Artiste peintre Française autodidacte, Laetitia Le Bihan a posé ses pinceaux à St Raphaël (côte d'azur).Sa passion pour la vie la pousse à étudier les Sciences de la Vie et de la Terre pour devenir professeure et transmettre ainsi ses valeurs.
A travers ses études, son goût pour le dessin la rattrape et elle décide de se consacrer à sa passion, l'Art.Son travail, qu'il soit figuratif ou abstrait demeure toujours suggestif par la grâce de la matière picturale.
Une fleur qui éclot, une main à message, des planètes en mouvement, des papiers anciens qui rappellent le temps qui passe et la vie qui continue... Laetitia n'hésite jamais à explorer tout ce qui passe par son cœur.
Le support et la matière sont autant de domaines exploitables et ainsi, elle travaille l'acrylique, l'aquarelle, le crayon ou l'huile sur des supports de formats et matières divers.
L’une des préoccupations principales de Laetitia Le Bihan est de ne jamais oublier d'où nous venons, elle aime de plus en plus souvent associer des papiers faisant référence au passé à des dessins ou peintures contemporains.Pour toujours garder espoir, elle se plait à représenter la vie végétale ou animale, la couleur faisant partie intégrante de son travail.
Existe-t-il une vie sur d'autres planètes ? Pouvons-nous toujours être animés par l'espoir d'une vie meilleure ?
La main façonne et la fascine, la main construit et détruit, elle est capable de faire autant de bien que de mal, elle est le prolongement de notre âme, l’expression ultime, le fil rouge de la vie. Le travail de Laetitia Le Bihan reflète qui elle est et toutes ces vies qui caressent l'espoir de jours meilleurs.
Que le spectateur se voit à travers ses tableaux, qu'il y trouve son histoire à travers la sienne, qu'il ressente une émotion aussi puissante que celle que son âme a laissé s'échapper sur la toile et à ce moment là seulement elle perçoit l'enchantement.
Musée archéologique de Saint-Raphaël, Rue de la Vieille Église, Saint-Raphaël, France
J’ai répondu à une commande du musée archéologique de Saint-Raphael en réalisant notamment 5 aquarelles sur des impressions de cartes géographiques anciennes et une aquarelle sur papier neutre que j’ai teinté avec du café.Cette dernière a été imprimée en 525 cm x 170 cm et installée dans le chœur de l’église au sein du musée.
Mon travail évoque d’une part le trajet de la flamme olympique à travers le temps et à travers le monde et d’autre part la puissance éternelle des jeux depuis Olympie en -776 av JC jusqu’à Paris 2024.
