nous gène plus non plus, on voit un coureur dans les dunes, c'est tout . Ou une fillette sur un pelouse
On disait que les jardins de Babylone étaient suspendus, en fait ils devaient être en terrasse et les terrasses étaient multiples et à différentes hauteur.
Ici, la nature est inversée.
Si le cerveau accepte ces espaces sans l'impression d'être trompé, c'est qu'il n'a pas enregistré suffisamment les formes naturelles auquel cas, il aurait décelé rapidement la supercherie et n'accepterait pas de tels espaces.
welded landscapes (paysages soudés) • 9 œuvres
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Une seule photographie me donne autant de manque que de plaisir. Je n’ai pas l’instant d’avant ni celui [...]
Une seule photographie me donne autant de manque que de plaisir. Je n’ai pas l’instant d’avant ni celui d’après. Il y a trop de singularité alors que je cherche le « général », le « permanent ». L’instant particulier est mort-né.
Dans cette série, j’associe des images. Le sujet créé devient plausible si le regard accepte les jonctions. Le but est que l’espace commun domine mais chaque espace témoigne du réel capté dans chaque image. L’espace commun à parfois une grande force d’abstraction. Je retrouve aussi mon amour pour l’expressionnisme abstrait avec cette nature luxuriante.
Le cerveau n’a pas ces espaces dans sa panoplie. Ils sont donc abstraits un peu par essence. Un abstrait composé de photographies d’espaces réels.
Cette « abstraction » m’apporte de la légèreté loin des idées et du sens.
La variété des couleurs est vraiment perçue quand on voit les images ensemble d’un seul regard. La couleur varie tellement qu’elle en perd toute spécificité. Elle n’est finalement que décorative et ne fait pas partie de l’essence des choses contrairement à la forme. Elle montre des temps et des espaces différents alors que la forme tend à les rapprocher dans cet espace commun.
Nos notions de taille, de profondeur sont perturbées. J’élimine le plus possible les plans, les surfaces qui donnent des clés pour entrer dans l’espace, ainsi que le mouvement, le temps et le sens pour qu’il ne reste que la forme.
Dans cette série, j’associe des images. Le sujet créé devient plausible si le regard accepte les jonctions. Le but est que l’espace commun domine mais chaque espace témoigne du réel capté dans chaque image. L’espace commun à parfois une grande force d’abstraction. Je retrouve aussi mon amour pour l’expressionnisme abstrait avec cette nature luxuriante.
Le cerveau n’a pas ces espaces dans sa panoplie. Ils sont donc abstraits un peu par essence. Un abstrait composé de photographies d’espaces réels.
Cette « abstraction » m’apporte de la légèreté loin des idées et du sens.
La variété des couleurs est vraiment perçue quand on voit les images ensemble d’un seul regard. La couleur varie tellement qu’elle en perd toute spécificité. Elle n’est finalement que décorative et ne fait pas partie de l’essence des choses contrairement à la forme. Elle montre des temps et des espaces différents alors que la forme tend à les rapprocher dans cet espace commun.
Nos notions de taille, de profondeur sont perturbées. J’élimine le plus possible les plans, les surfaces qui donnent des clés pour entrer dans l’espace, ainsi que le mouvement, le temps et le sens pour qu’il ne reste que la forme.
Asphalte landscapes • 5 œuvres
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La série comporte 6 photographies de sol d’asphalte qui par une simple ligne plus ou moins horizontale [...]
La série comporte 6 photographies de sol d’asphalte qui par une simple ligne plus ou moins horizontale font penser à un paysage. La richesse de la matière abonde en ce sens. Il suffit d’un déclic au cerveau pour qu’il soit emmené dans des espaces qu’il ne maitrise pas tout à fait, des espaces trompeurs mais ravissant. Faites un rond, mettez-le dans la moitié supérieure et vous créer un soleil. La recette est simple. La ligne d’horizon étant là, alors tout change d’échelle, un morceau de tissu blanc piétiné fait office de nuages mouvementés, un morceau de chewing-gum fait office de lune sur un bitume sombre simulant un ciel de nuit.
Les petites incursions sont là comme un collage pour jouer et aussi désacraliser la photographie, élargir notre façon de regarder. L’art doit aussi décloisonner notre façon de penser. Une partie reste hors du cadre d’abord pour confirmer que l’objet à été ajouté et est bien différent de l’espace de la photographie. S’il avait été totalement intégré, le spectateur aurait été amené à chercher la supercherie et je préfère la surprise directe.
Les petites incursions sont là comme un collage pour jouer et aussi désacraliser la photographie, élargir notre façon de regarder. L’art doit aussi décloisonner notre façon de penser. Une partie reste hors du cadre d’abord pour confirmer que l’objet à été ajouté et est bien différent de l’espace de la photographie. S’il avait été totalement intégré, le spectateur aurait été amené à chercher la supercherie et je préfère la surprise directe.
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