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Charles Carson

Sorel-Tracy, Québec, Canada
Artiste (Peinture)
Né(e) en 1957
L'art de peindre est d'oublier la matière, cette dernière n'existe pas... elle n'est plus qu'ombres, lumières et couleurs aux reflets multiples.

Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec
Présente: Charles Carson, grand maître en beaux-arts

Un Documentaire Saisissant Sur L'oeuvre De Charles Carson. Les Experts - Art Contemporain . SUR YOUTUBE Recherché : carsonisme

Production et réalisation : Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec
Caroline Bruens, P.D.G. experte conseil en art et cofondatrice de l'AIBAQ



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LE HUFFINGTON POST, QC.
22 août 2013

Hélène Caroline Fournier
Commissaire, critique d'art, journaliste

Les mouvements artistiques nés au Québec

«Bien qu'on parle plus facilement des courants artistiques européens qui ont cours depuis la crise de l'art, les mouvements se terminant en « isme » existent aussi de ce côté-ci de l'océan Atlantique. Certains ont été créés par des Québécois d'origine et/ou des Québécois d'adoption.»

"Le Carsonisme"

« Charles Carson a creusé son sillon vers la postérité artistique, car aujourd'hui on dit c'est un Carson, comme on dit c'est un Picasso, un Matisse, un Warhol, un Basquiat et tous les autres artistes immortels ». -- Christian Sorriano, président de Drouot cotation à Paris, expert en art et en antiquités.

Le Carsonisme est né au début des années 1990, alors que l'historien et expert en art, Louis Bruens, écrivait sur l'œuvre de Charles Carson. C'est par la suite que Guy Robert, le père fondateur du Musée d'art contemporain de Montréal, lui consacra une importante analyse. Il soulevait notamment l'originalité toute particulière du travail de Charles Carson avec les couleurs, avec le rythme et le dynamisme intrinsèque. Il éprouvait une réelle fascination pour cette profondeur qui animait les œuvres de cet artiste. En un mot, le Carsonisme lui faisait l'effet d'une bouffée de fraîcheur dans la morosité ambiante du marché de l'art de l'époque aux prises avec ses préoccupations esthétiques. La vivacité de la palette de l'artiste, sa façon d'occuper l'espace dans une composition rythmée, sa subtilité entre figuration et abstraction, auguraient un futur des plus prometteurs. Ils ont été nombreux, par la suite, historiens, experts, critiques, écrivains en art, à se pencher sur l'étude des œuvres de Charles Carson......

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Le « Carsonisme » fête ses trente ans! Maître Charles Carson, peintre québécois, est une figure prédominante [...]
Le « Carsonisme » fête ses trente ans !

Maître Charles Carson, peintre québécois, est une figure prédominante du milieu des arts visuels. Il célèbre cette année deux anniversaires importants : ses 45 ans de carrière et le 30e anniversaire du « carsonisme », mouvement dont il est l’innovateur.

Au début de 1992, l’historien et expert en art Louis Bruens écrivait sur l’œuvre de Carson : « La peinture au sujet de laquelle je m’exprime ici, que l’on peut aisément qualifier de contemporaine, ne relève ni de l’impressionnisme, ni de l’expressionnisme, ni du surréalisme ou d’autres définitions en ‘isme’ ; elle s’inscrit dans un ordre de valeur totalement différent des tendances, des genres et styles que l’on trouve généralement sur le marché de l’art. À mon avis, il s’agit donc d’une peinture véritablement distincte de tout ce qui s’est fait, et de tout ce qui se fait, à notre époque et depuis longtemps. »

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Le fondateur de l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec
1990 – Extrait du rapport d’analyse sur l’oeuvre de « Charles Carson

Carson un nouvel isme…

Louis Bruens, (1928-2013) historien en art

1990 – «La peinture au sujet de laquelle je m’exprime ici, que l’on peut aisément qualifier de contemporaine, ne relève ni de l’impressionnisme, ni de l’expressionnisme, ni du surréalisme ou d’autres définitions en «isme»; elle s’inscrit dans un ordre de valeur totalement différent des tendances, des genres et styles que l’on trouve généralement sur le marché de l’art. À mon avis, il s’agit donc d’une peinture véritablement distincte de tout ce qui s’est fait, et de tout ce qui se fait, à notre époque et depuis longtemps.»

«Charles Carson a réellement développé une façon nouvelle de traduire la nature et ses objets d’une manière qui répond parfaitement aux règles de l’esthétique tant sur le sujet de la composition que sur la sonorité chromatique.»

Charles Carson s’est imposé une règle de base des ses débuts dans le monde mystérieux de la peinture, c’est-à-dire, vers 1978: celle de ne pas pénétrer le marché de l’art avant d’avoir atteint son objectif : créer une peinture nouvelle et sans ressemblance directe avec un genre ou un style existant ou ayant existé. II s’est donc obligé à plusieurs années de recherche, d’expérimentation, de discipline, avant de découvrir, sans jamais donner dans la facilité, cette écriture picturale colorée, lumineuse et impétueuse qui est sienne aujourd’hui.

«À mes débuts dans la profession, vers 1959, j’eus un coup de foudre, mais alors un véritable coup de foudre, pour l’oeuvre de deux artistes du Québec: Marc-Aurèle Fortin et Riopelle; tous deux artistes peintres de grande valeur: deux écoles, deux formes de pensée et deux écritures picturales bien loin l’une de l’autre, mais la beauté de leur art était en soi une promesse de succès. Depuis, j’ai rencontré beaucoup d’artistes, de bons, quelques excellents et beaucoup d’autres et je ne me prononce publiquement que très rarement sur la qualité des oeuvres, mais cette fois, je ne peux m’empêcher de crier mon enthousiasme suscité par ce nouveau, et probablement dernier coup de foudre: la peinture de Charles Carson.»

«Les compositions chromatiques de Charles Carson, puissantes et fascinantes nous rappellent ce qu’écrivait Kandinsky en 1910 dans son « Uber das geistige in der kunst » (Du spirituel dans l’art): La puissance des couleurs, dans un tableau, doit attirer avec force le spectateur et, en même temps, dissimuler le contenu profond. » Les couleurs de la palette de Carson ne dissimulent pas, elles révèlent lentement, avec autant de profondeur, ce qu’elles semblaient cacher au premier abord et réussissent à maintenir encore toute l’attention du spectateur qui, plus ou moins consciemment, poursuit sa recherche d’éléments nouveaux.»

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Le fondateur du Musée d’art contemporain de Montréal

C’est à cette suite que ce père du Musée, Guy Robert (1933-2000), fondateur du Musée d’art contemporain de Montréal, consacrait une importante analyse vers la fin de 1992 aux œuvres de maître Carson.

« Aucun siècle n’a connu autant d’agitations et de mouvements que le nôtre, dans tous les domaines, sociaux, politiques, économiques, scientifiques ou esthétiques, disait il. Pourquoi alors ajouter un nouveau ‘isme’ à une cacophonie déjà bien indigeste, à ce labyrinthe assourdissant ? Le carsonisme, par sa forme d’écriture picturale unique, a la particularité de ne concerner qu’un individu. Hélas, ou plutôt bien heureusement, aucune étiquette des ‘ismes’ bien connus dans la pagaille de l’art contemporain ne semble pouvoir y adhérer, et je devrai donc me résigner, d’ailleurs avec grand soulagement, à nommer ce nouveau mouvement : le carsonisme ! »

M. Guy Robert soulevait en particulier l’originalité du travail sur les couleurs, le rythme si spécial que l’artiste insufflait à son œuvre. Hormis son activité de premier directeur conservateur du Musée d’art contemporain, M. Robert a aussi été membre de la Commission sur la politique culturelle fédérale en 1979-82, de la Commission canadienne des biens culturels et a reçu le Grand prix du livre de Montréal en 1976. Il est titulaire d’une maîtrise en littérature de l’Université de Montréal, d’un doctorat en esthétique ainsi qu’en philosophie et histoire des arts à l’Université de Paris. Auteur d’une soixantaine de livres d’art, on ce souvient particulièrement des études sur Borduas, Dallaire, Fortin, Dumouchel, Lemieux, Bonet, Pellan, Riopelle et Carson. Il s’exprimait donc sur le carsonisme à titre d’expert et d’historien en art réputé.

Carson une découverte… Le carsonisme. »

Le fondateur du Musée d’Arts Contemporain de Montréal, Guy Robert, crée le terme «carsonisme» pour décrire un nouveau mouvement artistique, né d’une nouvelle forme d’écriture pictural.

C’est le mercredi 27 octobre 1993, au Musée d’art de Vaudreuil Soulange, qu’on présente les oeuvres de l’artiste sous le thème « un nouvelle isme, le Carsonisme », dont Pierrette Labonté était la Coordinatrice à l’époque, elle cite;

«Lire les œuvres de CARSON, c’est contempler, c’est découvrir la figuration à travers l’abstraction dans une explosion chromatique qui apporte joie et bonheur de vivre. Elles font du bien au cœur. Leur qualité, leur originalité et leur dynamisme nous entraînent, nous emportent, nous réjouissent.».

L’invité d’honneur de l’évènement M. Guy Robert,(1933 – 2000) écrivain, historien d’art, et docteur en esthétique de l’Université de Paris, et Fondateur du Musée d’art contemporain de Montréal en 1964, dont il fut le premier directeur-conservateur.

Monsieur Robert, y présentait une analyse approfondie de l’œuvre de Carson au Musée d’art de Vaudreuil Soulange intitulé: « Charles Carson une découverte… Le Carsonisme« (Dépôt légal: Bibliothèques nationales du Québec et du Canada) Octobre 1993, dans son analyse, il décrit remarquablement le «Carsonisme».

«Aucun siècle n’a connu autant d’agitations et de mouvements que le nôtre, dans tous les domaines, sociaux, politiques, économiques, scientifiques ou esthétiques. Pourquoi alors ajouter un nouvel «isme» à une cacophonie déjà bien indigeste, à ce labyrinthe assourdissant ?

L’unicité de son écriture picturale …

DÉCOUVERTE

Guy Robert, fait la découverte de l’oeuvre de Carson en 1991, à la suite d’une analyse approfondie de l’oeuvre de Carson, publié par l’historien d’art Louis Bruens, expert et cofondateur de l’Académie Internationale des Beaux-arts du Québec, qui publiait en 1990, la toute première analyse de la création picturale de Charles Carson, un long article analytique qui portait pour titre: « Carson un nouvelle isme »

1993 – Extrait du rapport d’analyse sur l’oeuvre de « Charles Carson

Guy Robert, (1933-2000) historien en art

En ma qualité d’expert mon impression initiale, en observant avec grand plaisir un ensemble important des oeuvres mêmes de l’artiste Carson, en fut une de fraîcheur, de dynamisme, de rythme: fraîcheur et vivacité de la palette, dynamisme et variété des compositions, rythme qui anime chaque segment des oeuvres, un peu comme dans le meilleur jazz, où le sens de l’improvisation dilate merveilleusement la structure instinctive de la mélodie et l’anime de sa syntaxe syncopée, – où, si l’on préfère, comme dans les sonates de Scarlatti et les concertos de Vivaldi, où variations et modulations fondent à la fois l’ordonnance et les subtilités de l’oeuvre.

« … Carson donne au tableau une profondeur particulière, bien plus fascinante que la plus habile maîtrise des systèmes les plus savants de perspective. »

Spontanéité et dynamisme

«Charles Carson peint en toute spontanéité, porté et inspiré par le bonheur de jongler avec formes et couleurs. Pour protéger son impétuosité, il préfère utiliser l’acrylique et la spatule, plutôt que les pigments à l’huile dont l’onctuosité incite le pinceau aux langueurs des retouches et repentirs. Tranchant de la lame dans le vif de la pâte, il lance sur la toile blanche la danse rapide et nerveuse de sa main, par touches étalées presque toujours en diagonale ou en large ellipse. Et il s’en dégage aussitôt une impression de fraîcheur, de dynamisme, de rythme : fraîcheur et vivacité de la palette, dynamisme et variété des compositions, rythme qui anime et muscle son langage plastique.

Une évasion de la morosité ambiante

Devant la fraîcheur, le dynamisme et le rythme des œuvres de Carson, on penserait au meilleur jazz, où le sens de l’improvisation dilate merveilleusement la structure de la mélodie et l’innerve de sa syntaxe syncopée. On pourrait tout aussi bien évoquer les sonates de Scarlatti ou les concertos de Vivaldi, où les variations et modulations fondent à la fois l’ordonnance générale et les menues subtilités de l’œuvre.»

Une harmonieuse énergie

L’impression de fraîcheur et d’énergie qui se dégage des tableaux de Carson vient en partie de l’éclat et de la pureté des couleurs, harmonisées dans leur juxtaposition rythmée et aérées par des interstices de blanc. La disposition des touches allongées, le plus souvent en diagonale ou en longue ellipse, semble soulevée par un souffle mystérieux, discret sans doute, mais efficace, qui anime la composition.

Il est aussi fascinant de voir comment le peintre, sans avoir recours aux artifices de la perspective, crée une profondeur originale en donnant l’illusion d’un frémissement continuel de la surface, d’une courbure de l’espace visuel, et d’une mobilité des plans par la disposition à la fois énergique et harmonieuse des masses.

Une fête pour l’œil

Et ainsi le tableau redevient «une fête pour l’œil», selon l’idéal de Delacroix, et entretient l’intérêt par le jeu qu’il propose d’y chercher de nouvelles associations de motifs, des échos différents, d’inédites saveurs.

Cette peinture invite l’imagination à glisser sur le velours de la rêverie, en suivant les signes qui favorisent l’exploration, différente pour chacun, ou pour la même personne d’un jour à l’autre : comme l’évoquait Picasso, cité au tout début.

«… la découverte d’une telle œuvre, comme celle de Carson, ne peut qu’éveiller frémissements et parfums d’un printemps tant attendu! »

Pourquoi un autre « isme »?

«Par l’unicité de son écriture picturale, hélas, ou plutôt bien heureusement, aucune étiquette des- ismes bien connus dans la pagaille de l’art contemporain ne semble pouvoir y adhérer, et je devrai donc me résigner, d’ailleurs avec grand soulagement, à nommer ce nouveau mouvement : le carsonisme!»

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Jacques de Roussan, historien et écrivain en art
1993 – Extrait du rapport d’analyse sur l’oeuvre de « Charles Carson

Jacques de Roussan (1929-1995)

1993 – «À mi-chemin entre le figuratif et l’abstrait. Charles Carson entraîne le spectateur dans une aventure expressionniste où le mouvement, la forme, la couleur, le dessin même forment un tout absolument indissoluble. C’est ainsi que Ies vibrations deviennent optiques et soulignent des intensités qui vont s’opposer ou se juxtaposer sans effort à l’intérieur de la composition.»

«L’artiste interprète et transpose avec beaucoup de force et subtilité. Le spectateur doit apprendre à LIRE -consciemment ou pas les scènes et les sujets proposés. Dans un enchaînement presque endiablé des éléments de la composition, on distingue les propos de Carson derrière la puissance formelle de son interprétation. Tout est alors sujet à une lecture plus en profondeur, parfois même ésotérique dans son expressivité. Derrière la richesse de la mise en action, s’étagent les différents plans dans lesquels se meuvent littéralement et picturalement les personnages et les décors du tableau proprement dit.»

«Cela ne signifie pas que cette lecture s’impose au premier regard, mais bien plutôt qu’elle relève d’un phénomène optique avec, comme toile de fond. Un kaléidoscope chromatique qui devient véritable fête pour le spectateur. Il s’agit en somme d’une nouvelle manière de peindre, une forme d’écriture picturale unique par sa sublimité, où l’on découvre un entre- deux mondes d’une mouvance perpétuelle.»

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Revue Parcours, l’informateur des arts – hiver 2004 – vol. 9, no 41- Parcours couverture 2004
2004 – Extrait du rapport d’analyse de 16 pages sur l’oeuvre de Charles Carson.

Robert Bernier, historien en art

2004 – «Curieusement, penserez-vous peut-être, Charles Carson s’est d’abord fait connaître en Amérique du Sud, et plus particulièrement en Colombie où il a vécu et travaillé plusieurs années. L’artiste conserve d’ailleurs des liens étroits avec ce pays, même s’il est de retour au Québec depuis 2000. Dans son pays d’adoption, l’artiste a fait coulé beaucoup d’encre, tant au sens propre qu’au sens figuré ; il y a laissé et y laisse toujours sa marque et ses couleurs, à tel point que, en 1997, pour souligner son apport à la culture de Carthagène, une statue grandeur nature à son effigie a été érigée dans la ville. L’artiste a aussi signé une murale monumentale qui orne le hall de l’aéroport principal de la ville. Il a connu et côtoyé plusieurs artistes colombiens majeurs, notamment Botero, pour ne nommer que lui.»

La peinture de Charles Carson se divise en deux approches à la fois distinctes et complémentaires. L’une d’elles a même été baptisée par certains experts et historiens de l’art de «carsonisme*».

Cette approche n’est pas facile à décrire « en parlant du carsonisme », mais de manière générale on peut parler d’une succession infinie de touches légèrement obliques qui sur la surface dynamisent au maximum la perception de la matière et du sujet, le tout s’animant sur la toile dans des transparences subtiles tout à fait sensationnelles, donnant une impression de profondeur à la couleur. On dirait un flot incessant de particules – tout de même assez larges – qui balaient la matière avec une régularité fascinante, voire déconcertante.

La seconde approche, Carson la nomme tout simplement « mosaïque ». Comme son nom l’indique, cette dernière suggère la fragmentation de la forme et de la surface qui caractérise les mosaïques. Dans un cas comme dans l’autre, il s’agit pour le créateur de dynamiser la surface pour lui donner un état autre dans lequel s’anime un univers suggestif puissamment métaphorique. On le constate notamment avec le thème des fonds marins, que l’artiste exploite avec beaucoup de justesse et de pertinence plastique et narrative. Deux approches, donc, deux explorations, à scruter avec attention pour le plaisir de la surprise et de l’étonnement.

* Notamment par Louis Bruens, Guy Robert et Jacques de Roussan.

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DROUOT COTATION, PARIS
Christian Sorriano - Le gardien des règles de l'Art

Christian SORRIANO, Éditeur, Expert et Président de Drouot Cotation Paris. – Expert en ventes publiques – Expert et Assesseur à la Commission de Conciliation et d’Expertise Douanière – Expert à l’Union Française et à l’Union Internationale des Experts. Il fut chargé de Mission par le gouvernement français, afin de structurer les professions de l’Art et des Antiquités

Pour un vieil expert comme moi, il n’y a ni secret ni mystère, en art, les copistes, les imitateurs et les opportunistes sont vite démasqués. Tous ces barbouilleurs peignant sans âme, sans émotions et sans frissons, des champs, des fleurs, la mer, des corps ou des visages, et qui s’improvisent du jour au lendemain « artiste » !

A l’écart des modes et de la facilité, Charles Carson décline toutes les facettes uniques de son immense talent poétique, en offrant dans chacune de ses œuvres, un souffle de vie, sa vie, afin qu’elles interrogent et réjouissent l’œil et l’esprit des connaisseurs qui les accrochent sur les murs de leur quotidien.

Charles Carson a creusé son sillon vers la postérité artistique, car aujourd’hui on dit c’est un Carson, comme on dit c’est un Picasso, un Matisse, un Warhol, un Basquiat et tous les autres artistes immortels.

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«Charles Carson est un très grand créateur. Son œuvre est inimitable, personnelle, spontanée. Je ne connais aucune œuvre qui lui ressemble. Elle est à mi-chemin entre l’art abstrait et l’art figuratif, elle ne participe à aucun mouvement, à aucune tendance.»

BÉATRICE SZEPERTYSKI – BORDEAUX

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As Hemingway developed a new style of writing that is oftimitated, never attained, Carson has created a new way of painting that takes a similar heightened position in the mainstream of contemporary art, a form that is universally accessible but impossible to be duplicated by another. A language all his own forever to be known as “Carsonism.”

VICTOR BENNETT FORBES – NEW YORK

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« Il est considéré par la critique comme l’un des plus grands artistes contemporains de ce siècle, Maître Carson ayant saisie le langage picturale parlé autrefois par Mondrian, Riopelle, Jackson Pollock, Sam Francis et Wassily Kandinsky, l’artiste a su prendre les devants – Car la création et la mise à jour de son mouvement tout à fait unique et original, interprété d’une tel façon théâtral et magistral, qu’aucun de ces grands maître ou génies de l’art des temps passé, n’avais su imaginé ou même pensé jusqu’à présent. »

« Ces figures légendaires ont accompli des exploits extraordinaires, mais aucun n’a créé d’une manière si unique, si personnel son style, qu’il ne pouvait-être définie par un isme. Carson, par son unicité inégalé, un nouveau mouvement est né. Le « Carsonisme ».

DEBRA USHER – MAGAZINE ARABELLA, – CANADA, USA
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