All artworks by Ya Wen Hsu
Sketch 素描-Blues 憂鬱 • 9 artworks
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Dessiner un sentiment gris n'est pas une chose simple, car je ne veux pas que ce soit complètement noir. [...]
Dessiner un sentiment gris n'est pas une chose simple, car je ne veux pas que ce soit complètement noir. Ce qui m'intéresse dans le ressenti humain, est, même dans le cas pire pour soi, il en trouve toujours un issus pour surmonter. Cette action vers le haut, je la nome la Grâce. Cette dernière aide l'homme à se mûrir en traversant ses expériences. Ainsi il se met debout de son échec avec l'élégance comme le phénix renaît de son cendre.
Wandering Between Components 游走肺腑之間 • 16 artworks
View allPoetry 詩 • 6 artworks
View allShanghai‘s Rhapsody 上海狂想曲 • 10 artworks
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"Après plus d’un an et demi de vie à Shanghai, ce n'est plus une vie de touriste. Surtout pas pour quelqu'un [...]
"Après plus d’un an et demi de vie à Shanghai, ce n'est plus une vie de touriste. Surtout pas pour quelqu'un comme moi, imprégnée d’une double culture aussi bien chinoise que française. Je suis très sensible à cette ville chinoise profondément européenne.
Shanghai. Je vis si près d'elle, si en elle que son identité et sa personnalité se dessinent de plus en plus clairement en moi. Ses horribles foules m'envahissent tandis que son immense solitude m'enveloppe, mais je l'aime comme j’aime une valse interminable. J’aime particulièrement ses néons qui s’enflamment dans la nuit de velours avec ostentation. Quel spectacle féerique ! Je suis déjà ivre en buvant ses pluies de lumières ! Le jour à Shanghai appartient aux millions de travailleurs qui remuent les poussières en piétinant le sol pour leurs affaires. Mais la nuit, elle se transforme en monde des immortels ! La vie nocturne semble suave et facile, coulant dans les rues particulièrement fréquentées des étrangers.
Shanghai est l’estrade des nouveaux humains du 21ème siècle où naissent sans cesse les dernières nouveautés. Cette métropole ressemble au creuset du sentiment urbain et contemporain. Pourquoi cette ville me fascine tant ? C’est peut-être qu’il y a un grand libre choix de l’Être ! "
Shanghai. Je vis si près d'elle, si en elle que son identité et sa personnalité se dessinent de plus en plus clairement en moi. Ses horribles foules m'envahissent tandis que son immense solitude m'enveloppe, mais je l'aime comme j’aime une valse interminable. J’aime particulièrement ses néons qui s’enflamment dans la nuit de velours avec ostentation. Quel spectacle féerique ! Je suis déjà ivre en buvant ses pluies de lumières ! Le jour à Shanghai appartient aux millions de travailleurs qui remuent les poussières en piétinant le sol pour leurs affaires. Mais la nuit, elle se transforme en monde des immortels ! La vie nocturne semble suave et facile, coulant dans les rues particulièrement fréquentées des étrangers.
Shanghai est l’estrade des nouveaux humains du 21ème siècle où naissent sans cesse les dernières nouveautés. Cette métropole ressemble au creuset du sentiment urbain et contemporain. Pourquoi cette ville me fascine tant ? C’est peut-être qu’il y a un grand libre choix de l’Être ! "
Abstraction en Errance 放逐的抽象 • 11 artworks
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2012 La fin du monde. 2012 c'est aussi la fin du monde pour ma petite vie. C'était nécessaire l'errance [...]
2012 La fin du monde. 2012 c'est aussi la fin du monde pour ma petite vie. C'était nécessaire l'errance pour se référer du grand horizon. Errance était urgence. Le grand horizon était au plus loin. Ainsi se tracait l'itinéraire : France - Chine. C'est ceci, motif de cette série d'abstraction.
peinture à l'huile • 8 artworks
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Quinze milliards d’années supputent les astrophysiciens… Mais avant? Les « pièces » murales de Ya-Wen [...]
Quinze milliards d’années supputent les astrophysiciens…
Mais avant ?
Les « pièces » murales de Ya-Wen HSU nous surprennent à la fois pour la sensation d’immensité qu’elles inspirent et p par la puissante énergie qui s’en dégage. Elles naissent de l’assemblage d’éléments dérisoires qui nous sont familiers, et que l’on s sent subitement habitées par des palpitations subtiles d’atmosphère hors du monde.
Il est possible à Ya-Wen HSU de construire des îlots de plénitude avec des riens, au hasard des jours, vouée à sa mystique du dépassement sur un mode intimiste. Les tentations du monde, au sens le plus commun, la laissent indifférente, elle qui rêve avant tout d’harmonie simple et souriante. Laissons nous tenter par cette vision que nous souhaiterions prémonitoire, c’est enfin l’occasion d’une formidable espérance.
Mais avant ?
Les « pièces » murales de Ya-Wen HSU nous surprennent à la fois pour la sensation d’immensité qu’elles inspirent et p par la puissante énergie qui s’en dégage. Elles naissent de l’assemblage d’éléments dérisoires qui nous sont familiers, et que l’on s sent subitement habitées par des palpitations subtiles d’atmosphère hors du monde.
Il est possible à Ya-Wen HSU de construire des îlots de plénitude avec des riens, au hasard des jours, vouée à sa mystique du dépassement sur un mode intimiste. Les tentations du monde, au sens le plus commun, la laissent indifférente, elle qui rêve avant tout d’harmonie simple et souriante. Laissons nous tenter par cette vision que nous souhaiterions prémonitoire, c’est enfin l’occasion d’une formidable espérance.
Sold Artworks • 2 artworks
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