François F.
De formation, je suis pharmacien.
Je découvre en 1989 la peinture à l’huile.
Depuis 1997, je fais exclusivement de l'AQUARELLE.
En 2009, exposition commune à la Galerie Everarts, rue d’Argenson, Paris 8ème
En 2010, Galerie Everarts, Paris 8ème
En 2010, vente aux enchères par maître Fraisse
En 2017, participe au salon d'Uckange
Découvrez les œuvres d'art contemporain de François F., parcourez les œuvres d'art récentes et achetez en ligne. Catégories: artistes contemporains français. Domaines artistiques: Peinture. Type de compte: Artiste , membre depuis 2010 (Pays d'origine France). Achetez les dernières œuvres de François F. sur ArtMajeur: Découvrez de superbes œuvres par l'artiste contemporain François F.. Parcourez ses œuvres d'art, achetez des œuvres originales ou des impressions haut de gamme.
Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
Galerie Première • 9 œuvres
Voir toutReconnaissance
Biographie
De formation, je suis pharmacien.
Je découvre en 1989 la peinture à l’huile.
Depuis 1997, je fais exclusivement de l'AQUARELLE.
En 2009, exposition commune à la Galerie Everarts, rue d’Argenson, Paris 8ème
En 2010, Galerie Everarts, Paris 8ème
En 2010, vente aux enchères par maître Fraisse
En 2017, participe au salon d'Uckange
-
Nationalité:
FRANCE
- Date de naissance : 1965
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Français
Evénements artistiques en cours et à venir
Influences
Formation
Cote de l'artiste certifiée
Accomplissements
Activité sur ArtMajeur
Dernières Nouvelles
Toutes les dernières nouvelles de l'artiste contemporain François F.
François F.
rue d'Argenson
Exposition collective
Communiqué de presse
Ma drole de démarche
Un électron-idée passe dans mon esprit, percute mon électron-orgueilleux et me voilà sure de mon destin, de mes choix. Le hasard me guide. Le hasard se sert de moi. Je ne suis qu’une caisse de résonance des mouvements aléatoire d’électrons libertaires. Quand je suis devant ma toile blanche, je vois des tableaux merveilleux, des couleurs extraordinaires, je vois un certain absolu. Je prends mon pinceau indomptable qui malgré ma volonté ce dirige seul sur la surface immaculé. Hasard ou Dieu malveillant ? L’œuvre se dérobe à moi, elle échappe à mon contrôle. Plus je peins, plus je ne suis pas dans mon absolu mais dans mon humaine lourdeur, dans ma collante réalité, dans mon style.
J’essaye de me concentrer, de m’appliquer, d’atteindre un hypothétique état de grâce où ma main et mon esprit seraient guidés par le mystère de la création, par un heureux hasard, par un Dieu bienveillant. Seul égaré dans un monde que j’appréhende bien mal, seul avec mes croyances esthétiques issues des aléas de ma vie, seul sans racine artistique, sans réels Maîtres, sans écoles, sans bases techniques, seul je poursuit un absolu flou que j’entraperçois au travers de mon âme trop sensible, au travers de mes émotions.
Doutes
Depuis Nietzsche, on connaît les différences entre les tenant d’Apollon et ceux de Dionysos : les premiers sculptent, dirigent le rêve et l’imagination, ils optent pour la sobriété, l’absence d’impulsions brutales, le calme, la sagesse, la tranquillité, l’architecture, la mesure, la dialectique ; les seconds célèbrent l’ivresse, le chant, la danse, la vie ardente des grands brûlés, l’union de l’homme et de la nature, l’artiste subjectif, le visionnaire, le prométhéisme, les forces mystérieuses, l’appel mystique de la jubilation. L’architecte face à l’exalté, l’Air opposé au Feu, le Concept face au son, l’Idée dressée devant la Matière.
Je ne suis que leur bâtard. Mon père est Apollon, ma mère est Dionysos. J’ai une folle envie de fouge, de chevaux furieux, d’orages créateurs, d’élans mystiques qui dirigent mes pinceaux mais une fois assis devant ma page blanche, mes outils à la main, je ne suis plus qu’un petit garçon en culotte courte, un gentil et calme homme qui s’applique, qui prend patience, qui méticuleusement applique l’aquarelle sur son bout de papier. La technique froide, le hasard, la patience, la main retenue, la mer calme sont mon geste créateur. Je rêve bien de discours enflammés, de tempêtes, d’aventures, d’héroïsme, de foules galvanisées par mes paroles et mon travail. La réalité est tout autre. Je songe beaucoup et j’aime beaucoup ma mère Dionysos mais mon père Apollon a encore la main mise sur moi. Fils perdue d’Apollon et de Dionysos, je les aime tout les deux, j’erre sans but sur cette terre incompréhensible à mon esprit.
Aquarelle
Il n'y a que des aquarelles sur ce site.
Petite présentation
De formation, je suis pharmacien.
Je découvre en 1989 la peinture à l’huile.
Depuis 1997, je fais exclusivement de l'AQUARELLE.
En 2009, exposition commune à la Galerie Everarts, rue d’Argenson, Paris 8ème
En 2010, Galerie Everarts, Paris 8ème
En 2010, vente aux enchères par maître Fraisse
En 2017, participe au salon d'Uckange
Pourquoi peindre?
Je reprendrais les dires de Verdi à la comtesse Maffei le vingt octobre mille huit cent seize « Copier le vrai peut-être une bonne chose, mais inventer le vrai est beaucoup mieux encore. »
Fuir... Echapper au piège, où toute époque se perd, où tout homme se morfond. Ailleurs, il est peut-être des soleils inconnus, des rêves jamais osés, et des tendresses nouvelles. Ailleurs, il est peut-être des sources que nous ne savons plus, où étancher cette soif qui nous dessèche l’âme. Ailleurs, il est peut-être des lieux, comme des extases sublimes, qui nous délivreraient du malheur de la chute dans l’espace et le temps. Ailleurs…
Espoir sans espérance. Illusions désillusionnées. Croyances sans dieux.
Avis et commentaires




