D'origine suisse, Barbara Heman s’est très tôt plongée de manière empirique dans le domaine artistique, en étant tour à tour assistante d'un photographe, d'un peintre lettriste, puis d'un sculpteur. La rencontre de l’anthroposophie initia sa quête de la lumière à travers la peinture.
En 1975, suivant la Route de la Soie jusqu’en Asie, elle enrichit sa palette et nourrit son imaginaire. Peintre portraitiste globe-trotter, elle réalise des laques, des décors d'intérieur, de restaurant, de bateau, d'église. En 1982 lors d'un séjour en Afrique elle se passionne pour la gravure. A Paris, une bourse lui ouvre les portes du célèbre « Atelier 17» de S.W. Hayter, où elle peut graver et imprimer elle-même ses oeuvres. Paradoxalement, la peinture d' icônes lui permet de confronter la pure tradition à sa recherche expérimentale; l’Ecole du Louvre élargit sa vision de la sensibilité et la richesse des diverses cultures.
La discipline d’un Enseignement spirituel et la fréquentation des textes mystiques oriente sa perception vers le monde invisible Son inspiration se nourrit de symboles, dans une vision onirique. La technique est au service d’un idéal solaire, en symbiose avec la Nature, pour une Harmonie Universelle.
D'entre ses maîtres en peinture, le plus vénéré est le russe Nicolas Roerich.
Elle est persuadée que l'Art a une haute mission pour l'avenir. Partager son émerveillement devant la Beauté de la Création a été le moteur de sa recherche.
Elle se passionne pour d’autres moyens d’expression que sont le théâtre et le chant choral.
Malgré la pression policière et l’intervention de l’armée, Anne Sophie ne demande qu’à retourner sur la planète de l’Homme blanc. Tandis qu’elle supporte de moins en moins la présence d’Olivier et fait tout pour s’en séparer, il insiste auprès de l’Homme blanc pour les accompagner et tous trois s’envolent vers la planète lointaine.
Lise vient rejoindre Olivier et Anne Sophie au cours d’une série de travaux spirituels intimes. Ils approfondissent une connaissance qui n’est accessible nulle part ailleurs. En effet sur cette planète d’une autre galaxie, même la nourriture est imaginaire et pourtant particulièrement nourrissante et succulente. Les sages conseils de la Femme Noire enrichissent les trois terriens qui forment une équipe au service du bien, ils n’oublieront jamais leur expérience.
Il s’agit du second volet de la pièce : « La Lumière des soucoupes volantes».
D'origine suisse, Barbara Heman s’est très tôt plongée de manière empirique dans le domaine artistique, en étant tour à tour assistante d'un photographe, d'un peintre lettriste, puis d'un sculpteur. La rencontre de l’anthroposophie initia sa quête de la lumière à travers la peinture.
En 1975, suivant la Route de la Soie jusqu’en Asie, elle enrichit sa palette et nourrit son imaginaire. Peintre portraitiste globe-trotter, elle réalise des laques, des décors d'intérieur, de restaurant, de bateau, d'église. En 1982 lors d'un séjour en Afrique elle se passionne pour la gravure. A Paris, une bourse lui ouvre les portes du célèbre « Atelier 17» de S.W. Hayter, où elle peut graver et imprimer elle-même ses oeuvres. Paradoxalement, la peinture d' icônes lui permet de confronter la pure tradition à sa recherche expérimentale; l’Ecole du Louvre élargit sa vision de la sensibilité et la richesse des diverses cultures.
La discipline d’un Enseignement spirituel et la fréquentation des textes mystiques oriente sa perception vers le monde invisible Son inspiration se nourrit de symboles, dans une vision onirique. La technique est au service d’un idéal solaire, en symbiose avec la Nature, pour une Harmonie Universelle.
D'entre ses maîtres en peinture, le plus vénéré est le russe Nicolas Roerich.
Elle est persuadée que l'Art a une haute mission pour l'avenir. Partager son émerveillement devant la Beauté de la Création a été le moteur de sa recherche.
Elle se passionne pour d’autres moyens d’expression que sont le théâtre et le chant choral.
