François Brisson
François Brisson, dès sa toute jeune enfance, dessinait continuellement tout ce que ses yeux pouvaient voir et interpréter, en jouant du crayon comme un musicien du piano. Très vite, il a développé une passion pour la bande dessinée, où il pouvait aussi inventer et illustrer des aventures, aussi amusantes qu’héroïques. Il découvrit le plaisir de raconter des histoires avec son art.
Après ses études en graphisme, début des années 80, il participa à la création et à la publication du journal de bandes dessinées COCKTAIL. L’aventure dura six numéros. Il a ensuite été publié dans le mensuel de bandes dessinées TITANIC, magazine marquant de la décade. Il travailla quelques années en graphisme mais la passion du dessin, de l’illustration et de la peinture était trop forte. Il bifurqua vers le dessin animé, une industrie qui naissait alors à Montréal. Il s’intégra rapidement et avec brio à cet univers proche de la BD. Surtout, il pouvait tous les jours dessiner et perfectionner l’art du mouvement, de la mise en scène, de la simplification des formes et de leurs volumes dans l’espace, quittant l’univers étudié et méticuleux des cases pour celui du cadre vivant du film.
Les années ’90 ont été riches pour le monde de l’animation. L’industrie québécoise bouillonnait et était en pleine croissance, rivalisant avec les grands studios du monde. Il a travaillé sur plusieurs séries télévisuelles au niveau de la création des personnages, des différents styles graphiques, de la mise en scène (story-board) ou en les réalisant. Des séries telles que Bob Morane, Arthur, Arsène Lupin, Le Marsupilami, Ripley’s Believe it or not, le Monde Perdu de Conan Doyle, Inuk et Vortech pour les studios Universal, une série basée sur des jouets de Hasbro. Il a été le réalisateur canadien pour la co-production internationale Robinson Sucröe. Série télévisuelle dont la compagnie Cinar et consœurs sont poursuivies en justice pour avoir copié l’auteur Claude Robinson, qui se bat toujours pour ses droits. Un combat injuste largement décrit dans les journaux.
Dans les années 2000, François Brisson, a été largement occupé à la gestion et l’organisation d’un studio d’animation dans le Vieux Montréal. Découvrant le milieu de l’animation sous la lorgnette cette fois de producteur. Même rigueur à développer et produire des séries de qualités originales. Il a produit et réalisé plusieurs productions et co-productions internationales et a gagné un Gémeau pour la meilleure série en animation. Bien qu’il soit toujours actif dans le monde du dessin animé, son pinceau se mélange avec toute cette expérience et imprègne dorénavant ses toiles poursuivant toujours simplement ce qu’il avait déjà commencé dans son enfance : les joies de crayonner sur une simple feuille de papier.
Devant une de ses toiles, le spectateur est attiré par les couleurs et leurs vivacités, puis, il découvre une mouvance des formes dans un lieu habité. Une histoire unique s’anime dans l’imaginaire de l’...
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Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
Huiles 2 • 33 œuvres
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Huile sur Bois | 36,5x48 in
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Huile sur Bois | 12x17 in
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Huile sur Toile | 24x30 in
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Huile sur Carton | 14x18 in
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Huile sur Toile | 18x14 in
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Huile sur Toile | 24x30 in
Illustrations et Bandes dessinées • 28 œuvres
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Arts numériques | Plusieurs tailles
Œuvres Vendues • 170 œuvres
Reconnaissance
Les travaux de l'artiste ont été remarqués par la rédaction
Biographie
François Brisson, dès sa toute jeune enfance, dessinait continuellement tout ce que ses yeux pouvaient voir et interpréter, en jouant du crayon comme un musicien du piano. Très vite, il a développé une passion pour la bande dessinée, où il pouvait aussi inventer et illustrer des aventures, aussi amusantes qu’héroïques. Il découvrit le plaisir de raconter des histoires avec son art.
Après ses études en graphisme, début des années 80, il participa à la création et à la publication du journal de bandes dessinées COCKTAIL. L’aventure dura six numéros. Il a ensuite été publié dans le mensuel de bandes dessinées TITANIC, magazine marquant de la décade. Il travailla quelques années en graphisme mais la passion du dessin, de l’illustration et de la peinture était trop forte. Il bifurqua vers le dessin animé, une industrie qui naissait alors à Montréal. Il s’intégra rapidement et avec brio à cet univers proche de la BD. Surtout, il pouvait tous les jours dessiner et perfectionner l’art du mouvement, de la mise en scène, de la simplification des formes et de leurs volumes dans l’espace, quittant l’univers étudié et méticuleux des cases pour celui du cadre vivant du film.
Les années ’90 ont été riches pour le monde de l’animation. L’industrie québécoise bouillonnait et était en pleine croissance, rivalisant avec les grands studios du monde. Il a travaillé sur plusieurs séries télévisuelles au niveau de la création des personnages, des différents styles graphiques, de la mise en scène (story-board) ou en les réalisant. Des séries telles que Bob Morane, Arthur, Arsène Lupin, Le Marsupilami, Ripley’s Believe it or not, le Monde Perdu de Conan Doyle, Inuk et Vortech pour les studios Universal, une série basée sur des jouets de Hasbro. Il a été le réalisateur canadien pour la co-production internationale Robinson Sucröe. Série télévisuelle dont la compagnie Cinar et consœurs sont poursuivies en justice pour avoir copié l’auteur Claude Robinson, qui se bat toujours pour ses droits. Un combat injuste largement décrit dans les journaux.
Dans les années 2000, François Brisson, a été largement occupé à la gestion et l’organisation d’un studio d’animation dans le Vieux Montréal. Découvrant le milieu de l’animation sous la lorgnette cette fois de producteur. Même rigueur à développer et produire des séries de qualités originales. Il a produit et réalisé plusieurs productions et co-productions internationales et a gagné un Gémeau pour la meilleure série en animation. Bien qu’il soit toujours actif dans le monde du dessin animé, son pinceau se mélange avec toute cette expérience et imprègne dorénavant ses toiles poursuivant toujours simplement ce qu’il avait déjà commencé dans son enfance : les joies de crayonner sur une simple feuille de papier.
Devant une de ses toiles, le spectateur est attiré par les couleurs et leurs vivacités, puis, il découvre une mouvance des formes dans un lieu habité. Une histoire unique s’anime dans l’imaginaire de l’...
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Nationalité:
CANADA
- Date de naissance : 1961
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Canadiens
Evénements artistiques en cours et à venir
Influences
Formation
Cote de l'artiste certifiée
Accomplissements
Activité sur ArtMajeur
Dernières Nouvelles
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Article
Sutton, Québec janvier 2016
Ouf, quel voyage de 4 jours intensif!
De retour déjà du Festival du film de Sundance et quelle expérience extraordinaire que j’ai vécu avec mes compagnons de voyage, qui eux aussi ont été ravi de l’accueil que nous avons reçu à Park City. Le film «Snowtime!» y était présenté en grande première Américaine, en version originale anglaise dans la section Sundance Kids qui depuis trois ans, sélectionne les meilleurs films indépendants à travers le monde, deux en live action et un en animation. Donc, une liste très courte et de s’y retrouver est tout un honneur pour «La guerre des Tuques 3D» qui, avec son récit unique et universel à la fois, représente si bien le Québec et l’authenticité des gens que nous sommes. Et Park City, en Utah, n’est pas sans me rappelé Sutton, mon petit village aux pieds du mont Sutton, avec le ski et la rue Principale au bas des pistes… remarquer que les montagnes sont énormes et la Main Street est exubérante et que nous étions à plus de 4 000 pieds au-dessus de la mer, le souffle est court…
Nous y avons rencontré des gens fantastiques et passionnés de cinéma, donc en particulier Patrick Hudley, le directeur artistique de la section Sundance Kids d’une grande générosité et qu’il dirige d’une main de maître depuis le début, il y a trois ans, avec une toute petite équipe dévouée, qui m’a rappelé l’équipe réduite et tout autant dévouée que nous avions sur LGDT 3D, et à voir les réactions enthousiastes que nous avons reçu, je crois que Sundance Kids va grandir. Patrick parlait de «Snowtime!» avec passion tout en comprenant l’importance de raconter à nouveau une telle histoire, à une nouvelle audience qui en a tant besoin, afin de se sortir d’une espèce de carcan dans lequel l’animation s’est embrigadée, en évacuant des thèmes important que les enfants et les parents peuvent très bien discuter entre eux.
J’ai participé à deux projections du film, version 2D, non stéréoscopique, avec mes sympathiques compagnons de voyage, Marie-Claude Beauchamp (productrice), Normand Thauvette (producteur exécutif), Paul Risacher (co-scénariste et producteur) ainsi que Don Shepperd (la voix de Chabot, Chuck en anglais). Jean-François Pouliot, mon ami et le réalisateur, n’a pu venir, étant en tournage en Australie. Marie-Claude avait apporté les costumes des deux mascottes; Cléo et Chabot, et les enfants ont sauté sur eux avec tellement de joie et de bonheur sincère que nous en étions déjà très touché. Les deux fois, la salle était pleine à craquer car le mot circulait que «Snowtime!» allait faire impact parmi les festivaliers. L’audience se composait en moitié d’enfants et d’adultes et de plusieurs gens de l’industrie du monde entier, présent au Festival. Patrick Hudley me présentait devant l’audience et je faisais un petit speech, en anglais bien sûr, afin de présenter le film. Je commençais en disant que Jean-François ne pouvait pas être avec nous mais qu’en son nom, le mien et toute l’équipe du film, nous étions honoré d’être à Sundance et remercions Patrick pour son invitation, puis je demandais aux adultes de faire un voyage dans le temps, de plusieurs années en arrière quand ils étaient enfants et de se rappeler combien ils aimaient jouer dehors, du plaisir que c’était alors. Puis, aux enfants dans l’audience, de se rappeler de… quelques jours en arrière… quand ils ont joué dans la cour à faire des bonhommes de neige… afin que tout ce beau monde se mette dans l’ambiance d’une belle journée d’hiver. Et la projection pouvait commencer.
Nous savions déjà combien LGDT 3D était bien reçu par l’auditoire au Québec, mais est-ce que cet auditoire américain allait réagir comme nous? Allait-il rire aux mêmes endroits? Ou avoir du plaisir comme nous et Cléo… Et bien, quel bonheur de voir qu’ils ont ris et pleurer aux mêmes endroits qu’au Québec. Un endroit ou la réaction a été vraiment drôle était quand Luc et Sophie s’embrassent, un petit garçon a crié un gros «wouach» qui a fait rire tout le monde. Et les mini-tuques ont été un succès instantané!
Bref, une belle expérience que j’espère pourra un jour être répétée… avec la suite de ce beau film, auquel je devrais à nouveau être associé.
François Brisson
Co-réalisateur de la Guerre de Tuques 3D
Article
Le film «La guerre des tuques 3D», un film en animation 3D que j’ai co-réalisé, qui est sortie au cinéma depuis le 13 novembre dernier, connait un succès incroyable au box-office québécois. Les critiques sont enthousiastes, les amateurs du film original de 1985 apprécient cette nouvelle version et, quelle belle surprise, il a été sélectionné au Festival des Films de Sundance, à Park City, Utah, plus particulièrement dans la section Sundance kids! Il y sera présenté en grande première, version originale anglaise, le 24 janvier 2016 en préparation de sa sortie aux Canada anglais et les USA en février.
Le Festival invite les «filmmakers» à participer au Festival et Jean-François Pouliot, le réalisateur et moi-même avons été invité à participer à l’évènement. Malheureusement, Jean-François ne pourra y être, mais j’y serai avec les infatigables producteurs Marie-Claude Beauchamp et Normand Thauvette ainsi que l’excellent co-scénariste; Paul Risacher. On y verra à soutenir et à promouvoir le film du mieux que l’on peut, mais déjà, nos agendas sont «bookés» mur à mur. Il y aura trois projections auxquelles nous assisterons avec des Q&A après chacune des présentations et pleins d’autres activités de promotions. Étant plus habile du crayon, je vais devoir faire des entrevues sans mes crayons… en espérant que mes paroles seront être juste et satisfaire à bien répondre aux questions.
Nous sommes très fiers de cette sélection à Sundance et je crois que l’on va tout faire pour bien représenter ce film unique et sans oublier tous les artisans qui ont travaillés sur le film et bien sûr, que serait le Québec sans ses hivers… car après tout, il s’agit bien d’un film d’hiver et du plaisir de jouer dehors!
François Brisson
Sutton, janvier 2016
Communiqué de presse
Communiqué de presse
Communiqué de presse
Journal le Tour (Sutton)
Page couverture du journal saisonnier de la ville et de la région de Sutton en Estrie.

Article biographique
À l'intérieur du journal, un article biographique à été écrit sur l'artiste et son cheminement.

Exposition NightCap
Venez visiter l'expositon Night Cap. Je fais parti des évènement.
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Biographie
François Brisson, dès sa toute jeune enfance, dessinait continuellement tout ce que ses yeux pouvaient voir et interpréter, en jouant du crayon comme un musicien du piano. Très vite, il a développé une passion pour la bande dessinée, où il pouvait aussi inventer et illustrer des aventures, aussi amusantes qu’héroïques. Il découvrit le plaisir de raconter des histoires avec son art.
Après ses études en graphisme, début des années 80, il participa à la création et à la publication du journal de bandes dessinées COCKTAIL. L’aventure dura six numéros. Il a ensuite été publié dans le mensuel de bandes dessinées TITANIC, magazine marquant de la décade. Il travailla quelques années en graphisme mais la passion du dessin, de l’illustration et de la peinture était trop forte. Il bifurqua vers le dessin animé, une industrie qui naissait alors à Montréal. Il s’intégra rapidement et avec brio à cet univers proche de la BD. Surtout, il pouvait tous les jours dessiner et perfectionner l’art du mouvement, de la mise en scène, de la simplification des formes et de leurs volumes dans l’espace, quittant l’univers étudié et méticuleux des cases pour celui du cadre vivant du film.
Les années ’90 ont été riches pour le monde de l’animation. L’industrie québécoise bouillonnait et était en pleine croissance, rivalisant avec les grands studios du monde. Il a travaillé sur plusieurs séries télévisuelles au niveau de la création des personnages, des différents styles graphiques, de la mise en scène (story-board) ou en les réalisant. Des séries telles que Bob Morane, Arthur, Arsène Lupin, Le Marsupilami, Ripley’s Believe it or not, le Monde Perdu de Conan Doyle, Inuk et Vortech pour les studios Universal, une série basée sur des jouets de Hasbro. Il a été le réalisateur canadien pour la co-production internationale Robinson Sucröe. Série télévisuelle dont la compagnie Cinar et consœurs sont poursuivies en justice pour avoir copié l’auteur Claude Robinson, qui se bat toujours pour ses droits. Un combat injuste largement décrit dans les journaux.
Dans les années 2000, François Brisson, a été largement occupé à la gestion et l’organisation d’un studio d’animation dans le Vieux Montréal. Découvrant le milieu de l’animation sous la lorgnette cette fois de producteur. Même rigueur à développer et produire des séries de qualités originales. Il a produit et réalisé plusieurs productions et co-productions internationales et a gagné un Gémeau pour la meilleure série en animation. Bien qu’il soit toujours actif dans le monde du dessin animé, son pinceau se mélange avec toute cette expérience et imprègne dorénavant ses toiles poursuivant toujours simplement ce qu’il avait déjà commencé dans son enfance : les joies de crayonner sur une simple feuille de papier.
Devant une de ses toiles, le spectateur est attiré par les couleurs et leurs vivacités, puis, il découvre une mouvance des formes dans un lieu habité. Une histoire unique s’anime dans l’imaginaire de l’observateur. La fenêtre est ouverte... contemplez... découvrez.
Fervent cycliste, plusieurs de ses escapades s’entremêlent joyeusement sur ses toiles, transmettant cette sensation de liberté du moment, du vent, l’effort physique, de l’horizon fuyant parmi les vallons et les cieux inspirants des Cantons de l’est.
Vous pouvez voir ses huiles de style «narratif» et le rencontrer à son atelier situé à Sutton, joli village de l’Estrie :
La Galerie d’Art les Imagiers
19-5, rue Principale Sud, Sutton, Qc
(450) 538-1771

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