François Géal
Né en 1965 dans une famille protestante du Vivarais, j’ai passé mon enfance à Tournon en Ardèche. Après un Bac C, j’ai entrepris des études supérieures de Lettres à Lyon, puis à Paris.
Ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure, agrégé d’espagnol, auteur d’une thèse intitulée : Figures de la bibliothèque dans l’imaginaire espagnol du siècle d’Or (publiée aux éditions Champion en 1999), je suis Professeur de Littérature générale et comparée à l'Université Lyon 2. Je suis également traducteur (Miró, Neruda, Gil Polo, Ortega y Gasset, Ribeyro, Valle-Inclán...).
Le photocollage, activité à laquelle je me livrais jadis de loin en loin, occupe désormais une place majeure dans mon existence – salutaire contrepoint à mes activités universitaires...
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Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
L'Abécédaire du père François • 22 œuvres
Voir toutPhoto-collages • 20 œuvres
Voir toutReconnaissance
Exerce le métier d'artiste à titre d'activité principale
Biographie
Né en 1965 dans une famille protestante du Vivarais, j’ai passé mon enfance à Tournon en Ardèche. Après un Bac C, j’ai entrepris des études supérieures de Lettres à Lyon, puis à Paris.
Ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure, agrégé d’espagnol, auteur d’une thèse intitulée : Figures de la bibliothèque dans l’imaginaire espagnol du siècle d’Or (publiée aux éditions Champion en 1999), je suis Professeur de Littérature générale et comparée à l'Université Lyon 2. Je suis également traducteur (Miró, Neruda, Gil Polo, Ortega y Gasset, Ribeyro, Valle-Inclán...).
Le photocollage, activité à laquelle je me livrais jadis de loin en loin, occupe désormais une place majeure dans mon existence – salutaire contrepoint à mes activités universitaires...
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Nationalité:
FRANCE
- Date de naissance : 1965
- Domaines artistiques: Œuvres d’artistes professionnels,
- Groupes: Artiste professionnel Artistes Contemporains Français
Evénements artistiques en cours et à venir
Influences
Formation
Cote de l'artiste certifiée
Accomplissements
Activité sur ArtMajeur
Dernières Nouvelles
Toutes les dernières nouvelles de l'artiste contemporain François Géal
nouvelle exposition "Dé-collages"
Collberg galerie, 2 Rue Dominique Villars, Grenoble, France
Du lundi 18 juillet au dimanche 24 juillet 2022
Entrée libre.
Horaires :
-du lundi 18 au vendredi 22 : 14 h - 19 h
-samedi et dimanche 23-24 : 10 h - 19 h
Exposition sur le site de collage argentin collage.ar
https://collage.com.ar/index.php/francois-geal/
Exposition à l'Espace 361°
2 Rue de l'Annonciade, Aix-en-Provence, France
Cet Abécédaire ludique du père François que je vais exposer ici en exclusivité à Aix-en-Provence est le fruit d’un travail de longue haleine où je conjugue pour la première fois collages et textes disposés en regard, au confluent de ma formation littéraire et de ma pratique artistique. En dépit de la contrainte tout extérieure de la Lettre (sur le modèle du Larousse de mon enfance), mon inconscient s’y exprime sans doute plus directement que dans mes collages thématiques habituels...
79e salon Regain
Palais des Expositions, 20 quai Bondy, 69005 Lyon
Je vais prochainement exposer 3 photocollages dans ce lieu magnifique...
Nos jardins intérieurs et extérieurs
25, av. des Frères Lumières, 69008 Lyon. (Vernissage le jeudi 26 janvier 2017 à 19 h)
Je présenterai cette oeuvre intitulée "Vert", tirée d'une série "Cinq couleurs + noir", lors de cette exposition collective à la MJC Monplaisir (Lyon 8e)
Ma première exposition lyonnaise...
A nous les Caprices, 50 rue Franklin, 69002 Lyon (ouvert du mardi au samedi de 12h à 14h et de 19h à 22h
L'excellent restaurant A nous les Caprices m'accueille pour 3 mois d'exposition au 50 rue Franklin dans la Presqu'île...
nouvelle exposition
La Galerie, 11-13 rue Abel Gance, 75013 Paris (M° Quai de la Gare ou François-Mitterrand), du mardi au dimanche de 13h à 20h.
Je présenterai ma nouvelle exposition de Photocollages du 18 au 30 juin 2013
Ce que pour moi photo-coller veut dire...
« On peut peindre avec ce qu’on voudra, avec des pipes, des timbres-poste, des cartes postales ou à jouer, des candélabres, des morceaux de toile cirée, des faux-cols, du papier peint, des journaux ».
(Guillaume Apollinaire : Les peintres cubistes, 1913)
« Si ce sont les plumes qui font le plumage, ce n’est pas la colle qui fait le collage ».
(Max Ernst : « Au-delà de la peinture », Cahiers d’art, 1937)
Feuilleter page après page des magazines en vue de constituer un stock d’images caractérisées par leur beauté, leur originalité, ou la simple immédiateté de leur impact. Au sein du volumineux corpus rassemblé, en sélectionner intuitivement une dizaine ou une vingtaine tout au plus (me gardant d’un foisonnement excessif qui pourrait perturber la fluidité du mouvement au sein de la composition à venir), unies par des liens d’analogie ou de contiguïté plus ou moins apparents. Redécouper aux ciseaux les morceaux susceptibles de s’agencer sur une surface ni trop petite ni trop grande. Tester ces agencements en faisant jouer les répétitions ou les contrastes à l’aide de trombones accrochés le temps nécessaire à la feuille de papier. Modifier la disposition jusqu’à obtenir la solution la plus convaincante. Recouper les fragments au cutter - instrument décisif - pour affiner le trait. Coller : le collage des éléments du puzzle ne s’opère que lorsque l’équilibre entre trois exigences principales – formelle (un rythme singulier doit être perceptible), chromatique et symbolique ¬– semble atteint : il constitue la phase ultime, la plus brève et paisible de ce rituel, même si d’ultimes repentirs obligent parfois à décoller et recoller certaines pièces.
L’évident soubassement thématique de la plupart de ces réalisations rend à mes yeux presque superflue l’apposition d’un titre. Le détournement d’images le plus souvent arrachées à leur vocation publicitaire initiale pour produire des significations inédites – réinvestissement de topoï éculés de notre société de consommation – joue un rôle important, mais dans une perspective assez éloignée de la froideur aseptisée qui caractérisa parfois le Pop Art : le remploi est mis au service de la traduction minutieuse d’une idée, d’un sentiment, d’une émotion, d’une expérience marquante. L’insertion fréquente de mots voire d’embryons de phrases n’a pas simple valeur graphique mais participe de cette volonté expressive. Du reste, la dimension artisanale qui caractérise la plus grande part de ce travail et le non-effacement des traces matérielles qui en témoignent – superposition d’épaisseurs inégales, irrégularités ou imperfections perceptibles à l’œil – se situent volontairement à l’opposé des procédés modernes basés sur la confection et la refonte d’images numériques : le scannage n’intervient ici qu’en dernier ressort, à l’aide d’un instrument apte à restituer avec une extrême fidélité le collage originel ; il ne reste plus qu’à effectuer quelques réglages chromatiques avant de procéder au tirage sur papier.
Si, au départ, la rencontre fortuite de certaines images joue son rôle, presque aucune part n’est laissée à l’arbitraire dans l’agencement final : les moindres détails doivent participer de la cohérence interne qui définit le nouvel assemblage organique. Malgré tout, ma dette à l’égard du modèle surréaliste est tangible, par le côté ludique et parfois légèrement provocateur des montages, et surtout dans la mesure où, par-delà les significations consciemment mises en scène, la dimension onirique et « l’étincelle de poésie qui jaillit du rapprochement de [plusieurs] réalités étrangères », pour reprendre les termes de Max Ernst, doivent primer, en définitive, et donner au spectateur la possibilité de rêver et de méditer...
François Géal
quelques mots sur moi
Né en 1965 dans une famille protestante du Vivarais, j’ai passé mon enfance à Tournon en Ardèche. Après un Bac C, j’ai entrepris des études supérieures de Lettres à Lyon, puis à Paris.
Ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure, agrégé d’espagnol, auteur d’une thèse intitulée : Figures de la bibliothèque dans l’imaginaire espagnol du siècle d’Or (publiée aux éditions Champion en 1999), je suis Professeur de Littérature générale et comparée à l'Université Lyon 2. Je suis également traducteur (Miró, Neruda, Gil Polo, Ortega y Gasset, Ribeyro, Valle-Inclán...).
Le photocollage, activité à laquelle je me livrais jadis de loin en loin, occupe désormais une place majeure dans mon existence – salutaire contrepoint à mes activités universitaires...
Article
Principales expositions : au Bar Le Rota rue de Montreuil (Paris XIe) (septembre 2004) ; au Salon d’automne de la peinture contemporaine organisé par la Mairie du XIe arrondissement de Paris (septembre 2007) ; à L’arobase, rue du Chevaleret (Paris XIIIe) (janvier-mars 2009) ; à la Galerie 43, rue Vandrezanne (Paris XIIIe) (janvier 2010).
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