François Lamy
- 25 décembre 1941 : naissance à Dijon
- 1942-1950 : de longs séjours à Fontaines les Châlon dans une maison où mon grand père a peint de nombreuses aquarelles qui ont accompagné ma petite enfance.
- 15 ans, je suis très gravement malade, cloué au lit durant environ un an soigné chez moi à Dijon par ma mère. Je dessine tout ce qui me plaît et qui se trouve à ma portée (portrait, nature morte etc...).
- J’ai l’occasion de me reposer en convalescence durant 6 mois au presbytère du « Plateau d’Assy » tenu par des dominicains (un des père a peint durant sa convalescence de nombreuses toiles à thèmes religieux). J’ai eu l’occasion durant cette période de découvrir à l’intérieur de la chapelle du plateau d’Assy les œuvres d’Artistes prestigieux comme Fernand Léger, Lurçat, Bonnard, Rouault, Chagall, Germaine Richier, Matisse, Bissière, Kijno etc... Je la faisais visiter aux touristes durant mon séjour.
- 17 à 20 ans. Ecole nationale des Beaux Arts de Dijon section « Arts déco » avec déjà la détermination de ne pas faire de ma passion un métier. Mes maîtres : Monsieur Honoré pour le dessin et la sculpture (A l’époque le dessin était très important dans l’enseignement des écoles de Beaux Arts) et Romain Souverbie pour la peinture qui était un amoureux inconditionnel de Picasso, période rose et bleue.
- Je quitte les Beaux Arts précipitamment par soif d’absolu car ma démarche de création picturale a toujours été liée à tout un mysticisme intérieur, pour être accueilli quelques mois au Saulchoir, maison mère des dominicains près de Paris, afin de vérifier si cette voie était bien la mienne car je me figurais que, comme ce dominicain rencontré au plateau d’Assy, je pourrais continuer à peindre retiré du monde. Utopie.
- Séminaire de vocation tardive de Morsang sur Orge où j’ai la chance de contempler pendant deux semaines le magnifique recueil du « Miserere » de Rouault composé d’une cinquantaine d’eaux fortes format 65/50 que nous avait prêté sa sœur. Grand moment. Je rencontre aussi le fils de Bertholle qui me montre des œuvres de son père. Durant ce temps passé au séminaire je recherche beaucoup plus cet absolu par l’esthétique que par la morale chrétienne. Le chanoine Delarue est d’accord avec moi, puisqu’ à la fin d’une veillée de prière il m’a annoncé devant tous les séminaristes que je n’avais pas la vocation.
- Je rentre à Dijon auprès de ma mère et rentre à l’Ecole d’Educateurs Spécialisés de Dijon. Durant ces trois ans, je peins et je dessine essentiellement des portraits et des scènes de la vie quotidienne. Je réalise un montage diapo musique sur la peinture dite « moderne » et également un mémoire sur « les dessins d’enfants de 5 à 7 ans.
- Ensuite j’anime un atelier d’expression picturale à l’école d’éducateurs spécialisés de Dijon pour les étudiants éducateurs.
- Animation d’un atelier d’expression picturale et théâtrale pour des enfants de 5 à 10 ans avec Jean-Jacques Cluzeau durant un an à Dijon.
- Comme éduc...
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Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
Reconnaissance
Biographie
- 25 décembre 1941 : naissance à Dijon
- 1942-1950 : de longs séjours à Fontaines les Châlon dans une maison où mon grand père a peint de nombreuses aquarelles qui ont accompagné ma petite enfance.
- 15 ans, je suis très gravement malade, cloué au lit durant environ un an soigné chez moi à Dijon par ma mère. Je dessine tout ce qui me plaît et qui se trouve à ma portée (portrait, nature morte etc...).
- J’ai l’occasion de me reposer en convalescence durant 6 mois au presbytère du « Plateau d’Assy » tenu par des dominicains (un des père a peint durant sa convalescence de nombreuses toiles à thèmes religieux). J’ai eu l’occasion durant cette période de découvrir à l’intérieur de la chapelle du plateau d’Assy les œuvres d’Artistes prestigieux comme Fernand Léger, Lurçat, Bonnard, Rouault, Chagall, Germaine Richier, Matisse, Bissière, Kijno etc... Je la faisais visiter aux touristes durant mon séjour.
- 17 à 20 ans. Ecole nationale des Beaux Arts de Dijon section « Arts déco » avec déjà la détermination de ne pas faire de ma passion un métier. Mes maîtres : Monsieur Honoré pour le dessin et la sculpture (A l’époque le dessin était très important dans l’enseignement des écoles de Beaux Arts) et Romain Souverbie pour la peinture qui était un amoureux inconditionnel de Picasso, période rose et bleue.
- Je quitte les Beaux Arts précipitamment par soif d’absolu car ma démarche de création picturale a toujours été liée à tout un mysticisme intérieur, pour être accueilli quelques mois au Saulchoir, maison mère des dominicains près de Paris, afin de vérifier si cette voie était bien la mienne car je me figurais que, comme ce dominicain rencontré au plateau d’Assy, je pourrais continuer à peindre retiré du monde. Utopie.
- Séminaire de vocation tardive de Morsang sur Orge où j’ai la chance de contempler pendant deux semaines le magnifique recueil du « Miserere » de Rouault composé d’une cinquantaine d’eaux fortes format 65/50 que nous avait prêté sa sœur. Grand moment. Je rencontre aussi le fils de Bertholle qui me montre des œuvres de son père. Durant ce temps passé au séminaire je recherche beaucoup plus cet absolu par l’esthétique que par la morale chrétienne. Le chanoine Delarue est d’accord avec moi, puisqu’ à la fin d’une veillée de prière il m’a annoncé devant tous les séminaristes que je n’avais pas la vocation.
- Je rentre à Dijon auprès de ma mère et rentre à l’Ecole d’Educateurs Spécialisés de Dijon. Durant ces trois ans, je peins et je dessine essentiellement des portraits et des scènes de la vie quotidienne. Je réalise un montage diapo musique sur la peinture dite « moderne » et également un mémoire sur « les dessins d’enfants de 5 à 7 ans.
- Ensuite j’anime un atelier d’expression picturale à l’école d’éducateurs spécialisés de Dijon pour les étudiants éducateurs.
- Animation d’un atelier d’expression picturale et théâtrale pour des enfants de 5 à 10 ans avec Jean-Jacques Cluzeau durant un an à Dijon.
- Comme éduc...
-
Nationalité:
FRANCE
- Date de naissance : 1941
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Français
Evénements artistiques en cours et à venir
Influences
Formation
Cote de l'artiste certifiée
Accomplissements
Activité sur ArtMajeur
Dernières Nouvelles
Toutes les dernières nouvelles de l'artiste contemporain François Lamy
Exposition collective du 19 mai au 10 juin 2007 à Tournus.
réfectoire des moines et cellier de l'abbaye St Philibert
Le vernissage se déroulera samedi 19 mai à 17 heures 30.
Ouvert du lundi au vendredi de 13h à 19h et le week end de 10h à 19h.
Prix J.B. Greuze (Thème 2007 : La danse)
Organisé par les 3AT
Communiqué de presse
Né en 1941, il a fait l'école des Beaux-Arts de Dijon, se passionne pour le dessin au crayon gras, au fusain ou à la sanguine. Parallèlement il passe à la peinture, en utilisant aussi bien l'huile que l'acrylique.
François-Noël Lamy n'a pas un thème de prédilection, même si l'on retrouve beaucoup de portraits, de nus, de paysages ou de natures mortes. Les artistes qu'il préfère sont nombreux, même s'il faudrait citer Bacon et Leonor Fini.
Quelques dates en rapport avec ma passion pour le dessin et la peinture
- 25 décembre 1941 : naissance à Dijon
- 1942-1950 : de longs séjours à Fontaines les Châlon dans une maison où mon grand père a peint de nombreuses aquarelles qui ont accompagné ma petite enfance.
- 15 ans, je suis très gravement malade, cloué au lit durant environ un an soigné chez moi à Dijon par ma mère. Je dessine tout ce qui me plaît et qui se trouve à ma portée (portrait, nature morte etc...).
- J’ai l’occasion de me reposer en convalescence durant 6 mois au presbytère du « Plateau d’Assy » tenu par des dominicains (un des père a peint durant sa convalescence de nombreuses toiles à thèmes religieux). J’ai eu l’occasion durant cette période de découvrir à l’intérieur de la chapelle du plateau d’Assy les œuvres d’Artistes prestigieux comme Fernand Léger, Lurçat, Bonnard, Rouault, Chagall, Germaine Richier, Matisse, Bissière, Kijno etc... Je la faisais visiter aux touristes durant mon séjour.
- 17 à 20 ans. Ecole nationale des Beaux Arts de Dijon section « Arts déco » avec déjà la détermination de ne pas faire de ma passion un métier. Mes maîtres : Monsieur Honoré pour le dessin et la sculpture (A l’époque le dessin était très important dans l’enseignement des écoles de Beaux Arts) et Romain Souverbie pour la peinture qui était un amoureux inconditionnel de Picasso, période rose et bleue.
- Je quitte les Beaux Arts précipitamment par soif d’absolu car ma démarche de création picturale a toujours été liée à tout un mysticisme intérieur, pour être accueilli quelques mois au Saulchoir, maison mère des dominicains près de Paris, afin de vérifier si cette voie était bien la mienne car je me figurais que, comme ce dominicain rencontré au plateau d’Assy, je pourrais continuer à peindre retiré du monde. Utopie.
- Séminaire de vocation tardive de Morsang sur Orge où j’ai la chance de contempler pendant deux semaines le magnifique recueil du « Miserere » de Rouault composé d’une cinquantaine d’eaux fortes format 65/50 que nous avait prêté sa sœur. Grand moment. Je rencontre aussi le fils de Bertholle qui me montre des œuvres de son père. Durant ce temps passé au séminaire je recherche beaucoup plus cet absolu par l’esthétique que par la morale chrétienne. Le chanoine Delarue est d’accord avec moi, puisqu’ à la fin d’une veillée de prière il m’a annoncé devant tous les séminaristes que je n’avais pas la vocation.
- Je rentre à Dijon auprès de ma mère et rentre à l’Ecole d’Educateurs Spécialisés de Dijon. Durant ces trois ans, je peins et je dessine essentiellement des portraits et des scènes de la vie quotidienne. Je réalise un montage diapo musique sur la peinture dite « moderne » et également un mémoire sur « les dessins d’enfants de 5 à 7 ans.
- Ensuite j’anime un atelier d’expression picturale à l’école d’éducateurs spécialisés de Dijon pour les étudiants éducateurs.
- Animation d’un atelier d’expression picturale et théâtrale pour des enfants de 5 à 10 ans avec Jean-Jacques Cluzeau durant un an à Dijon.
- Comme éducateur j’anime durant environ 6 ans à Villeneuve et dans d’autres établissements des ateliers en m’inspirant de la méthode « Arno Stern » auprès d’enfants handicapés mentaux ou « cas sociaux ».
- 1969 : grave dépression durant environ 8 mois durant laquelle je dessine et peins entre autre, un tableau « L’homme à la cape rouge » qui se trouve actuellement chez mon fils Eric.
- 1972 : François Péraldi psychanalyste de l’école de Lacan me fait connaître l’œuvre de Léonor Fini.
- « « Re-Naissance » peinture à l’huile exécutée en 1994 que je considère comme une des pièces maîtresses de mon évolution artistique.
- De 1974 à 1990 Je continue à peindre et à dessiner très sporadiquement, ma nouvelle responsabilité professionnelle mettant entre parenthèse les différentes expressions de ma passion pour la peinture.
- 1991 changement professionnel et déclic après avoir vu le film (version longue) de Jacques Rivette : « La belle Noiseuse » que je revisionne de temps en temps. Les dessins et l’ébauche des toiles sont de Bernard Dufour dont quelques toiles se trouvent au musée de Dijon.
- Location d’un atelier à Renens près de Lausanne où je me remets sérieusement à dessiner et à peindre.
- 1993 Une amie m’offre ses locaux à Echallens près de Lausanne en m’incitant fortement d’exposer ce qui me restait de mes travaux de 1966 à 1993. C’est ma première exposition ouverte au public. Jusqu`à cette date j’ai donné à ma famille et à des amis une partie de ce que je réalisais car je ne voulais pas rentrer dans une dynamique marchande qui m’a toujours écoeuré. Il ne devrait y avoir aucun lien entre l’œuvre d’art et le fric (encore une utopie). De plus je n’ai jamais peint avec la finalité d’exposer (voir « Politique du rebelle » de Michel Onfray, chapitre « Sur l’Art »), où je retrouve bien ma conception de la création artistique dans le domaine pictural. Peindre et dessiner me procure un plaisir immense mêlé d’angoisse, de colère et de jouissance. Cette technique me permet d’exprimer toute une partie de moi-même qui, dans la vie courante est castrée. M’exprimer par ce moyen a toujours été une nécessité vitale et le devient de plus en plus.
- De 1994 à 2002 je me suis inscrit à l’atelier de Dominique Trolliet professeur aux Beaux Arts de Lausanne. Le Mardi, durant six heures d’affilée lorsque je suis disponible, je dessine dans cet atelier avec environ une quinzaine de personnes, des « académies » (nus masculins et féminins » format « raisin » et « jésus »).
- De 2002 jusqu`à ce jour, je laisse libre cours à mon besoin de peindre en essayant de me dépasser avec cette recherche constante de mon idéal de la beauté, en travaillant régulièrement dans mon atelier de Sagy. Cette « fidélité à soi-même » dont parle Jacques Salomé dans son livre « Le courage d’être soi » ne m’a jamais quittée. - Réalisation d’un catalogue comprenant actuellement 5 tomes répertoriant environ 200 photos de mes toiles et dessins (Répertoire non exhaustif bien entendu) de 1958 jusqu’à ce jour.
- Septembre 2004 deuxième exposition à l’Hôtel Dieu de Louhans. Expérience extrèmement riche tant dans les contact que dans ce lieu magique qu’est l’Hôtel Dieu de Louhans. Bonheur de vivre au milieu de ma création durant quinze jours avec une pointe de narcissisme certes mais ça fait du bien. Thomas Volatier responsable des affaires culturelles est d’accord à ma demande, de renouveler cette expérience l’année prochaine aux mêmes dates.
- fin 2004 jusqu’à septembre 2005 préparation de ma troisième exposition qui aura lieu dans l’ancienne lingerie de l’hôtel Dieu de Louhans avec la consigne de Thomas : 2004 était une exposition à l’hôtel Dieu. 2005 sera une exposition pour l’hôtel Dieu. 33 toiles (peinture à l’huile, acrylique et techniques mixtes). Ce n’est donc pas une rétrospective mais bien le résultat d’un travail exécuté en 2005. Pas de thème comme c’est la mode en ce moment mais une série de sujets qui ont attiré mon attention comme : Le corps humain, le visage, le drame palestinien, mon voyage au Maroc, le ras le bol de la couverture intensive des médias autour de la mort de Jean-Paul II patron de l’église catholique romaine, imagination etc... Chaque tableau a été une aventure différente riche en découvertes techniques avec des surprises plutôt agréables une fois la toile terminée (à mes yeux.) Peindre est toujours mon objectif et cette année pour l’atteindre je me suis imposé cette échéance sinon je n’aurai pas eu la chance d’être heureux d’avoir peint ces toiles car j’ai une fâcheuse tendance à être un peu feignant et rêveur sur les bords. « Me plaisent l’allusion et le sous entendu »
« Beaucoup d’artistes peignent toujours le même visage, ils montrent ainsi leur faiblesse : certains tentent de se justifier en affirmant de la façon la plus stupide, qu’il s’agit de leur style. Faux, grossièrement faux ! » [2]
[1] Extraits du livre de France Borel : « Confidences vénitiennes » (les derniers jours du Titien)
[2] Extraits du livre de France Borel : « Confidences vénitiennes » (les derniers jours du Titien)
