Catherine Hubert
Je travaille constamment : en ce moment, à Paris, je sculpte la pierre, et je peins, de manière quotidienne. Au cours de mes séjours à la campagne, je travaille actuellement le merisier
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Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
sculptures en pierre • 9 œuvres
Voir toutsculptures en bois • 15 œuvres
Voir toutBronze • 5 œuvres
Voir toutCollages sur papier • 13 œuvres
Voir toutSignes : huile et pigments sur toile • 12 œuvres
Voir toutMarianne FAITHFULL : acrylique sur toile • 19 œuvres
Voir toutReconnaissance
Biographie
Je travaille constamment : en ce moment, à Paris, je sculpte la pierre, et je peins, de manière quotidienne. Au cours de mes séjours à la campagne, je travaille actuellement le merisier
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Nationalité:
FRANCE
- Date de naissance : date inconnue
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Français
Evénements artistiques en cours et à venir
Influences
Formation
Cote de l'artiste certifiée
Accomplissements
Activité sur ArtMajeur
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Communiqué de presse
introduction
Depuis ma naissance à Neuilly-sur-Seine le 16 Mai 1953, j’ai bénéficié de l’influence de mes parents, historiens d’art et conservateurs de musées. C’est au Lycée Français de Londres que j’ai passé mon Baccalauréat littéraire avec mention.
Après avoir suivi l’université d’anglais, j’ai obtenu Licence, Maîtrise, CAPES d’Anglais(9e), avec mentions. J’ai été reçue à l’Ecrit de l’Agrégation en 1979. Pendant un an, j’ai enseigné aux Etats-Unis, à Clark University (en 1976/77). En parallèle avec mes années d’enseignement en Région Parisienne (années 79 à 86), j’ai suivi une formation artistique, à l’Ecole du Louvre en 1973/74, puis à l’Ecole Municipale de Dessin Place des Vosges de 1979 à 81, ensuite à l’Ecole des Arts Plastiques Rue de Seine (81/82), et enfin aux Arts Décos (ENSAD)de 1982 à 85. Pendant mes années londoniennes, j’ai participé à l’Association artistique Womenswork de 1986 à 1989 et à ILEA Sculpture Studio de Chelsea de 1987 à 1989. A mon retour à Paris, j’ai sculpté et modelé dans un atelier de sculpture de l’ADAC de 1989 à 2001. J’ai travaillé avec le Groupe Croquis des Plasticiennes au cours des années 1990.

naissance de la sculpture
Je sculpte depuis le début des années 80, de grands troncs d’arbres, à la campagne ; je les taille en parties du corps agrandies, selon ce que le bois m’évoque, des Déesses, des Amazones, qui vivent dans la matière brute. A Paris, je sculpte la pierre ; des visages apparaissent, des signes amoureux.

le bois
Mes sculptures en bois représentent des parties agrandies du corps, comme si l’arbre devenait humain lui-même (« Le Grand Sein », « Le Gros Poing », « Le Gros Pied » (personnage d’une pièce de théâtre de Picasso), «La Grande Main », des torses ( « Torse d’Adolescente », « Torse de Femme », de grandes têtes (« Tête de Jeune Femme », « Tête d’Amazone », « Tête d’Amazone à quatre plumes », « Tête de Sorcière », « Tête de hibou », « Tête de Chèvre »), et également la « Déposition de Croix ». Je travaille de manière brute de façon à respecter le tronc d’arbre de départ. J’inscris ma vision dans le tronc d’arbre. Ce sont pour la plupart des bois fruitiers.

la pierre
Mes sculptures en pierre sont traitées de manière beaucoup moins brute, beaucoup plus polies (« Orante», nombreuses petites têtes, « Femme couchée »). Elles sont trapues, fortes et douces à la fois. Je trouve la pierre plus tendre que le bois, moins résistante. Sauf le marbre, bien sûr, qu’il faut tailler très « maigre », c’est-à-dire avec le ciseau moins perpendiculaire à la surface qu’on taille, plus parallèle, de façon à en enlever moins à la fois.( « Déesse de marbre », « Jeune hibou », « L’Aztèque »).

le bronze
Mes bronzes sont pour la plupart des bustes grandeur nature, fondus d’après des modelages de terre («Portrait d’Alison Mathias », « Autoportrait », « Baby A ») ; des nus féminins fondus d’après des modelages de cire (« grand nu », « petit nu couché », « petit nu assis »), ainsi que le bas-relief en trompe-l’œil du Sous-sol des Arts Déco, où j’ai débuté le modelage.

collage
Ma série des Collages, représente d’autres plasticiennes qui posent à tour de rôle. Ce sont des modèles vivants , des poses rapides, en papiers déchirés, des papiers peints, avec des rehauts de crayon et d’encre, faits dans la fébrilité. (« Michèle en Kagemusha », « Sylvie en train de s’envoler » , etc.) Cette série comporte vingt-deux collages, dont onze sont chez des particuliers, et un est la propriété de l’artiste car il est à l’origine la couverture du livre « Création » cité plus haut.

signes
Ma série des « Signes » est peinte aux pigments de couleurs et à l’huile de lin. Je broie les pigments avec l’huile, et j’applique directement la couleur du fond de la toile avec le plat du pilon en verre, en une technique d’«aquaplaning ». Une fois le fond sec, (un mois environ), rapidement, sous l’effet de l’inspiration soudaine, je peins le signe avec la tranche du pilon de la nouvelle couleur.(« Cœur voyeur », « Cœur libre », « Cœurs enlacés », « Cœur volant », « Vulva 1», « Vulva 2 », « Cœur de Vert », « Les Yeux d’Erica », «L’Œil d’Erica, bleu », « L’œil d’Erica, rouge », « Grappe de fruits », « Œil de biche », etc.)

Marianne Faithfull
Ma série des Marianne Faithfull est constituée de dix-neuf portraits peints de cette immense artiste que j’admire profondément depuis de nombreuses années.

conclusion
Je travaille constamment : en ce moment, à Paris, je sculpte la pierre, et je peins, de manière quotidienne. Au cours de mes séjours à la campagne, je travaille actuellement le merisier

transversalité artistique
Après de premières expositions à Londres, à l’Oval en 1988, à la Brixton Art Gallery en 1988 (et en 1995) j’ai été Sociétaire du Salon des Indépendants, où j’expose depuis 1989 jusqu’en 2006 ; Sociétaire du Salon d’Hiver (Galerie de Nesle) durant les années 90, j’y ai obtenu deux fois le Prix Spécial du Jury. J’ai exposé à la Maison des Femmes de Paris en 1991, 1993, 1997, et en 2004 ; ainsi qu’avec les Plasticiennes en 1994, 1995, 2003 et 2006. J’expose au Salon des Octaviennes depuis 1993 (sa création), tous les ans. En 1993, j’ai exposé à MUSA, à Göttingen, en Allemagne. J’ai participé au Prix de l’Institut, Académie des Beaux-Arts (Prix Paul-Louis Weiller) en 1996, 1998, 2000, 2003. En 2003, 2004, une grande exposition personnelle à La Baroquerie à Albi, a regroupé mes grandes sculptures en bois, ainsi qu’une série de peintures de « signes », idéogrammes, et mes collages.
A La Champmeslé, 4 rue Chabanais 75002, à Paris, depuis 2003, en moyenne deux fois par an, se tiennent des expositions personnelles de mes travaux en deux dimensions (peintures surtout). En 2005, à la Galerie Artmonti, 10/12, rue Budé 75004, à Paris, dans l’Ile Saint-Louis, j’ai exposé une première série de mes peintures-signes aux pigments broyés ; du 17 au 29 Novembre 2006 se tient une exposition de mes sculptures, peintures et collages, à la Galerie Artmonti également.
Mon art est transversal : j’ai obtenu le Prix de Poésie des Octaviennes en 1999/2000, et le Prix Inter-Arts en 1997/1998. Car j’écris également : j’ai publié neuf ouvrages, dont huit aux Editions Geneviève Pastre, 67 rue Saint-Jacques, 75005, PARIS : Jessica ou l’île, drame, en 1993, Vers l’Ouest, en 1995, La Lumière de la nuit, en 1997, « Création » en 2000, « Marguerite »(aux Editions Clàpas) en 2001, « Lotta » en 2003, « Dreams » en 2005, « Les Onze pies » en 2006. En cours de parution, « Twitille », théâtre.