Lady Texas with her cousins approach the S. France, 1944 (2023) Peinture par Anatoliy Nozdrin

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  • Œuvre d'art originale (One Of A Kind) Peinture, Huile sur Toile
  • Dimensions Hauteur 17,7in, Largeur 23,6in
  • État de l'œuvre L'oeuvre est en très bon état
  • Encadrement Cette oeuvre n'est pas encadrée
  • Catégories Classicisme Guerre
As to me Dradnaught-battleships were masterpieces of engineering and technological art. Their harsh and terrifying beauty reflects the special place of war in the nature of mankind, from the barbarians of the Neolithic, through the cavalry of the Middle Ages to the present. But at the same time, we cannot ignore the progress of humanity (most of it)[...]
As to me Dradnaught-battleships were masterpieces of engineering and technological art. Their harsh and terrifying beauty reflects the special place of war in the nature of mankind, from the barbarians of the Neolithic, through the cavalry of the Middle Ages to the present. But at the same time, we cannot ignore the progress of humanity (most of it) in realizing the destructiveness of wars. The First and Second World Wars are a fundamental turning point.
Battleship Texas is essentially the only surviving mastodon from that turbulent era, a place in the US that I would really like to visit. Who knows what this honored lady-warrior might tell the current generation while her 14-inch guns are silently watching....

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Toute créativité est indissociable de la vie, et elle est désormais sous le signe d'une agression insensée et cruelle contre l'Ukraine libre. Il n'y a aucune justification ni explication à cela, rien d'autre[...]

Toute créativité est indissociable de la vie, et elle est désormais sous le signe d'une agression insensée et cruelle contre l'Ukraine libre. Il n'y a aucune justification ni explication à cela, rien d'autre que la vanité du dictateur.

Mon parcours dans la peinture a commencé dans mes années préscolaires lorsque mon père m'a emmené à l'Ermitage et au Musée Russe de Saint-Pétersbourg. , les collections les plus complètes des plus beaux arts de Russie. Je me souviens encore avec appréhension de la façon dont j'étais resté fasciné devant le tableau de Maestro Aivazovsky « La Neuvième Vague ». - le summum de son génie. Bien sûr, à l'école, ils m'ont envoyé dans la meilleure école d'art, où j'ai étudié pendant 5 ans sous la direction d'A.G. Patrakov - peut-être le peintre le plus expressif de la ville. La formation était basée sur des principes académiques stricts et posait les bases de la technique de la peinture et d'une approche générale de la composition et du dessin. Je me souviens des master classes du peintre alors pas si célèbre A. Shevelev. Ses tableaux étaient exposés dans des galeries et me ravissaient. J'ai été convaincu très tôt que je n'avais le plus grand désir que du paysage, car il est très proche de moi, car j'allais constamment avec mon père dans la forêt, marchais le long des rives de la puissante Volga et des prairies, bosquets, les arbres et le ciel étaient imprimés dans mon esprit. Plus tard, j'ai décidé de compléter mes compétences et j'ai étudié au Yaroslavl Art College. Cependant, ayant déjà obtenu mon diplôme, je ne voulais pas perdre de temps et d'efforts dans des disciplines étrangères, et on m'a conseillé de prendre des cours particuliers. J'ai consulté des peintres paysagistes de la région : Patrakov, Bykov et Shevelev, en gardant à l'esprit la devise : « cela ne s'enseigne pas, mais on peut seulement l'apprendre ». Travailler comme ingénieur aéronautique exigeait une obéissance totale aux règles imposées et réprimait mon désir de liberté, ce qui a entraîné une grave dépression à long terme. La partie rationnelle de moi était épuisée et le salut venait de la partie artistique. Les peintures d'Aivazovsky, Shishkin, Klodt, Rembrandt, Levitan m'ont toujours fasciné. Peut-être que l'envie de liberté m'a poussé à me laisser emporter par le paysage marin, son environnement éternellement imprévisible et fluide. J'ai étudié le travail d'Aivazovsky, Bogolyubov et Cooke, Dmitriev. J'ai participé à des expositions commerciales privées à Rybinsk, Yaroslavl et Moscou. Beaucoup de bruit excessif et inutile. Cette expérience, malgré ses avantages, j’ai depuis évité. 24 février 2022. Tout bascule. Le dégoût de cette réalité a donné un élan supplémentaire à la créativité. L'art me remplit de force intérieure pour résister à l'atmosphère suffocante et préserver l'humanité.

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