Francis Denis
Auteur et artiste peintre, Francis DENIS réside à Longuenesse, dans le Pas-de-Calais, près de Saint-Omer, en France.
Il fut le co-fondateur de la revue poétique Lieux-d'Être avec le poète Régis LOUCHAËRT et co-organisateur du festival d'art sacré contemporain « Les Regardeurs de Lumière» en la cathédrale de Saint-Omer de 2008 à 2013
LIVRES ET COLLABORATIONS...
Ouvrages personnels:
« Bob », « Petits poèmes sans queue ni tête », « Jardin(s) », Aux Éditions La Route de la Soie
« Comme un Cri de Biffure » aux Éditions Maïa
« Les Saisons de Mauve ou le Chant des Cactus », « Le Château des Dieux », « Les Désemparés » aux Éditions Delatour France
Revues, Ouvrages collectifs :
Miroir de l’art (Spécial Ukraine)
CHERCHEURS D’ART « 60 artistes contemporains »
Par DENYS-LOUIS COLAUX
Jacques Flament Éditions
Abstractions Énigmatiques
Photographies
Jean-Louis Saelens
Les Regardeurs de Lumière
« Festival d’Art Sacré Contemporain 2011 »
Cathédrale de Saint-Omer
Coffret et reproductions
Galerie Artdies Lille
Parutions en revue:
Le Chasseur Abstrait, Népenthès, Aéra zinc,Blue Fifth Review, Ellipsis, Les Trompettes Marines, Le Capital des Mots, Squeeze, Voxpoesi, The Ilanot Review , Taj Mahal Review, Monolito, La Ira de Morféo, The Milo Review, L'Ampoule aux éditions de l'Abat-Jour, Under the Gum Tree, Kritiks, Artyhum, Arte.es, Traversées, Miroir de l’Art, etc... ) .
Expositions en France et à l'étranger.
Découvrez les œuvres d'art contemporain de Francis Denis, parcourez les œuvres d'art récentes et achetez en ligne. Catégories: artistes contemporains français. Domaines artistiques: Peinture. Type de compte: Artiste , membre depuis 2007 (Pays d'origine France). Achetez les dernières œuvres de Francis Denis sur ArtMajeur: Découvrez de superbes œuvres par l'artiste contemporain Francis Denis. Parcourez ses œuvres d'art, achetez des œuvres originales ou des impressions haut de gamme.
Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
Atelier • 1 œuvre
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Reconnaissance
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Biographie
Auteur et artiste peintre, Francis DENIS réside à Longuenesse, dans le Pas-de-Calais, près de Saint-Omer, en France.
Il fut le co-fondateur de la revue poétique Lieux-d'Être avec le poète Régis LOUCHAËRT et co-organisateur du festival d'art sacré contemporain « Les Regardeurs de Lumière» en la cathédrale de Saint-Omer de 2008 à 2013
LIVRES ET COLLABORATIONS...
Ouvrages personnels:
« Bob », « Petits poèmes sans queue ni tête », « Jardin(s) », Aux Éditions La Route de la Soie
« Comme un Cri de Biffure » aux Éditions Maïa
« Les Saisons de Mauve ou le Chant des Cactus », « Le Château des Dieux », « Les Désemparés » aux Éditions Delatour France
Revues, Ouvrages collectifs :
Miroir de l’art (Spécial Ukraine)
CHERCHEURS D’ART « 60 artistes contemporains »
Par DENYS-LOUIS COLAUX
Jacques Flament Éditions
Abstractions Énigmatiques
Photographies
Jean-Louis Saelens
Les Regardeurs de Lumière
« Festival d’Art Sacré Contemporain 2011 »
Cathédrale de Saint-Omer
Coffret et reproductions
Galerie Artdies Lille
Parutions en revue:
Le Chasseur Abstrait, Népenthès, Aéra zinc,Blue Fifth Review, Ellipsis, Les Trompettes Marines, Le Capital des Mots, Squeeze, Voxpoesi, The Ilanot Review , Taj Mahal Review, Monolito, La Ira de Morféo, The Milo Review, L'Ampoule aux éditions de l'Abat-Jour, Under the Gum Tree, Kritiks, Artyhum, Arte.es, Traversées, Miroir de l’Art, etc... ) .
Expositions en France et à l'étranger.
-
Nationalité:
FRANCE
- Date de naissance : 1954
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Français

Evénements artistiques en cours et à venir
Influences
Formation
Cote de l'artiste certifiée
Accomplissements
Activité sur ArtMajeur
Dernières Nouvelles
Toutes les dernières nouvelles de l'artiste contemporain Francis Denis
Exposition « francis denis à calais »
Caléidoscopes, Rue de la Paix, Calais, France
horaires :mercredi : 10h30 - 12h30 et 14h - 19h
Jeudi et vendredi : 14h - 19h
samedi : 10h30 - 12h30 et 14h - 19h
dimanche : 14h - 19h
et sur rendez-vous
06 13 39 31 77
Exposition « francis Denis à calais »
Exposition du 30 mai au 11 juin 2023
32 rue de la paix
62 Calais
À deux pas de la Tour du guet
horaires :
mercredi : 10h30 - 12h30 et 14h - 19h
jeudi et vendredi : 14h - 19h
samedi : 10h30 - 12h30 et 14h - 19h
dimanche : 14h - 19h
et sur rendez-vous
06 13 39 31 77
Contact@caleidoscopes.fr
Parution
Parution:
« Petits poèmes sans queue ni tête »
Éditions La Route de la Soie
Entre « regardeur » et « regardé »...
« On ne peut expliquer un tableau mais la façon dont on le regarde et ce qu’il nous suggère peut nous en apprendre beaucoup sur nous-mêmes. »
Jardin (s) en compétition pour le prix 2021 de l’ Académie Hors Concours
Pour nous, il n'y a qu'un #finaliste du Hors Concours c'est Francis Denis (@f.denis62) avec Jardins 🥰😍👉Alors on a voté : https://www.hors-concours.fr/blog/2021/8/9/vos-5-finalistes 👉 son #livre c'est par ici https://www.laroutedelasoie-editions.com/notre-catalogue/poésie-théâtre/jardins-femme-trouée/#cc-m-product-11741184297
Parution de mon denier livre
Bonjour,
J’ai le plaisir de vous informer de la parution de mon dernier livre « Jardin (s) aux Editions La Route de la Soie.
Préface d’Alain Cadéo.
Pour ceux qui le désirent, possibilité de commander votre exemplaire dès maintenant sur le site des Éditions...
Prenez soin de vous.
Francis DENIS. Auteur / Artiste peintre
Prochainement...
Prochainement...Parution de mon livre « Jardin (s) / La femme trouée » aux Editions La Route de la Soie.Préface d’Alain Cadéo.
https://www.laroutedelasoie-editions.com/nos-auteurs/francis-denis/
Goûter aux infimes respirations du vivant...
Lorsque le désert s’installe, lorsque les mots comme les couleurs nous font défaut, à quel récif encore s’agripper pour ne pas sombrer ?
Lorsque notre soif de vivre s’efface devant le silence des choses et la distance qui s’installe, à quel dieu se confier pour ne pas décrocher de la paroi abrupte ?
S’en remettre à la confiance de la page blanche, faire de notre angoisse le lait nourricier de notre esprit, se lâcher une dernière fois pour embrasser ce qui nous rassure et nous conforte. Goûter aux infimes respirations du vivant, regarder l’autre, s’amadouer de son image, réapprendre à l’aimer et s’oublier à travers lui.
https://m.facebook.com/%C3%80-fleur-d%C3%AAtre-Mots-et-peintures-487769155063043/
Présent parmi les artiste sur de la POULPIK GALLERY
Bonjour.
Heureux de pouvoir vous annoncer que je figure depuis peu parmi les artistes représentés par POULPIK GALLERY, galerie d’art en ligne basée à Sofia en Bulgarie.
Hello.
Glad to be able to announce you that I appear recently among the artists represented by POULPIK GALLERY, online art gallery based in Sofia in Bulgaria.
Francis DENIS
Auteur / Artiste peintre
LotPrivé : https://www.lotprive.com/#/dfclassic/query=francis%20denis&query_name=match_and
Artsper : https://www.artsper.com/en/search?q=francis%20denis&hPP=60&idx=artworks&p=0&is_v=2
Artsy : https://www.artsy.net/artist/francis-denis
Maman
MAMAN ( toujours et encore un peu plus… )
C’est aujourd’hui dimanche, la fête à ma maman…
C’est sa fête tous les jours, tant que je resterais à ses côtés pour qu’elle ne soit pas effrayée en observant sa triste solitude dans le miroir des jours qui passent. Je suis son bâton de vieillesse, son sucre d’orge, sa guimauve, son pot de chambre, sa chair à martyriser, sa serpillière, son souffre-douleur, son amour de fils.
J’ai fait abstraction de mon âge et de mon nom. J’ai replié les ailes du désir une bonne fois pour toutes. Je ne sais plus vraiment d’où je viens et encore moins où je vais. De mon enfance, de mon adolescence trop vite massacrées, j’ai fait une planche de bois mort. Je suis aussi muet qu’une inclusion, figé dans un solide transparent qui m’interdit toute tentative d’évasion, toute respiration inutile.
Je suis « Coco ».
« Viens ici mon Coco ». « Fais ‘ci, fais pas ça Coco ». « J’ai soif ! ».
« Mais que ferais- tu sans moi mon Coco, je dois tout te dire, tout t’apprendre encore, et à ton âge ! »
Mais moi, je n’ai plus d’âge !
J’ai cessé de grandir pour me réfugier dans un corps qui n’est plus le mien.
Ses douleurs, ses impatiences, son manque d’oxygène ne m’appartiennent plus.
« Coco ! Faut laver parterre ! Je me suis laissée aller… »
Il est six heures trente du matin et sa douce voix m’arrache soudain à la douceur d’une caresse imaginaire.
« Coco ! J’ai plus sommeil ! Viens m’aider à me lever, faut que j’aille aux toilettes. »
Je la tiens par Le bras et l’emmène jusque-là non sans devoir subir ses premières réprimandes.
J’ai cru un moment que l’on faisait des enfants par amour mais la réalité s’est avérée cruellement décevante, à la hauteur de ma crédulité.
L’amour !
En fait, je ne saurais le définir. Je ne peux que l’imaginer.
Est-ce un sentiment plus qu’une sensation, une façon de concevoir l’existence, un manque, un cadeau que l’on fait aux autres ou à soi-même, l’oubli de soi, une respiration commune ?
Quoiqu’il en soit, ce ne peut être ce que j’endure chaque jour ou alors, la vie n’est qu’une vaste forfaiture !
Je reste le naufragé en détresse que je suis devenu depuis mes premières années d’école.
Je m’accroche désespérément à ma mère, ce rocher abrupt qui m’empêche de sombrer mais qui m’interdit également tout espoir de prendre un jour le large.
J’ai l’impression qu’elle me déteste. Que je dois représenter à ses yeux le pire des cauchemars, que je suis le fruit d’une abomination.
Je n’ai pas connu mon géniteur.
Elle seule pourrait me dire mais son silence est la première lanière du fouet qui lui sert à me punir un peu plus chaque jour, à petites doses homéopathiques mais sans aucun espoir de guérison, ni pour elle, ni pour moi.
Nous sommes deux blessures vivantes qui s’affrontent et se supportent pour le pire dans la moiteur de notre quotidien.
Il m’arrive parfois d’envisager le pire. À la fois une douleur et un immense soulagement…
Je suis à ses côtés et l’observe qui nous quitte pour de bon.
Son dernier râle me libère enfin. Je suis aussi fou et léger qu’un papillon sortant de sa chrysalide.
Je ne sais si les larmes qui coulent sur mes joues sont des larmes de joie ou de tristesse. Les deux à la fois sans doute, mais cela semble relever du domaine de l’impossible.
J’en ai la langue qui gonfle, la gorge qui s’assèche, puis je ravale ma morve et baisse la tête.
Ce sera pour une autre fois !
Pour l’instant, je déblaie la table du petit déjeuner avant de pouvoir souffler et m’aérer l’esprit en parcourant les allées du marché tout proche.
J’ai dans la poche le papier soigneusement plié en quatre où elle a griffonné ce qu’il fallait acheter ce matin et surtout, rien de plus, rien de moins.
La vie est si chère… Sans compter ce que lui coûte son fainéant de fils !
Désormais, elle n’a plus besoin de le répéter à longueur de journée. Cela s’est inscrit dans ma mémoire et dans son regard.
Voilà. Enfin libéré du joug maternel pour quelques temps.
C’est à chaque fois comme une nouvelle naissance. Je me sens prêt à tout. À mordre à pleines dents dans tout ce qui se présente, à embrasser le premier ou la première venue, et même, lorsque le délire atteint son paroxysme, à envisager de ne plus rentrer à la maison.
Ne plus rentrer à la maison ! Voler enfin de mes propres ailes et ne plus subir l’horrible présence d’une mère que je déteste et qui me déteste.
Mais que ferait-elle sans moi ?
Je suis le dernier fil qui la relie encore au monde des vivants, sa dernière source de jouissance, son seul exutoire.
Même si je dois continuer à en souffrir, je ne me sens pas la force de l’abandonner.
J’étoufferais sous le poids de la culpabilité.
Ça sent l’été au coin des étals.
Les melons parfument l’air ambiant.
En choisir un. Pas trop mûr. Pas trop cher.
Puis me diriger vers la roulotte du charcutier. Il vient de loin celui-là. Du fin fond de sa campagne. Son teint rougeaud et ses grands yeux bleus lui donnent un air affable qui lui assure chaque samedi une file ininterrompue de clients. On y parle de tout. Chacun se connaît. Chacun va de son petit mot amical ou se fend d’une plaisanterie parfois douteuse mais toujours partagée avec générosité.
Pas besoin d’aller à l’autre bout du monde pour se sentir dépaysé et trouver un soupçon de bonheur.
Je me faufile au travers des badauds avec l’insouciance et l’agilité d’un poisson dans l’eau.
Je suis enfin dans mon élément.
J’existe, fondu dans la masse, à la fois seul et appartenant à l’immense vague humaine.
Mais toute échappée à une fin.
J’apprécie d’autant plus ces moments de liberté qu’il me faut accepter le dur retour à la réalité.
Mon cabas plein, je prends le chemin du retour, en traînant un peu plus des pieds, la tête basse et les yeux rivés au sol.
Je me sens l’âme d’un chien battu et il n’y a personne, personne pour me consoler.
« Et bien Coco, t’en a mis du temps ! J’espère au moins qu’il ne manque rien. »
Je déballe puis range mes achats sans un mot. Je ne vais pas rentrer dans son jeu tout de suite. Je m’accorde encore un moment pour savourer les bienfaits de mon escapade.
Elle s’est assise et commence à équeuter les haricots qu’elle a éparpillés sur la table de la cuisine.
Elle s’affaire à sa tâche tout en m’observant d’un œil méfiant, comme si j’étais un sale gamin prêt à faire un mauvais coup.
Je me suis enfoncé dans le fauteuil près de la fenêtre qui donne sur la rue. L’animation du dehors me permet de tenir bon et de ne pas succomber à la suffocation.
Il m’arrive souvent de saisir un livre dans la bibliothèque toute proche et de le feuilleter rapidement. Une façon sans doute de faire la nique au mauvais sort qui ne m’a pas permis d’apprendre à lire comme tout un chacun et qui me couvre de honte.
Il m’a fallu du temps et beaucoup d’abnégation pour pouvoir enfin déchiffrer et retenir les mots qu’elle m’écrit en lettres capitales pour que je puisse assumer mon rôle de commissionnaire.
Elle n’aime pas la foule. Elle n’aime pas les gens. Elle ne m’aime pas.
Je suis donc chargé d’accomplir ce qui est à ses yeux une sale besogne.
J’en suis ravi.
Ses seuls terrains de sortie se résument à la supérette du coin, la poste toute proche où elle seule peut retirer de l’argent, la petite place où trône la fontaine au cygne et « Au Rendez-vous des Amis », l’unique café du quartier où nous nous rendons un jour sur deux.
« Au Rendez-vous des Amis »… Cela ne pouvait pas mieux tomber pour quelqu’un d’aussi misanthrope !
J’ai le droit, voire l’obligation, de l’y accompagner. C’est un rituel.
Je lui sers de carte de visite.
« Vous voyez ! Je suis une bonne mère ! Je suis une femme seule et qui élève son enfant, même devenu adulte. Sans broncher, avec courage et ténacité ! »
Sans doute pense-t-elle se mettre ainsi à l’abri de tout quolibet à son égard et écarter ceux qui voudraient s’immiscer dans notre misérable existence.
Il est vrai qu’aucun des habitués ne nous porte attention. Nous sommes aussi transparents que le verre d’eau qui accompagne religieusement son petit cognac à trois sous.
Même la patronne qui à maintes fois a tenté de créer une relation amicale a fini par démissionner.
Alors, un jour sur deux, j’attends que ça se passe, assis à ses côtés devant ma chope de bière plate, et je mesure toute la tristesse du monde.
Pour l’instant, elle vient de terminer les haricots qu’elle plonge quelques secondes dans l’eau bouillante avant de les arroser d’eau froide et de les mettre enfin à la cuisson. Tout cela pour soi-disant les raffermir et leur donner plus de goût.
Pour moi, ils resteront toujours aussi fades.
Tout comme les instants passés lors des repas où il est de bon ton de parler de la pluie et du beau temps.
Heureusement, il y a les saucisses du charcutier.
Leur fumet et leur texture me font oublier leur piètre accompagnement et m’invitent au voyage…
Je ne suis plus en compagnie d’une triste mégère au cœur de ma triste maison dans un triste quartier.
Je suis le capitaine de vaisseau à qui l’on vient de présenter les derniers mets découverts au cours de notre périple au sein d’archipels encore inconnus.
Il est bon, parfois, d’avoir une imagination délirante. C’est ce qui me sauve. J’en conviens aisément.
Elle, elle mange.
Elle observe en silence les gens qui passent dans la rue.
La météo, on en a déjà parlé.
À suivre…
Où se procurer mes livres :
http://www.editions-delatour.com/fr/773_denis-francis
( ou en me contactant directement )
Vide grenier artistique
24, rue Toulouse-Lautrec 62219 Longuenesse
Bonjour,
Il faut parfois accepter de se séparer de ses créations d’autant plus qu’une œuvre est faite pour être accrochée et vue par le plus grand nombre.
Mon « grenier artistique » étant saturé par la quantité de peintures qui s’accumulent ( plus de 300 ),
Je me suis décidé à reproduire une opération « vide atelier » et vous invite à venir fouiller dans mon désordre artistique si le cœur vous en dit.
Toutes les œuvres seront vendues à moitié prix le temps de cette « promotion ».
Je suis à votre disposition pour vous accueillir quand il vous plaira sur rendez-vous du 10 au 20 octobre 2017.
Au plaisir de votre visite…
Francis DENIS
Contact : 0685010040
f.denis62@wanadoo.fr
24, rue Toulouse-Lautrec
62219 Longuenesse
http://www.francis-denis.com/
le doute
« Devant la page blanche, face à la toile vierge, le doute s’installe.
L’œuvre terminée, il n’en reste que plus fort… »
Francis DENIS
le 24 août 2017
Extraits...
Invitation à la lecture
https://www.facebook.com/francis.denis.90/posts/10213541566438263
" Car la vieillesse, ça se partage. C'est le pire cadeau que la vie puisse vous faire si vous êtes seule au monde.
Vos souvenirs ne vous suffisent plus. Ils se transforment avec le temps en une absence cruelle. Une absence de voix, d'odeurs de peau et de caresses, de sourires et de regards malicieux, comme s'il n'y avait plus de miroirs dans la maison, d'ombres étrangères à la vôtre, quelqu'un pour savoir que vous existez. "
Drôle d'été / extrait
( Les Désemparés / Editions Delatour France )
Les Saisons de Mauve ou le Chant des Cactus / Le Château des Dieux / Les Désemparés…
On peut se procurer mes recueils de nouvelles via le site de l’éditeur ou en me contactant personnellement.
Ils sont également vendus en librairie sur commande.
Voir également liens ci-dessous :
https://www.leslibraires.fr/livre/10036848-les-saisons-de-mauve-ou-le-chant-des-cactus-denis-francis--editions-delatour
https://www.leslibraires.fr/livre/11259413-les-desempares-denis-francis--editions-delatour
https://www.leslibraires.fr/livre/10036847-le-chateau-des-dieux-denis-francis--editions-delatour
http://www.editions-delatour.com/fr/773_denis-francis
Mail : f.denis62@wanadoo.fr
Salon du Livre à ECQUES ( Pas-de-Calais )
Salle des fêtes Rue du Brûle 62 Ecques
De 10h à 18h. Salle des fêtes de Ecques. Entrée gratuite.
Je serai heureux de vous y accueillir pour vous présenter et dédicacer mes différents recueils de nouvelles parus aux Editions Delatour France.
" Les Saisons de Mauve ou le Chant des Cactus ", " Le Château des Dieux " et " Les Désemparés ".
In Sab's Connexions des Arts n°10 ( Automne 2016 )
Article écrit par Thierry TRIBALAT dans le n° 10 de la revue Sab's Connexions des Arts...
Les Désemparés
http://www.editions-delatour.com/fr/romans/3387-les-desempares-9782752103161.html
parution aux Editions Delatour France de mon troisième recueil de nouvelles: Les Désemparés...
« Mon petit prince », regarde comme la mer est belle ! La peau de Julie frissonne sous les caresses du vent qui monte. Je sens la sève qui accompagne la fraîcheur de l’air et me chauffe le bas du ventre, comme si tout mon corps voulait embrasser tout son corps. Les baisers ne nous suffisent plus. Il est temps de grandir... Oh, petite sœur, comme j’ai envie de toi ! Tu vas me faire découvrir tout l’or de ta chair et la chaleur de ton sexe. Enfin ! Nos mains se serrent un peu plus fort. Nous sommes à l’aube de notre histoire. Il me tarde de voir le nouveau jour se lever sur nos jeux d’enfants innocents. Ils n’y comprendront rien, n’y verront que du feu, mais pas celui qui nous brûle de l’intérieur, je t’assure, pas notre feu à nous. Ils ont des œillères qui les protègent de tout égarement, de tout ce qui n’entre pas dans la norme, de tout ce qui est sale, de l’interdit, sœurette, de l’interdit. Je te le dis, nous irons loin dans notre amour, plus loin qu’il est pensable et acceptable.
Extrait de la nouvelle «Les Oyats»
Avis et commentaires



