Fiori (2008) Photographie par Aurelio Nicolazzo

Mon art est né dans le sud de l'Italie, en Calabre, dans les années 1990/91. Je suis né dans le nord de l'Italie. J'ai un niveau de culture universitaire et une santé pas bonne qui m'a bloqué à bien des égards. Lorsque j'ai pris l'art comme partie intégrante de ma vie et de mon intelligence, je n'ai travaillé que quelques fois dans une activité qui s'est terminée aussi. L'art, le soleil du Sud, l'amour m'ont sauvé la vie et ont généré mes œuvres. Puis arrivèrent de nombreuses récompenses importantes : la Saatchi Gallery de Londres, le professeur Vittorio Sgarbi, le professeur Paolo Levi, après de nombreuses expositions d'art et participations à des catalogues de grande importance en Italie.

Après avoir raté le cours d'élève-officier complémentaire de l'Armée en raison de problèmes cardiaques, j'ai fait mon service militaire. Je n'avais aucune certitude quant à mon avenir. À l'Université « La Sapienza » de Rome, Faculté d'Économie et de Commerce, depuis 1983, j'avais passé trois examens : Mathématiques Générales écrites et orales, Comptabilité Générale et Appliquée écrite et orale 1, Mercéologie. Puis la période militaire. Nous étions en décembre 1985 et un Colonel des Grenadiers de Sardaigne m'avait généreusement offert une partie de son matériel de peinture : peintures à l'huile et à la détrempe, palette, chiffon, pinceaux, ainsi que d'autres souvenirs. Je l'ai remercié et, pendant un congé de Noël, étant allé dans la maison de Calabre, j'ai dessiné l'image du « Bureau de Galilée » sur une feuille de papier à dessin. Je ne pouvais pas le peindre. Je ne l'ai terminé que le 29 juillet 1990, jour du centenaire de la mort de Vincent Van Gogh, et j'avais appris à la fin de l'œuvre peinte que cet anniversaire avait lieu. En 1991, j'ai poursuivi cet élan salvifique vers l'art, en me plongeant dans le soleil d'été brillant et chaud de la Calabre, en expérimentant à la fois l'amour et l'art. Ma vie était sauvée, j'avais trouvé la raison de vivre. Le travail de programmeur informatique n’avait duré que six mois. Plus tard, je faisais des travaux sporadiques et toujours pour pouvoir acheter à tout moment le matériel de peinture avec mon propre argent. Depuis ces débuts, la peinture avait pris son essor et puis sont venues les premières expositions, les catalogues, les mentions, mon site internet que j'ai financé et créé, le nom artistique qui est une anagramme du nom et du prénom et qui est Elio Lazzaro Unico : Elio comme un diminutif d'Aurelio, Lazzaro comme la résurrection et le salut d'une personne dans l'art et Unico, à certains égards, est aussi un peu vrai. Le premier prix "Art à la télé" de 2012, le catalogue du professeur Vittorio Sgarbi et l'inclusion de deux œuvres dans ses archives à Ferrare. Participation au catalogue Mondadori. Et les plus grands conservateurs et critiques qui m'ont honoré de mentions et de considérations, jusqu'à la collaboration actuelle avec Arte Accessibile Orler qui a monté une jolie vidéo sur ma peinture. Je travaille au studio de Rome en hiver et au studio de Calabre en été et en automne. Ma peinture est figurative au début, mais aussi abstraite, avec plus de force depuis 2006 et avec succès.

• Nationalité: ITALIE
• Date de naissance : 1964
• Domaines artistiques:
• Groupes: Artistes Contemporains Italiens