Nico Vincent
Le numérique nous a envahi? vive le numérique! être toujours créatif, innovant, productif et surtout heureux.
Toutes les œuvres de Nico Vincent
Chicken or Beef • 12 œuvres
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“Chicken or Beef” ou une certaine saturation visuelle. Nous ne sommes pas égaux devant le poids. Morphologie [...]
“Chicken or Beef” ou une certaine saturation visuelle.
Nous ne sommes pas égaux devant le poids.
Morphologie sociale
C’est l’histoire des corps, des corps encombrés d’histoire, des corps lents, lourds, fatigués angoissés, malmenés par le temps.
Ce sont des corps ayant perdus tout espoir.
des corps chargés de traumas, stressés, ignorants et pleins de non dit ou victimes d’une éducation raté ou absente.
Des corps victimes d’une publicité subliminale mensongère, il faut consommer des aliments préformatés hypercaloriques et en même temps il faut être beau, mince et en bonne santé.
Ce sont aussi des corps généreux, Rubensiens, plein de rondeurs, massifs, imposants, gracieux évoluant avec puissance et lenteur.
Mon travail est un artefact donc un imprévu issu d’une recherche sur les nouvelles possibilités de détournement et de mutation de la photographie numérique.
Travailler avec de nouveaux outils: le “Mouse-brush” et le “Screen-canvas”.
C’est une nouvelle médiation artistique.
C’est une proposition, je crée des possibles.
Nous ne sommes pas égaux devant le poids.
Morphologie sociale
C’est l’histoire des corps, des corps encombrés d’histoire, des corps lents, lourds, fatigués angoissés, malmenés par le temps.
Ce sont des corps ayant perdus tout espoir.
des corps chargés de traumas, stressés, ignorants et pleins de non dit ou victimes d’une éducation raté ou absente.
Des corps victimes d’une publicité subliminale mensongère, il faut consommer des aliments préformatés hypercaloriques et en même temps il faut être beau, mince et en bonne santé.
Ce sont aussi des corps généreux, Rubensiens, plein de rondeurs, massifs, imposants, gracieux évoluant avec puissance et lenteur.
Mon travail est un artefact donc un imprévu issu d’une recherche sur les nouvelles possibilités de détournement et de mutation de la photographie numérique.
Travailler avec de nouveaux outils: le “Mouse-brush” et le “Screen-canvas”.
C’est une nouvelle médiation artistique.
C’est une proposition, je crée des possibles.
1- Homo Pixelus Erectus ou Mutations • 13 œuvres
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Dans ce travail je m’intéresse aux effets des nouvelles technologies sur le grand public, quels changement [...]
Dans ce travail je m’intéresse aux effets des nouvelles technologies sur le grand public, quels changement sociaux sur les comportements et les meurs provoqué par l’utilisation exponentielle des smartphones et autres appareils à saisie numérique?
Ces Smartphones nous sont devenues presque inséparables, un nouvel organe, une prothèse, une augmentation des capacités physiques du corps humain.
Nous faisons tous des photographies, mais de quelles façons, dans quelles conditions, avec quels vêtements et dans quelles positions?. Ce sont les gestes qui m’intéressent, les bras tendus vers le sujet comme pour signaler l’événement, ou comme un paravent pour ce protéger de la réalité.
On ne regarde plus vraiment le réel avec nos propres yeux si non sur un “Display” de téléphone ou d’appareil numérique. Comme avec un téléviseur sur lequel nous regardons le monde extérieur. Nous ne pouvons plus voir la réalité avec nos propre yeux.
Comme le dit Francis Belting dans sont livre “Pour une anthropologie des images”:
“La post-photographie se présente comme la destruction de la photographie. Les limites de l'analogie avec le corps sont transgressées de partout. A la fidélité de l'empreinte lumineuse succèdent les jeux de ressemblance/dissemblance avec le corps réel, qui n'est plus assujetti aux catégories de l'espace et du temps. Les corps artificiels (Figures) semblent invulnérables, soustraits à la condition mortelle”.
Cela était une Photo, c’est devenue une image, la photo est enterré (morte) sous l’image.
Depuis l’apparition du numérique la photographie à mutée dans sa matérialité et dans sa
diffusion-perception. C’est un croisement de deux disciplines, la photographie et le “Digital Art”.
Mes images se situeraient donc entre la photo est la peinture? je ne puis l’affirmer et je préfères laisse le choix au public, ce n’est pas mon rôle d’en décider.
Ces Smartphones nous sont devenues presque inséparables, un nouvel organe, une prothèse, une augmentation des capacités physiques du corps humain.
Nous faisons tous des photographies, mais de quelles façons, dans quelles conditions, avec quels vêtements et dans quelles positions?. Ce sont les gestes qui m’intéressent, les bras tendus vers le sujet comme pour signaler l’événement, ou comme un paravent pour ce protéger de la réalité.
On ne regarde plus vraiment le réel avec nos propres yeux si non sur un “Display” de téléphone ou d’appareil numérique. Comme avec un téléviseur sur lequel nous regardons le monde extérieur. Nous ne pouvons plus voir la réalité avec nos propre yeux.
Comme le dit Francis Belting dans sont livre “Pour une anthropologie des images”:
“La post-photographie se présente comme la destruction de la photographie. Les limites de l'analogie avec le corps sont transgressées de partout. A la fidélité de l'empreinte lumineuse succèdent les jeux de ressemblance/dissemblance avec le corps réel, qui n'est plus assujetti aux catégories de l'espace et du temps. Les corps artificiels (Figures) semblent invulnérables, soustraits à la condition mortelle”.
Cela était une Photo, c’est devenue une image, la photo est enterré (morte) sous l’image.
Depuis l’apparition du numérique la photographie à mutée dans sa matérialité et dans sa
diffusion-perception. C’est un croisement de deux disciplines, la photographie et le “Digital Art”.
Mes images se situeraient donc entre la photo est la peinture? je ne puis l’affirmer et je préfères laisse le choix au public, ce n’est pas mon rôle d’en décider.
pixelage • 12 œuvres
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Mon travail est un artefact donc un imprévu issu d’une recherche sur les nouvelles possibilités de détournement [...]
Mon travail est un artefact donc un imprévu issu d’une recherche sur les nouvelles possibilités de détournement et de mutation de la photographie numérique.
Travailler avec de nouveaux outils: le “Mouse-brush” et le “Screen-canvas”.
C’est une nouvelle médiation artistique.
C’est une proposition, je crée des possibles.
Mes images se situeraient donc entre la photo est la peinture? je ne puis l’affirmer et je préfères laisse le choix au public, ce n’est pas mon rôle d’en décider.
Travailler avec de nouveaux outils: le “Mouse-brush” et le “Screen-canvas”.
C’est une nouvelle médiation artistique.
C’est une proposition, je crée des possibles.
Mes images se situeraient donc entre la photo est la peinture? je ne puis l’affirmer et je préfères laisse le choix au public, ce n’est pas mon rôle d’en décider.
BigMix • 14 œuvres
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Oscillations, ondulations, amplitudes, fréquences chromatiques, autant de définitions sont possible [...]
Oscillations, ondulations, amplitudes, fréquences chromatiques, autant de définitions sont possible quand il s’agit d’art numérique, ce travail est le fruit de longues recherches et et de pratiques, avec les programmes de traitement de l’image nous disposons de nouveaux outils qui nous permettent d’accéder à de nouveaux systèmes de représentation iconique, comment traiter et appliquer ces nouvelles techniques?
Mon travail est un artefact donc un imprévu issu d’une recherche sur les nouvelles possibilités de détournement et de mutation de la photographie numérique.
Travailler avec de nouveaux outils: le “Mouse-brush” et le “Screen-canvas”.
C’est une nouvelle médiation artistique.
C’est une proposition, je crée des possibles.
Mon travail est un artefact donc un imprévu issu d’une recherche sur les nouvelles possibilités de détournement et de mutation de la photographie numérique.
Travailler avec de nouveaux outils: le “Mouse-brush” et le “Screen-canvas”.
C’est une nouvelle médiation artistique.
C’est une proposition, je crée des possibles.
Pourquoi pas. • 12 œuvres
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Oscillations, ondulations, amplitudes, fréquences chromatiques, autant de définitions sont possible [...]
Oscillations, ondulations, amplitudes, fréquences chromatiques, autant de définitions sont possible quand il s’agit d’art numérique, ce travail est le fruit de longues recherches et et de pratiques, avec les programmes de traitement de l’image nous disposons de nouveaux outils qui nous permettent d’accéder à de nouveaux systèmes de représentation iconique, comment traiter et appliquer ces nouvelles techniques?
Mon travail est un artefact donc un imprévu issu d’une recherche sur les nouvelles possibilités de détournement et de mutation de la photographie numérique.
Travailler avec de nouveaux outils: le “Mouse-brush” et le “Screen-canvas”.
C’est une nouvelle médiation artistique.
C’est une proposition, je crée des possibles.
Mon travail est un artefact donc un imprévu issu d’une recherche sur les nouvelles possibilités de détournement et de mutation de la photographie numérique.
Travailler avec de nouveaux outils: le “Mouse-brush” et le “Screen-canvas”.
C’est une nouvelle médiation artistique.
C’est une proposition, je crée des possibles.
Criss-Cross • 12 œuvres
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Mon travail est un artefact donc un imprévu issu d’une recherche sur les nouvelles possibilités de détournement [...]
Mon travail est un artefact donc un imprévu issu d’une recherche sur les nouvelles possibilités de détournement et de mutation de la photographie numérique.
C’est une nouvelle médiation artistique.
C’est une proposition, je crée des possibles.
Depuis l’apparition du numérique la photographie à mutée dans sa matérialité et dans sa
diffusion-perception. C’est un croisement de deux disciplines, la photographie et le “Digital Art”.
Mes images se situeraient donc entre la photo est la peinture? je ne puis l’affirmer et je préfères laisse le choix au public, ce n’est pas mon rôle d’en décider.
C’est une nouvelle médiation artistique.
C’est une proposition, je crée des possibles.
Depuis l’apparition du numérique la photographie à mutée dans sa matérialité et dans sa
diffusion-perception. C’est un croisement de deux disciplines, la photographie et le “Digital Art”.
Mes images se situeraient donc entre la photo est la peinture? je ne puis l’affirmer et je préfères laisse le choix au public, ce n’est pas mon rôle d’en décider.
Surfaces • 18 œuvres
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Montrer l'invisible. C’est le regard polysémique d’un homme debout dans la ville. L’espace urbain visité, [...]
Montrer l'invisible.
C’est le regard polysémique d’un homme debout dans la ville. L’espace urbain visité, va le faire réagir et penser, en lui imposant une rhétorique cheminatoire inconsciente mais heureuse. La force des perspectives et de ces volumes, la qualité de la lumière et de ces ombres, vont agir sur le comportement de cet homme devenu « passe-lumière ». Observer, découvrir et aspirer en vrac toutes ses poussières de ville avec son objectif, pour ensuite, reconstruire des images dans la but de révéler et faire ressortir le coté volume-objet du bâtiment.
Essayer de créer á partir d’un réel infini, des édifices imaginaires et minimaliste mais reconnaissables, des bâtiments flottants au grés du vent car arrachés de leur environnement, rues, villes, de leurs fonctions de bureau ou de logement , ils se révèlent à eux-même.
C’est une transformation critique d’une construction á fin d’en changer le volume et d’augmenter son impact visuel d’une manière démesurée. Tout est dans les détails.
Obtenir une perception spatiale, futuriste, acquérir une vision irréelle et utopique de l’architecture. Remise en question de la diachronie de la photo contemporaine, de la représentation que nous nous faisons de l’œuvre et de son procès. C’est en même temps un rapt et un détournement de la réalité, c’est artificiel ? oui, car l’art n’est qu’artifice. Donc, transgression des valeurs, remise en question de l’esthétique de l’édifice contemporain par la photo, sacrifice de l’architecture sur l’autel du photographe et prise en otage d’un bâtiment et de son créateur.
C’est le regard polysémique d’un homme debout dans la ville. L’espace urbain visité, va le faire réagir et penser, en lui imposant une rhétorique cheminatoire inconsciente mais heureuse. La force des perspectives et de ces volumes, la qualité de la lumière et de ces ombres, vont agir sur le comportement de cet homme devenu « passe-lumière ». Observer, découvrir et aspirer en vrac toutes ses poussières de ville avec son objectif, pour ensuite, reconstruire des images dans la but de révéler et faire ressortir le coté volume-objet du bâtiment.
Essayer de créer á partir d’un réel infini, des édifices imaginaires et minimaliste mais reconnaissables, des bâtiments flottants au grés du vent car arrachés de leur environnement, rues, villes, de leurs fonctions de bureau ou de logement , ils se révèlent à eux-même.
C’est une transformation critique d’une construction á fin d’en changer le volume et d’augmenter son impact visuel d’une manière démesurée. Tout est dans les détails.
Obtenir une perception spatiale, futuriste, acquérir une vision irréelle et utopique de l’architecture. Remise en question de la diachronie de la photo contemporaine, de la représentation que nous nous faisons de l’œuvre et de son procès. C’est en même temps un rapt et un détournement de la réalité, c’est artificiel ? oui, car l’art n’est qu’artifice. Donc, transgression des valeurs, remise en question de l’esthétique de l’édifice contemporain par la photo, sacrifice de l’architecture sur l’autel du photographe et prise en otage d’un bâtiment et de son créateur.
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