N A I L I
NAILI vit et travaille à Paris.
Dès son plus jeune âge, elle se sent attirée par l’art sous toutes ses formes. A cinq ans, elle découvre la danse. L’année suivante, elle entre au Conservatoire de musique de Nevers où elle apprend l’alto puis, plus tard, le piano. La passion de la danse la mène à recevoir les enseignements de Claire Motte, Janine Charrat, Peter Goss. A 17 ans, elle accompagne, Bruno Petit, « l’abbé chantant » dans un tour d’Europe qui se termine à l’Olympia.
Durant ces années, elle étudie le dessin et écrit dans des petits cahiers qui ne la quittent jamais. Elle aime à dire que tous ces apprentissages lui ont donné le sens de l’harmonie et de l’équilibre.
Admise en hypokhâgne au lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine en 1986, Miriam quitte Nevers pour Paris où elle poursuit des études littéraires et de communication à la Sorbonne (Celsa). Elle devient publicitaire et exerce le métier pendant plus de 15 ans.
Elle abandonne sa carrière professionnelle en l’an 2000 pour se consacrer à la rédaction de recueils de prose poétique sur le thème du portrait. Portraits de gens au travail, de voisins et, portraits de femmes.
Son manuscrit « Maux d’Elles, petits portraits de femmes » obtient la mention spéciale du jury au prix littéraire de l’Aiguillon en 2006.
Depuis, elle a entrepris d’illustrer son ouvrage en peignant un portrait pour chacun de ses récits. L’aventure du pastel commence.
Alors que l’on compare souvent sa peinture à celle de Léonor Fini ou de Marie Laurencin, l’artiste se rattache au courant expressionniste pour son romantisme, à La Bruyère et ses « Caractères » pour son travail de recherche sur l’esprit humain. Elle reste par ailleurs profondément attachée aux portraits de Picasso dans sa première période (découverts à Barcelone) et à ceux, acidulés d’Amadeo Modigliani, sans oublier « Le Maître », celui qu’elle admire pour la richesse de sa palette poudrée et pour la finesse du trait : Quentin Latour.
Elle manie les craies comme on sculpte la glaise. Chaque femme qui naît sous sa main a une personnalité, une histoire, un regard, une présence, quelque chose qui émeut et transporte…
La paresse au boudoir, Secrets d’alcôve, Pastis au Hammam, Conversation au salon, Noces de diamants, etc… Ces figures imaginaires nimbées de mystère sont comme les filles du vent, évanescentes et légères. Elles se présentent à nous d’abord par leur regard. Un regard inoubliable qui questionne sur l’essence de la vie et nous ramène certainement à une part de nous-mêmes : la plus intime, cachée au fond de l’âme...
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Reconnaissance
Biographie
NAILI vit et travaille à Paris.
Dès son plus jeune âge, elle se sent attirée par l’art sous toutes ses formes. A cinq ans, elle découvre la danse. L’année suivante, elle entre au Conservatoire de musique de Nevers où elle apprend l’alto puis, plus tard, le piano. La passion de la danse la mène à recevoir les enseignements de Claire Motte, Janine Charrat, Peter Goss. A 17 ans, elle accompagne, Bruno Petit, « l’abbé chantant » dans un tour d’Europe qui se termine à l’Olympia.
Durant ces années, elle étudie le dessin et écrit dans des petits cahiers qui ne la quittent jamais. Elle aime à dire que tous ces apprentissages lui ont donné le sens de l’harmonie et de l’équilibre.
Admise en hypokhâgne au lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine en 1986, Miriam quitte Nevers pour Paris où elle poursuit des études littéraires et de communication à la Sorbonne (Celsa). Elle devient publicitaire et exerce le métier pendant plus de 15 ans.
Elle abandonne sa carrière professionnelle en l’an 2000 pour se consacrer à la rédaction de recueils de prose poétique sur le thème du portrait. Portraits de gens au travail, de voisins et, portraits de femmes.
Son manuscrit « Maux d’Elles, petits portraits de femmes » obtient la mention spéciale du jury au prix littéraire de l’Aiguillon en 2006.
Depuis, elle a entrepris d’illustrer son ouvrage en peignant un portrait pour chacun de ses récits. L’aventure du pastel commence.
Alors que l’on compare souvent sa peinture à celle de Léonor Fini ou de Marie Laurencin, l’artiste se rattache au courant expressionniste pour son romantisme, à La Bruyère et ses « Caractères » pour son travail de recherche sur l’esprit humain. Elle reste par ailleurs profondément attachée aux portraits de Picasso dans sa première période (découverts à Barcelone) et à ceux, acidulés d’Amadeo Modigliani, sans oublier « Le Maître », celui qu’elle admire pour la richesse de sa palette poudrée et pour la finesse du trait : Quentin Latour.
Elle manie les craies comme on sculpte la glaise. Chaque femme qui naît sous sa main a une personnalité, une histoire, un regard, une présence, quelque chose qui émeut et transporte…
La paresse au boudoir, Secrets d’alcôve, Pastis au Hammam, Conversation au salon, Noces de diamants, etc… Ces figures imaginaires nimbées de mystère sont comme les filles du vent, évanescentes et légères. Elles se présentent à nous d’abord par leur regard. Un regard inoubliable qui questionne sur l’essence de la vie et nous ramène certainement à une part de nous-mêmes : la plus intime, cachée au fond de l’âme...
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Nationalité:
FRANCE
- Date de naissance : date inconnue
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Français

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Communiqué de presse
Miriam Naïli, invitée d'honneur à Sibiril
Une exposition exceptionnelle s'est ouverte, vendredi soir, à la salle de l'Atlantide, sous l'égide de l'association de peintres des "Reflets de la Penzé", venue montrer le travail de ses adhérents et donner à ce salon une touche bien féminine avec les portraits de l'invitée d'honneur, Miriam Naïli.
Sylvie Quéguiner, présidente, et Maryse Lacut, fer de lance de cette exposition, ont accueilli Miriam Naïli et 50 de ses oeuvres pastel.
L'artiste parisienne a reçu en mai dernier la médaille d'argent de la galerie ArtMajeur International et le prix Carnéade de l'Académie Mazarine en 2007.
D'origine nivernaise, Miriam Naïli a entrepris d'illustrer ses oeuvres littéraires, des chroniques sur la vie des femmes, en créant des oeuvres picturales aux regards sensibles qui ne peuvent laisser indifférent.
"J'ai eu une formation de danseuse. Cela m'a donné une notion d'équilibre, d'harmonie et de sensibilité, une sensibilité qui me permet de capter l'âme des femmes à travers leur regard", commentait vendredi Miriam Naïli.
Aux côtés de ses portraits, sont exposées 148 oeuvres dont celles crées par 17 membres de l'association organisatrice. Mais, pour ce grand rendez-vous artistique, "Reflets de la Penzé" a également invité les peintres sibirilois et des communes voisines. Lors de cette grande exposition, le visiteur peut également découvrir les sculptures de la Carantécoise, Céline Conaté, cinq argiles cuites et patinées.
A noter
L'exposition est visible aujourd'hui et demain de 14h à 18h.

Médaille D'argent Artmajeur International 2007, 2008, 2009, 2010, 2011 et 2012

Prix Carnéade de l'Académie Mazarine
Décembre 2007

Miriam Naïli, invitée d’honneur à Sibiril
Lundi 18 août 2008
Une exposition, organisée par l'association les Reflets de la Penze, s'est tenue pendant trois jours dans la salle communale Atlantide. L'objectif était de valoriser le travail et la progression de ses adhérents dans les domaines artistiques, picturaux et plastiques. Miriam Naïli, de Paris, invitée d'honneur, y a présenté un panel de ses portraits, riche d'une cinquantaine de réalisations. Miriam Naïli, artiste, danseuse et chorégraphe, quasiment inconnue à Sibiril, est pourtant titulaire de nombreux prix et citations. Elle vient d'obtenir une distinction et un prix littéraire pour Maux d’Elles, son recueil de Portraits de femmes. Médaillée d'argent de la galerie ArtMajeur International, elle est également titulaire du prix Carnéade 2007, décerné par l'académie Mazarine.
« Danseuse, j'ai acquis des notions de stature, d'équilibre et d'harmonie gestuelle. Avec du recul, je pense que cet art m'a permis de développer une forme de sensibilité. Une sensibilité axée sur la création de visages féminins. » Outre les oeuvres de l'invitée d'honneur, près de 150 tableaux et pastels, ainsi que des sculptures et des argiles cuites sont présentées à l'Atlantide, destinées à valoriser le parcours artistique des peintres locaux.

Médaille de Bronze de l'Académie des Arts Sciences et Lettres - 2011
La Société Académique Arts Sciences Lettres a été fondée en 1915 et a été primée par l'Académie Française. Elle récompense les femmes et les hommes de toutes nationalités qui se sont distinguées dans les arts (peinture, sculpture, musique, architecture...), les sciences (médecine, biologie, physique...) et les lettres (écrivains, historiens...).
Parmi les récompensés, on peut citer : La Reine de Belgique, la Reine de Thaïlande, des Prix Nobel : Albert Schweitzer, Jean-Marie Lehn, Pierre et Marie Curie ; des musiciens : Yehudi Menuhin, Francis Lemarque, Francis lopez ; des Académiciens Jules Romains, André Maurois, Colette, Marcel Pagnol, Henry Troyat, des explorateurs : Jacques-Yves Cousteau, des peintres : Philippe Lejeune, Michel; des personnalités : le Prince Louis de Broglie, Louis Lumière, ...Afficher la suite

Finaliste du concours international de la création sur internet à Romans en 2007 et 2008

Trait, portrait...
NAILI vit et travaille à Paris.
Dès son plus jeune âge, elle se sent attirée par l’art sous toutes ses formes. A cinq ans, elle découvre la danse. L’année suivante, elle entre au Conservatoire de musique de Nevers où elle apprend l’alto puis, plus tard, le piano. La passion de la danse la mène à recevoir les enseignements de Claire Motte, Janine Charrat, Peter Goss. A 17 ans, elle accompagne, Bruno Petit, « l’abbé chantant » dans un tour d’Europe qui se termine à l’Olympia.
Durant ces années, elle étudie le dessin et écrit dans des petits cahiers qui ne la quittent jamais. Elle aime à dire que tous ces apprentissages lui ont donné le sens de l’harmonie et de l’équilibre.
Admise en hypokhâgne au lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine en 1986, Miriam quitte Nevers pour Paris où elle poursuit des études littéraires et de communication à la Sorbonne (Celsa). Elle devient publicitaire et exerce le métier pendant plus de 15 ans.
Elle abandonne sa carrière professionnelle en l’an 2000 pour se consacrer à la rédaction de recueils de prose poétique sur le thème du portrait. Portraits de gens au travail, de voisins et, portraits de femmes.
Son manuscrit « Maux d’Elles, petits portraits de femmes » obtient la mention spéciale du jury au prix littéraire de l’Aiguillon en 2006.
Depuis, elle a entrepris d’illustrer son ouvrage en peignant un portrait pour chacun de ses récits. L’aventure du pastel commence.
Alors que l’on compare souvent sa peinture à celle de Léonor Fini ou de Marie Laurencin, l’artiste se rattache au courant expressionniste pour son romantisme, à La Bruyère et ses « Caractères » pour son travail de recherche sur l’esprit humain. Elle reste par ailleurs profondément attachée aux portraits de Picasso dans sa première période (découverts à Barcelone) et à ceux, acidulés d’Amadeo Modigliani, sans oublier « Le Maître », celui qu’elle admire pour la richesse de sa palette poudrée et pour la finesse du trait : Quentin Latour.
Elle manie les craies comme on sculpte la glaise. Chaque femme qui naît sous sa main a une personnalité, une histoire, un regard, une présence, quelque chose qui émeut et transporte…
La paresse au boudoir, Secrets d’alcôve, Pastis au Hammam, Conversation au salon, Noces de diamants, etc… Ces figures imaginaires nimbées de mystère sont comme les filles du vent, évanescentes et légères. Elles se présentent à nous d’abord par leur regard. Un regard inoubliable qui questionne sur l’essence de la vie et nous ramène certainement à une part de nous-mêmes : la plus intime, cachée au fond de l’âme...
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COLLECTIONS PRIVEES
France, Belgique, U.S.A

Article
"On ne peint pas pour faire de la peinture, ou même pour être peintre : seuls les amateurs en sont là.
On peint pour des raisons plus profondes et qui n'ont rien à voir avec la carrière ; ce qui est essentiel pour un peintre, c'est le rapport entre son art et tout ce qui n'est pas la peinture, c'est ce désir de capter les couleurs et les saveurs du monde". Stéphane Audeguy

Mention spéciale au prix de l'Aiguillon 2006
PRIX LITTERAIRE - DISCOURS PRONONCE LE 2 SEPTEMBRE 2006 AU CHATEAU DE BAZOCHES, PAR MAITRE GOUJAT, PRESIDENT DU JURY DU PRIX LITTERAIRE DE L'AIGUILLON.
"MAUX D'ELLES", c'est l'état et l'éternel combat des femmes ; c'est un travail hardi qui bouscule les idées reçues.
On pense aux livres de l'Académicien Marcel Prévost "Les Demi Vierges" ou "La Garçonne" de Victor Margueritte, qui ont obtenu un grand succès de curiosité.
Habile par sa forme savante et réaliste à aller au fond des choses sous couvert de peindre le coeur, l'écrivain en connaît les dépendances et ne dissimule pas que le démon n'est pas seulement de midi, mais de toutes les heures.
Ce qu'il faut retenir de cet ouvrage, c'est que ses propos un peu hardis ne sont qu'une forme de ce besoin de changement et cette soif de liberté.
C'est aussi l'invitation à vivre sa vie de façon plus ouverte. Les revendications, sont parfois audacieuses, mais c'est à la nature et à la liberté qu'il faut demander le juste point.
Miriam Naïli compose des vers, et elle réalise une prose poétique, musicale, sans rythme et sans rime adaptée aux modulations de la rêverie.
On peut lui appliquer la formule de Goethe "Poésie m'est délivrance".

Article
"Dans les villes lumières, tout au cœur de l’humain, loin du tumulte en plein tourment,
Une petite main repousse en se cachant des tentures lourdes : « Songes aux secrets ! » Et des miroirs sans tain, au creux des chambres sourdes, comme sur le quai des gares, leurs alentours, absorbent les soupirs et les chuchotements du temps qui passe.
C’est de ces anges sombres, soudain porteurs d’espoir.
De leur questionnement, sans cesse renouvelé.
Qu’elle happe l’expression, exigeante, pure, grave
Comme un pétale trempé diffusant ses essences
Ses pastels transparents,
Ses huiles horizontales,
Ses couteaux luisants,
Ses visages effarés
Comme un pétale nacré qui tourne à l’orage
Une herbe verte apprend à dompter les étoiles
Comme les chenilles, elle se rebelle,
N’aime pas les pas des passants piétinant
Elle fond sous la douceur du soir
Et des heures déférentes qui glissent
Sous le feu des bougies
Elle grésille, et virevolte, elle se tait, elle s’étend
Pour elle la terre est un trésor qui bruit de tous ses fleuves abandonnés
De tout ceux qui vont naître et mourir à la fois
Elle regarde le monde, s’étonne, se souvient
De ceux qui virent, vécurent, aimèrent et trépassèrent
Elle aime ce souffle court qui se fout de l’oubli et réunit en lui les âmes craquelées, qui craquent sous les coups et l’horreur des tranchées froides du réel
Elle rit, elle raffole, elle jubile et elle dit qu’elle aime et qu’elle ressent, et qu’elle vit
C’est si difficile de vivre
Un mystère a pris corps.
Un mystère nous honore, nous retourne et nous fait devenir, devenir, devenir, ce que peut-être, tous, nous voulons toucher avant de mourir.
Un sourire, un diamant de chair et de sang.
C’est elle, Miriam, qui nous déroute avec gourmandise et bonheur chaque fois."
Mary Morgon (nom d'emprunt)
Journaliste à l'Agence France presse
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