Les Amérindiens, dans leur immense sagesse disaient avoir pour mère la terre et pour père le Grand Esprit, alors oui, j’aime ma mère la terre, fertile et nourricière, j’aime le dessin éphémère des nuages qui voyagent au fil de l’air, j’aime le tronc des arbres, sages et forts, où se dessine le récit silencieux de leur histoire, j’aime l’eau qui coule, j’aime le génie et le travail de l’homme qui rêve, qui cherche, qui se dépasse, qui invente et qui bâtit, mais ce que j’aime par-dessus tout, ce sont les vibrations qui nous transcendent, l’équilibre miraculeux des lignes, des formes, des couleurs, des blancs, des noirs, l’harmonie suave de la musique, des notes ou des silences qui prennent vie en résonance les uns aux autres et qui nous laissent à r^ver d'une autre vérité…
