Stéphanie Roussel
Le dessin est une langue universelle pour moi, un moyen de communication où les images se transforment en émotions, en histoires captivantes et en univers parallèles. Chaque coup de crayon, chaque mélange de couleurs, est une invitation à un voyage visuel où les mots ne sont pas nécessaires pour raconter une histoire. À travers mes illustrations, je cherche à capturer la beauté de la nature, la complexité des émotions humaines et les fragments d'univers imaginaires qui habitent mes pensées.
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Рейтинг артиста, Биография, Мастерская художника:
Paysage • 14 произведений
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Аэрограф на Холст | 9,8x9,8 in
Stéphanie Roussel
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Personnes • 33 произведений
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Цифровое искусство | Несколько размеров
Love • 6 произведений
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Animal • 29 произведений
Посмотреть всеAbstrait • 14 произведений
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Проданные работы • 9 произведений
признание
Активный участник ArtMajeur занимается продвижением своего профиля
Художник участвует в художественных выставках и ярмарках
Биография
Le dessin est une langue universelle pour moi, un moyen de communication où les images se transforment en émotions, en histoires captivantes et en univers parallèles. Chaque coup de crayon, chaque mélange de couleurs, est une invitation à un voyage visuel où les mots ne sont pas nécessaires pour raconter une histoire. À travers mes illustrations, je cherche à capturer la beauté de la nature, la complexité des émotions humaines et les fragments d'univers imaginaires qui habitent mes pensées.
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Национальность:
КАНАДА
- Дата рождения : 1974
- Художественные домены:
- Группы: Современные Канадские Художники

Текущие и предстоящие арт-события
Влияния
обучение
Сертифицированная ценность художника
достижения
Коллективные экспозиции
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Tag à qui te fait penser cette œuvre qui se nomme OCEAN BEAUTY !
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Plus j’avançais dans la création de cette œuvre, plus j’avais l’impression d’entendre le silence du fond de l’océan. On y sent une élégance fluide, un calme luxueux… comme si l’eau elle-même avait reçu une éducation artistique.
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Franchement, ces retours me touchent beaucoup. En tant qu’artiste, on doute souvent, alors sentir que ce qu’on fait résonne, ça fait un bien fou. Ça me donne envie de continuer, même quand c’est dur.
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On me dit parfois: «Mais pourquoi tu fais payer ton art? L’inspiration, c’est un don!.». Alors j’ai une question: un boulanger donne-t-il son pain gratuitement? L’art demande du temps, du talent, des efforts… Pourquoi serait-il moins légitime qu’un autre métier?
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Lettre ouverte d'une femme heureuse
Chers juges autoproclamés de l’accomplissement féminin,Je vous écris depuis le vaste royaume de ma liberté. Vous savez, ce territoire étrange et méconnu que certains d’entre vous confondent avec un désert affectif ou un vide existentiel. Oui, je suis une femme. Oui, je suis heureuse. Et non, je n’ai pas d’enfants. Mais alors, par quel miracle puis-je m’autoriser à rire ? À écrire ? À exister ? Vous vous demandez sûrement si je n’ai pas vendu mon âme au diable pour échapper à cette vocation biologique que vous appelez "épanouissement". Spoiler : je vais bien, merci, et je n’ai pas besoin de faire des risottos bio en forme de bonhommes souriants pour sentir que ma vie a un sens.
Je vois vos sourcils se hausser à l’unisson, formant une vague d’incompréhension collective. Alors permettez-moi de clarifier les choses. Je n’ai jamais voulu porter d’enfant. Pourquoi ? Parce que je refuse d’être le taxi d’un locataire bruyant pendant neuf mois, et surtout, parce que je ne suis pas particulièrement emballée par l’idée de troquer ma liberté contre des nuits blanches et des couches parfum "catastrophe". Et si, pour vous, mon choix relève de l’égoïsme, sachez que je trouve beaucoup plus égoïste d’imposer la vie à un être qui n’a rien demandé, surtout dans un monde où la planète elle-même envisage de poser sa démission.
On me dit souvent que je suis "incomplète". Ah, la fameuse phrase qui arrive comme un coup de marteau sur l’orteil : "Une femme sans enfant, c’est comme un arbre sans fruits." Mais vous êtes-vous déjà demandé si tous les arbres avaient envie de fructifier ? Moi, je préfère être un majestueux chêne solitaire, solide et ombrageux, qu’un pommier pressé de donner des Granny Smith à la chaîne. Mon épanouissement ne passe pas par la reproduction. Il passe par des moments volés à l’absurde, des éclats de rire et l’écriture de lettres ouvertes pleines de sarcasme.
Et qu’on s’entende bien : ne pas vouloir d’enfant ne signifie pas ne pas aimer les enfants. J’apprécie sincèrement ces petits êtres. Bon, je ne me pâme pas devant un bébé chaque fois que j’en croise un – je ne vais pas non plus mentir pour paraître socialement acceptable. Les premiers pas ? Ravissants, mais je n’ai pas de raison de pleurer de bonheur. Les dessins au feutre sur un coin de table ? Charmants, mais je ne vais pas en commander des tirages. Je parle aux enfants comme à des êtres humains à part entière, sans les noyades verbales de "gougou gaga" ou de grimaces dignes d’un mime en manque d’attention.
Et puis, parlons franchement : avez-vous vu les tarifs des enfants de nos jours ? Un enfant, ça coûte une Ferrari par décennie. Mais contrairement à une Ferrari, ça ne reste pas sagement garé dans le garage quand on a envie de prendre un peu de temps pour soi. Les parents, eux, doivent vendre leur sommeil au marché noir, jongler entre les cours de poney et les crises existentielles de leurs ados, tout ça pour entendre un jour : "Je n’ai rien demandé, moi !" Ironique, non ?
Et je n'irai pas sur le constat magnifique de l'attention donnée aux ainés par leur enfants qui nous a plus que sauté à la face depuis la pandémie.
Quant à l’argument que je ne serais pas "une vraie femme", il mérite une ovation sarcastique. Qu’est-ce qu’une femme, au juste ? Une usine à bébés ? Un prototype de sérénité maternelle ? Peut-être devrions-nous redéfinir ce concept, parce qu’il semblerait qu’en 2024, une femme puisse aussi être une plume acérée, un humour ravageur et un esprit libre.
Alors, chers moralistes de la maternité obligatoire, je ne vous juge pas, moi. Vous aimez vos enfants, vos maisons envahies de jouets et vos voitures toujours en retard au foot du dimanche ? Parfait. Mais de grâce, laissez-moi aimer mon silence, mes livres empilés et ma totale liberté. Car si être égoïste signifie refuser les attentes sociales pour vivre pleinement ma vie, alors oui, je plaide coupable avec un sourire et un thé à la main.
Sans rancune,
Une femme, entière, qui vit sa vie pleinement.
P.S. : Si vous avez des doutes sur l’équilibre de ma vie sans enfants, je vous invite à passer une journée dans ma peau. Vous repartirez peut-être avec un léger regret… et une envie d’acheter une Ferrari.
Qui oserait dire que les fables n’ont plus leur place aujourd’hui ?
Pourtant, je suis ici, plume à la main, le cœur lourd de ne voir que des échos timides, même parmi mes amis. Leur prix, moins qu’un paquet de cigarettes. Moins qu’une bouteille de vin. Et pourtant, une éternité de mots, de vérités et de rires. Mais mes fables, elles, ne se consument pas. Elles s’ancrent, elles vous suivent, prêtes à être redécouvertes chaque fois que l’envie de réfléchir, de rire ou de s’indigner vous prend.Un miroir pour notre époque.
Des histoires qui éclairent. Des mots qui brûlent. Chaque ligne respire l’actualité, chaque histoire fait éclater une vérité. Un joyau littéraire qui ose. Qui dérange. Qui inspire.On rit. On réfléchit. On s'indigne.
Mes deux tomes offrent bien plus qu'un simple divertissement : un éveil. Une étincelle qui bouscule. Écrire, c’est plus qu’un métier : c’est un combat, une offrande d’âme à âme. Un mot après l’autre, mes fables questionnent, secouent, réveillent des vérités éternelles qu’on préfère souvent ignorer. Elles illuminent des coins sombres de notre quotidien avec cette malice tendre qui fait sourire tout en piquant juste là où ça fait réfléchir.
Je vous invite à poser un autre regard sur notre société, à plonger dans ces histoires où le lion, le renard, la fourmi ou le chat prennent tour à tour le masque de nos faiblesses et de nos espoirs.Alors, que dire ? Si mes fables vous donnent une once de cette lucidité dont nous avons tous soif, elles auront accompli leur mission. Elles sont là, prêtes à nourrir votre esprit, à piquer votre curiosité, et à allumer cette petite flamme d’envie d’agir.
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Quel personnage fictif serait le pire colocataire pour vous ?
Hello les amis. Et oui encore moi avec mes petits délires littéraires et questions farfelues. Aujourd'hui, quel personnage fictif serait le pire colocataire pour vous ?Pour moi, sans hésiter : Sherlock Holmes. Oui, je sais, je vais en briser quelques-uns ici, mais imagine un peu partager ton 250 pieds carré avec ce génie borderline.
Catastrophe assurée, en tous les cas pour moi. Spoiler alert : j'ai pris aussi le mauvais côté de toutes les versions que nous avons pu avoir via le cinéma, TV, etc., et ajouté les côtés irritables, en ce qui me concerne, provenant des livres. Faisons l'exercice à fonds. Donc pas besoin de fiche de lecture corrective, merci. Amusons-nous un peu.
Dès le premier jour, il te lance un regard glacé et, en trois secondes, il résume ta vie entière : "Ah, je vois. Breton d’origine, bus ce matin, et tu t'es disputé avec ton ex." Comment ? Une miette de galette sur ton pull, tes chaussures sentent la marée, et ton téléphone vibre encore des dernières insultes. Sherlock, c’est ce genre de mec : il te fait te sentir aussi transparent qu’un mot de passe "1234".Côté habitudes ? Un désastre ambulant.
Propreté ? Inconnue au bataillon. Ok on se calme, moi aussi je fais aller mon imagination. Je vous rappelle qu'il peut devenir négligent dans certains moments de concentration intense. Donc je continue... Parce que, tu comprends, "trop d’affaires à résoudre". Son manteau trempé jonche l’entrée, parfumant l’appartement d’un mélange subtil de pluie rance et de tabac froid. Les assiettes sales s’accumulent ? Il s'en fout.
Frigo partagé ? Une légende. Oublie ton petit moment Netflix du soir. Ton canapé est occupé par… un foie humain, disséqué avec soin. Parce que, tu comprends, "l’expérience est cruciale, Watson. Il faut étudier la décomposition en milieu tempéré." Spoiler alert (oui encore une) : le milieu tempéré, c'est toi.
Et la tranquillité ? Oublie. Sherlock ne dort jamais. Toi, tu essaies désespérément de trouver le sommeil, lui gratte son violon. Mais pas du Mozart, non, trop facile. Plutôt des sons à réveiller les morts. Ose protester et il te fixera d’un air vide : "Ah, c’est vous. J’avais presque oublié votre existence."Ses expériences ? L’enfer chimique. Des tubes qui fument, des effluves suspectes qui sortent du micro-ondes (je te déconseille d'y jeter un œil). Des bocaux étranges traînent partout. Dedans ? Du chloroforme ? Du venin de serpent ? Un potage maison ? Va savoir.
Socialement, c’est la mort. Sherlock n'a aucun filtre. Si tu invites des amis, il dégomme tout. "Votre collègue n’a pas juste mal au ventre, il a probablement un ulcère. Ah, et ce type là-bas, il vient de perdre au poker. Ruiné d’ici la fin de semaine." Silence gênant, regards horrifiés. Bye-bye les soirées tranquilles, bonjour la solitude. Le pire, c’est qu’au fond, tu ne peux pas le haïr. Ce satané génie, avec ses éclairs de lucidité et son sarcasme acide, te laisse toujours un peu admiratif. Il résout des mystères que personne n'avait même vus. Mais il te pique aussi ton dernier yaourt pour une "analyse des bactéries lactiques". C'était le Sheldon Cooper des années 1800 (ha oui alors la ref c'est The Big Bang Theory pour ceux que j'entends me dire : "hein... de quoi tu parles"). Vivre avec Sherlock Holmes, c’est comme un épisode de Black Mirror réalisé par David Lynch. Fascinant, dérangeant, mais surtout invivable. Il te fait sentir stupide et potentiellement en danger de mort. Le génie, c’est bien. De loin. Très, très loin.
Jalousie mal placée !
Pour une fois cela sera court, car leur donner une tribune entière ne m'intéresse pas.Il est fascinant de constater à quel point la créativité et le talent peuvent être la cible de tant de critiques. Et je ne suis pas la seule à en pâtir. Je me suis jointe il y a peu de temps au groupe Lecteurs, auteurs et éditeurs et certains membres qui se lancent dans l’autopublication en sont victimes.
Ceux qui les attaquent se cachent souvent sous le pseudonyme : « Amazon Anonyme » ou encore « … Anonyme ».
À tous ceux qui s’appellent Anonyme, cachés derrière vos écrans, qui vous amusez à dévaloriser et à discréditer, se croyant supérieurs à ceux qui, selon vous, ne sont pas dignes de votre attention, prenez conscience que cette arrogance, cette prétention, ne sont que le reflet d'une jalousie mal dissimulée.
À ceux qui remettent en question les compétences des autres, je dis ceci : au lieu de gaspiller votre énergie à nous discréditer, pourquoi ne pas la canaliser vers l'exploration de vos propres talents ? Vous pourriez être surpris de ce que vous êtes capables de faire si vous laissiez de côté l'envie et l'arrogance pour embrasser la créativité et l'expression personnelle.
Au bout du compte, je persévérerai dans ma quête artistique, et je suis convaincue que les autres aussi, mais je ne me permettrai de parler pour eux. Je resterai guidée par l'intégrité et la passion qui animent chacune de mes créations, même lorsque vous chercherez à semer le doute. Car le talent ne se mesure pas à la capacité de rabaisser les autres, mais à la capacité de s'élever soi-même et d'inspirer les autres à faire de même.
Quand le muet parle au sourd et que l'aveugle regarde
Texte écrit par Stéphanie Roussel - 2024-09-10
Un jour, un muet a dit à un sourd qu’un aveugle le regardait. Ah, la poésie absurde des observations impossibles ! Dans ce petit drame de la communication défaillante, on trouve une ironie mordante digne des plus grands comédiens de l’absurde. Imaginez un instant ce trio improbable : le muet, dont les paroles ne franchissent jamais le seuil des lèvres ; le sourd, dont les oreilles sont aussi closes que des coffres-forts ; et l’aveugle, dont les yeux sont des spectateurs passifs dans ce théâtre de l’ineptie.
Chacun joue son rôle dans cette farce métaphysique. Le muet, avec son éclat de sagesse silencieuse, murmure des vérités inaudibles au sourd, comme des secrets volés aux vents. Le sourd, cet auditeur de l’impossible, reçoit ces paroles muettes comme des messages chuchotés dans l’écho du néant. Quant à l’aveugle, il observe avec ses yeux immobiles, une ironie vivante dans ce monde de non-dits et de non-vus. En parlant de cirque, méfiez-vous des « on-dit », ces vérités parcellaires et autres discours grandiloquents qui, sous un vernis de crédibilité, cachent des absurdités à faire rougir les plus grands farceurs. Les influenceurs, ces magiciens de l'illusion, et les candidats politiques, ces orateurs de l’absurde, déblatèrent leurs fadaises avec une telle conviction qu’on pourrait croire qu’ils ont découvert la vérité universelle tout en enrobant le tout dans un emballage de mensonges scintillants. Que ce soit leur prétendue sagesse ou leur logique défaillante, leur discours est souvent une montagne de billevesées servies sur un plateau doré, parfois flagrantes, parfois insidieuses. Ne vous laissez pas berner par ces mirages de vérité, mais faites appel à votre bon sens et à un peu de recherche pour démêler le vrai du faux dans cette jungle de balivernes.
Et surtout, rappelez-vous : la vérité n’émergera pas en défilant sur un écran comme une parade d’images pixelisées. Elle ne naîtra pas non plus en pianotant sans fin sur un clavier, perdu dans le dédale virtuel de la communication moderne. Il y a des gens, des êtres humains en chair et en os, avec qui la vérité se révèle dans les échanges authentiques. Réapprenez à parler, face à face, sans les filtres de l’écran ni les retouches de la voix numérique. La vraie connexion humaine, avec ses joies et ses imperfections, est une expérience que le monde virtuel ne pourra jamais imiter. Alors, sortez de l’ombre des pixels et plongez dans la lumière de la véritable conversation.
Malheureusement, comme partout, ce sont souvent les minorités les plus virulentes et grandiloquentes qui effacent ceux qui disent la vérité, qui sont honnêtes et qui souhaitent simplement aider leur prochain. Ces voix sincères et précieuses se noient dans le flot incessant des niaiseries et des spectacles médiatiques. Il est grand temps que ces derniers se manifestent plus souvent, qu’ils commencent à taper plus fort sur la table pour se faire entendre. Trop souvent, leur présence se perd dans ce tourbillon d’absurdités ; faites en sorte qu’ils puissent enfin briller et que leurs paroles de vérité percent à travers le vacarme. Nous avons besoin d’entendre plus clairement ceux qui cherchent à apporter du réel, du sincère, et du bien pour autrui
2 mots pour de l'art
Une Éclatante Danse de Contrastes !
Mes chers amis, préparez-vous à une explosion de couleurs et d’émotions : je suis ravie de vous dévoiler ma dernière création, "Rainbow Move" ! Après mon amie Laurence, ce fut au tour de Carolle, que je connais depuis 20 ans (mon dieu on ne rajeunit pas), qui m’a lancé le défi avec seulement deux mots : "soleil" et "musique". J’ai eu l’impression d’être une ballerine dans un rayon de soleil — c’est-à-dire, complètement éblouie et un peu égarée ! Imaginez un instant : un format 12'x18', mais avec une telle intensité que même le soleil pourrait en rougir de jalousie.
J’ai choisi le pastel sur papier pour capturer cette danse éthérée et chromatique. Les couleurs explosent comme un feu d’artifice d’été, et les mouvements semblent vibrer au rythme d’une musique céleste. Je pense que Carolle a vraiment apprécié, mais je vous laisse juger si ce chef-d’œuvre ne fait pas plus de bruit qu’une danse de flammes dans un ciel d’orage ! N’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez et à laisser un petit commentaire ou un "J'aime" pour encourager ce mélange de soleil et de danse — qui sait, peut-être que la prochaine œuvre sera inspirée par "nuage" et "samba" !
Le savoir vivre a sauté du train
Ah, la politesse, cet animal en voie d’extinction, qu’on aperçoit désormais aussi rarement qu’un ticket gagnant au loto. Ce matin, dans le métro, un vaillant spécimen de la faune urbaine a décidé que son vélo méritait une place assise. Oui, un siège pour la roue avant, rien que ça. Parce que pourquoi pas garer sa monture sur un siège, après tout ? Comme si je me pointais chez toi, tout sourire, et garais mon vélo sur ton canapé en te demandant une tasse de thé. Normal, non ? Et puis, il y a les gladiateurs du téléphone. Ces irréductibles du haut-parleur, qui te font vivre en direct leur dernière dispute conjugale ou la mise à jour des aventures de tata Jeannine, comme si on t’avait invité à un festival de commérages publics. Sérieux, tu veux discuter en main libre ? Parfait, je vais débarquer chez toi, me planter devant ta télé en plein film, et appeler ma mère pour une petite causette bien bruyante. Ça semble équitable, non ? Sans oublier le must du must : l’invité qui, lorsque tu lui demandes gentiment de retirer ses chaussures avant d’entrer, te balance un superbe : "Mais elles sont propres." Ah oui ? Eh bien, vas-y, lèche donc la semelle de tes godasses, qu’on rigole un peu. Parce qu’apparemment, tes pompes sont si pures qu’elles pourraient canoniser un sol sans perdre une miette de dignité.
Et là, on se demande : où sont passés la politesse et le respect ? Probablement quelque part sous la roue avant de ce fameux vélo, ou engloutis dans les entrailles d’un appel sur haut-parleur. On vit dans une époque où "respecter l’autre" est devenu aussi rare que croiser un pingouin sous les tropiques. Un peu de savoir-vivre, bon dieu, c’est tout ce qu’on demande ! Dans mon temps, on ne se posait pas la question : on apprenait le savoir-vivre aux enfants comme on leur apprenait à lire ou à marcher. L’enfant-roi ? Une créature mythique qui n’existait que dans les contes. À l’époque, on savait dire "non" et c’était aussi banal qu’un bonjour. Les compromis à tout prix ? Inconnus au bataillon. Et pourtant, je n’ai pas fini en psychothérapie ni sombré dans une crise existentielle. Étonnant, non ?
Aujourd’hui, tout le monde prône le laisser-faire, le laisser-vivre, le "fais ce que tu veux, tu es libre". Mais il y a des limites ! Vivre en communauté ce n’est pas se croire dans son salon. On ne se balade pas en chaussettes trouées en réclamant qu’on respecte notre "espace vital". Non, en communauté, on respecte l’autre, point barre. Tu ne te grattes pas les fesses en public comme chez toi, pourquoi te comporter en sauvage ? Et bien sûr, on me taxe de casanière. Mais quand je vois le spectacle qu’on m’offre dehors, tu m’étonnes que je veuille rester chez moi ! Franchement, la sociabilité, c’est surfait quand il faut cohabiter avec des gens qui confondent l’espace public avec leur propre maison. Gardons un peu de gêne et de distance et peut-être, juste peut-être, on retrouvera un peu de bon sens collectif.
Je ne fais pas le procès d’une génération en particulier, attention ! Ce serait trop facile de taper sur les jeunes ou de pointer du doigt les plus âgés. Non, non, ce comportement merdique, je le vois chez des spécimens de tout âge, de 7 à 77 ans, comme pour les albums de Tintin. Le manque de respect est intergénérationnel, universel même ! Je me contente de souligner ce que j’observe et c’est malheureusement de plus en plus fréquent. Et le pire, c’est que ces gens, non contents de se comporter comme des sauvages, te regardent avec une agressivité à couper au couteau quand tu oses, avec toute la douceur du monde, leur faire remarquer leur impolitesse. Comme si dire à quelqu’un qu’il est mal élevé était devenu un crime de lèse-majesté.
Nous sommes dans une époque où l'individualisme a pris le pas sur le vivre-ensemble, souvent au détriment des normes sociales de respect et de civilité. La montée de cette incivilité dans l’espace public est un reflet d’une société où l’on valorise de plus en plus les droits individuels sans prêter attention aux responsabilités collectives. La technologie y joue un rôle, notamment avec les smartphones qui nous déconnectent des réalités physiques autour de nous, mais il serait trop simpliste de la rendre seule responsable. Ce phénomène semble aussi lié à une forme de relâchement des règles de base, un "laisser-faire" devenu synonyme de tolérance, mais qui, en réalité, crée des tensions et un manque de cohésion. Je pense qu’un équilibre est à retrouver entre le respect des libertés individuelles et la nécessité de préserver un espace commun où chacun peut évoluer sans empiéter sur les autres. Le savoir-vivre, loin d’être une contrainte archaïque, est ce qui rend la cohabitation possible. Il n’est jamais trop tard pour redonner au savoir-vivre ses lettres de noblesse. Le respect, tout comme l'impolitesse, est contagieux. Si chacun fournit un petit effort pour montrer l'exemple, ne serait-ce qu'en respectant les autres dans les lieux publics ou en étant un peu plus attentif à son entourage, cela peut avoir un effet domino.
Réapprenez à communiquer poliment et avec bienveillance, même lorsque vous vous sentez agacés. Parfois, un rappel courtois – souriant, mais ferme – peut désamorcer des comportements irrespectueux sans provoquer d’agressivité. Les petites actions, comme céder sa place dans le métro, respecter le silence des autres ou tout simplement sourire, peuvent avoir un impact bien plus grand qu’on ne l’imagine. L'importance du respect de l'autre et de l'espace commun : ce ne sont pas des valeurs ringardes, mais des principes qui permettent à chacun de vivre mieux ensemble. La politesse n’est pas une soumission, mais une forme de force tranquille qui garantit la paix sociale. En fin de compte, il s'agit de retrouver un équilibre entre le respect de soi et celui des autres. Nous pouvons tous être acteurs du changement en faisant preuve de plus d’empathie et de courtoisie au quotidien. C’est peut-être une tâche difficile, mais elle en vaut la peine pour préserver une société plus harmonieuse.
Sortie du tome 2 des Fables de Roussel
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Le 1er septembre aura lieu le lancement tant attendu du Tome 2 des Fables de Roussel
Ce tome promet de vous en mettre plein les yeux et de faire battre votre cœur plus fort. Si vous avez aimé le premier tome, le second est encore mieux !
Vous pourrez vous procurer ce nouveau tome des Fables de Roussel sur https://www.lesfauteursdemots.com/boutique. Achetez le tome 2 et obtenez le tome 1 à -50%, et ce, pour tout le mois de septembre. What ??? Mais je mets cela dans mon agenda pour ne rien manquer !
Chaque fable est un petit trésor, un délice littéraire où chaque page est une invitation à découvrir des émotions et des sagesses insoupçonnées. Laissez-vous envoûter par ces récits inspirés par l'actualité et les conversations animées entre amis. Un régal pour l’esprit affamé de beauté !
Merci infiniment Carole !
Je tiens à t'exprimer toute ma gratitude Carole pour ces mots si chaleureux et inspirants sur mes fables. ❤️
Ces retours précieux sont exactement ce que tout artiste espère recevoir. Ils nous aident à savoir si nous sommes sur la bonne voie et nous encouragent à continuer malgré les défis.
À tous ceux qui prennent le temps de soutenir les créateurs et les artistes autour d'eux : cela prend peu de temps mais sachez que votre bienveillance et vos encouragements peuvent véritablement transformer nos parcours. En ce qui me concerne, cela a un impact immense et éclaire mon chemin en renforçant ma passion pour ce que je fais.
Merci encore, Carole, pour ce coup de pouce qui motive et inspire !
Les Fables de Roussel - Extrait gratuit juste pour vous
La Terre était en colère, le climat perturbé,
Les humains trop gourmands l’avaient maltraitée.
Elle se plaignait au ciel qui laissa entendre un rire,
« Tes enfants font des dégâts, mais n’ont pas l’air de s’en soucier. »
Les arbres étaient abattus, les rivières polluées,
Les animaux en danger, les glaciers fondus, tout était bouleversé.
La Terre avait donc décidé, pour se venger,
De donner un coup de chaud aux humains, pour les faire transpirer.
Les premiers jours, on crut à une simple canicule,
Mais bientôt l’ampleur du désastre apparut, c’était ridicule !
Les humains n’avaient rien vu venir, ils avaient trop profité,
Sans penser aux conséquences, sans jamais se soucier.
Alors que les mers montaient, les tempêtes faisaient rage,
Les humains s’obstinaient à nier, sans vouloir voir l’outrage.
La Terre avait beau crier, elle n’était pas entendue,
Les humains étaient trop occupés à leurs jeux, leur futilité, leur vanité.
Mais un jour, un homme avisé comprit le message,
Il se mit à agir, sans attendre davantage.
Il planta des arbres, économisa l’eau,
Il apprit aux autres à respecter le monde, à mieux vivre au fil de l’eau.
Et petit à petit, les choses commencèrent à changer,
Les humains prirent conscience, il fallait se ranger.
Ils travaillèrent ensemble, pour faire face au défi,
Et la Terre sourit, contente de leur esprit.
Ainsi, grâce à cette épreuve, les humains apprirent leur leçon,
Ils réalisèrent que la Terre était précieuse, une bénédiction.
Désormais, ils la protégeraient, ils veilleraient sur elle,
Et la Terre pourrait enfin respirer, grâce à leur sagesse nouvelle.
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Plongez dans un tourbillon de rêveries et de réflexions avec ce recueil de fables du 21ème siècle, inspirées par l'actualité et mes rencontres animées entre amis. 📚✨ Les mots y dansent comme des acrobates sur la corde de l’imagination, mêlant sagesse ancestrale et esprit moderne.
Offrez-vous le plaisir rare de déguster ces délices littéraires, où chaque page révèle un trésor d’émotions et de sagesses. Nourrissez votre esprit affamé de beauté et soutenez l'artisan du verbe en l’acquérant dès aujourd’hui ! 🌈💫
Le grand réveil écologique utopique
Ah, mais quelle farce monumentale avons-nous là ! Imaginez un peu, mes chers lecteurs, cette révélation fracassante : une commission d’enquête de la Chambre des représentants dénonce, avec un sérieux aussi épais que du plomb, que les géants du pétrole, ces "Big Oil" tout puissants, ont joué aux grands manipulateurs avec le public depuis plus d'un demi-siècle ! Ah, la belle découverte ! Mais avouez que si vous êtes pris de stupeur devant cette nouvelle, vous devez avoir le sens de l'humour bien caché sous votre chapeau !
Rappelez-vous que les premières ébauches de véhicules électriques ont vu le jour au cœur même du XIXe siècle, alors que les aiguilles des horloges peinaient encore à se remettre du passage du millénaire précédent ! Et pour couronner le tout, souvenons-nous que la toute première petite voiturette de golf électrique a fait son entrée fracassante dans les années folles, ces années 1930, alors que le monde était secoué par les soubresauts d'une crise économique monumentale ! Mais bon, ne me prenez pas pour une historienne, cela nuirait à ma réputation de conteuse des temps modernes.
Voici que les mastodontes de l'or noir vont peut-être enfin se retrouver sous le feu des projecteurs, tels des acteurs de théâtre sur le devant de la scène, attendant leur inévitable tour de passer à la moulinette, comme leurs confrères du tabac avant eux et encore, la cigarette existe toujours ! Mais la grande question qui reste en suspens est la suivante : est-ce que cela va fonctionner ? Ah, là, je ne saurais dire ! Car nous, humains de ce vaste monde, avons toujours eu cette insatiable soif d'aller plus loin, plus vite, plus haut, sans jamais trop se soucier des conséquences, tant que cela nous coûte moins cher que le prix d'un sourire !
Prenons quand même un moment pour nous pencher sur cette question brûlante : allons-nous assister à un bouleversement monumental dans le paysage énergétique, une révolution telle que même nos ancêtres, du haut de leurs fiacres à vapeur, n'auraient osé l'imaginer ? Les grands titans du pétrole, habitués à régner en maîtres incontestés sur leurs vastes royaumes, vont-ils enfin sentir le vent du changement souffler dans leurs touffes de cheveux pétrolifères ?
Imaginez, ces magnats de l'industrie si bien ancrés dans leurs fauteuils de cuir, leurs cigares embaumant l'air de leurs volutes épaisses, soudainement forcés à affronter la colère grandissante de la Nature bafouée. Leur empire de fumée et de miroirs si longtemps construit sur les piliers fragiles de la dépendance énergétique pourrait-il soudain vaciller, telle une tour de cartes frappée par le souffle puissant d'une tempête ?
Mais, mes amis, n'oublions pas que ces géants de l'industrie ne sont pas si facilement terrassés. Ils ont tissé des toiles d'araignée complexes, des filets serrés autour des rouages de notre société, faisant en sorte que la dépendance au pétrole devienne une drogue à laquelle nous sommes tous accros, une addiction dont il est si difficile de se défaire.
Alors que la lumière commence à poindre à l'horizon, illuminant les contours flous de l'avenir énergétique, nous sommes en droit de nous demander : est-ce là le début d'une ère nouvelle où les énergies renouvelables tiendront enfin le haut du pavé, ou bien ne sommes-nous que des pions dans une partie de poker où les cartes sont biseautées depuis longtemps ?
L'avenir nous réserve bien des surprises et seul le temps nous dira si ces "Big Oil" seront relégués aux oubliettes de l'histoire, ou s'ils sauront une fois de plus se jouer de nous tous comme les marionnettistes habiles qu'ils sont. Mais une chose est sûre : le spectacle ne fait que commencer et nous sommes tous conviés à prendre place dans les gradins de ce théâtre de l'absurde où se mêlent ambition démesurée, cupidité sans bornes et désir insatiable de pouvoir.
Ce n’est pas la première fois qu’il ressort que les groupes pétroliers sont en partie responsables depuis plusieurs décennies de l’effet néfaste des énergies fossiles sur le climat, avec des procédures judiciaires qui s'accumulent tel un chapelet de perles sur le collier de la justice. Et pourtant, contre vents et marées, nous ne pouvons nous dédouaner de toute responsabilité. Regardez autour de vous : qui consomme sans relâche, qui réclame toujours plus et qui se laisse éblouir par chaque nouveauté qui sort, même lorsque nous n'en avons absolument pas besoin ? Pour exemple, les réfrigérateurs de nos grands-parents trônent encore fièrement dans les cuisines, tandis que ceux que nous achetons aujourd'hui semblent condamnés à la panne au bout de deux ans à peine ! Nous sommes tous coupables de cette folie consumériste, de cette quête insatiable du dernier cri, mais peut-être est-il temps de nous interroger sur nos propres habitudes de consommation, avant de pointer du doigt les géants du pétrole.
Quand la magie numérique devient un cauchemar réel
Que dire de l'Intelligence Artificielle, cette danseuse téméraire sur le fil du progrès, équilibre précaire entre l'innovation et le danger. Désormais chacun est une proie potentielle, prêt à être dupliqué, contrefait, trafiqué. Comme certain experts le disent : « Il suffit d'une image pour insérer un intrus dans une vidéo et 30 secondes d'audio pour cloner la voix d'un autre ». Une baguette magique numérique, transformant le réel en une farce virtuelle, une réalité alternative où le faux devient vrai plus vite que la lumière ne chasse l'obscurité.
Sur les réseaux sociaux la vérité est une notion floue, balayée par le vent impitoyable des partages et des likes. Les poules gobent les mensonges comme des grains de maïs, ignorant les panneaux "Attention, illusions numériques en cours" qui clignotent pourtant en rouge vif : le pouvoir de la populace, l'ivresse de la crédulité collective dans une danse effrénée où les faits se fanent devant la floraison des mensonges.
Dans ce monde virtuel en ébullition la question persiste : pourquoi tant de gens succombent-ils à la tentation de croire aveuglément ce qu'ils voient sur la toile ? La réponse réside peut-être dans les profondeurs de la psyché humaine, où la faim insatiable de connexion et de validation se mêle à l'angoisse de l'isolement. Dans un océan d'informations chacun cherche désespérément une bouée de sauvetage pour se raccrocher, une communauté virtuelle où se sentir compris, accepté. Les rumeurs et les faux récits deviennent alors un festin pour les âmes affamées, une bouffée d'adrénaline dans une existence souvent dépourvue de sens. En se laissant emporter par le flot incessant des mensonges, ils trouvent un refuge éphémère dans un monde où la vérité est malléable et les certitudes sont fugaces.
Pourtant, malgré les évidences qui s'accumulent et les sirènes de l'avertissement qui résonnent depuis ces dernières années, les autorités tardent à se saisir du dossier pour encadrer cette avancée technologique galopante. C'est un schéma que l'on connaît trop bien, une histoire répétitive où l'innovation dépasse de loin la réglementation. Prenez le cas des NFT, ces jetons non fongibles qui ont fait leur apparition en 2012 : douze ans plus tard, le flou juridique persiste laissant encore la porte ouverte à toutes sortes d'abus. Moi-même je ne me suis toujours pas résolue à vendre mes œuvres sous cette forme, encore trop craintive et ne me sentant pas suffisamment encadrée et soutenue légalement.
Sommes-nous donc condamnés à répéter les erreurs du passé, à fermer les yeux sur les leçons que nous pourrions tirer de nos propres égarements ? Cette avancée technologique devrait susciter la crainte autant que l'enthousiasme, car si elle offre un potentiel immense, elle présente également des dangers bien réels pour ceux qui n'en maîtrisent pas les arcanes. L'accès généralisé à ces outils sans éducation ni sensibilisation crée un terreau fertile pour l'exploitation et la manipulation, sous le prétexte d'une liberté totale. Il est grand temps que nous nous éveillions de notre torpeur présomptueuse et que nous prenions conscience des enjeux, avant que les conséquences de notre négligence ne deviennent irréversibles.
La loi doit mettre ses lunettes à réalité augmentée pour voir au-delà du mirage des pixels. Car les montages vidéos, les maquillages sonores, sont les maîtres du camouflage se glissant dans nos oreilles et sous nos yeux, sans être détectés, comme des loups déguisés en agneaux numériques.Nous devons tous nous poser la question suivante : « que deviendra ma carrière si quelqu'un décide simplement de la démolir, en diffusant mes mots ou mon image dans une symphonie de tromperie ? »
Telle une marionnette entre les mains habiles d'un manipulateur numérique, la réputation de chacun pourrait être réduite en lambeaux, nos paroles tordues pour servir des desseins malveillants. Une simple manipulation de données pourrait nous entraîner dans un tourbillon d'accusations et de méfiance, sapant les fondements mêmes de notre carrière construite pierre par pierre avec effort et détermination. Comment pourrions-nous nous défendre contre une armée de bits et d'octets, armée d'une puissance de feu que nous ne comprenons pas totalement ? Les conséquences d'une telle attaque pourraient être désastreuses jetant une ombre indélébile sur notre réputation professionnelle et personnelle, nous laissant désemparés face aux flots tumultueux de la désinformation numérique.
Nous sommes tous en sursis, perchés sur la branche fragile de notre notoriété, scrutant l'horizon digital avec anxiété. Il est temps de nous réveiller : jusqu'où l'illusion numérique peut-elle nous mener et comment pouvons-nous éviter de nous perdre dans ce labyrinthe d'artifices ? Avec son potentiel trompeur et son pouvoir de manipulation, elle peut nous entraîner loin dans les méandres de la confusion et du doute. Elle peut créer des réalités alternatives qui semblent aussi réelles que le monde actuel qui nous entoure, brouillant les frontières entre le vrai et le faux.
Nous devons donc développer un esprit critique et aiguisé avec une aptitude à la remise en question constante. Il est essentiel de ne pas accepter aveuglément tout ce qui nous est présenté, mais plutôt d'adopter une approche sceptique, critique et réfléchie. En vérifiant les sources, en examinant de près les informations et en s'intéressant aux visions multiples, nous pouvons commencer à démêler les fils de la tromperie digitale.
De plus, une éducation numérique robuste est nécessaire pour naviguer avec succès dans ce paysage virtuel en constante évolution et ce, depuis l'école. En comprenant les techniques de manipulation et les outils utilisés pour créer ces illusions, nous sommes mieux armés pour les reconnaître et les contrer. Des réglementations appropriées et une responsabilisation des plateformes en ligne sont cruciales pour limiter la propagation de la désinformation et de telles manipulations.
Cependant, au lieu de céder à la panique ou de nous retirer dans notre coquille, nous pouvons utiliser cette conscience des risques comme une boussole pour guider nos choix et nos actions. En fin de compte, nous devons rester vigilants et conscients des dangers de l'illusion numérique, tout en cultivant un esprit critique et une compréhension approfondie de cet environnement digital dans lequel nous évoluons et peut, malgré tout, nous amener loin et nous aider dans certains domaines.
Tout n'est pas sombre dans ce paysage numérique. Malgré les périls, il existe des îlots de lumière et d'opportunités qui peuvent émerger de cette mer tumultueuse. En comprenant les subtilités de cet environnement digital, nous pouvons exploiter ses ressources pour nous élever et nous améliorer. Des technologies comme l'intelligence artificielle et la réalité virtuelle peuvent révolutionner le monde de la médecine, l'éducation, de l'exploration scientifique, etc., ouvrant de nouvelles voies vers l'innovation et le progrès.
Ainsi, tout en demeurant vigilants face aux dangers, ne perdons pas de vue le potentiel transformateur de la révolution numérique. Avec une conscience aiguisée et une compréhension approfondie, nous pouvons naviguer avec confiance à travers les eaux troubles du cyberespace et atteindre des rivages prometteurs où les possibilités sont infinies.
De l'innocence perdue à la violence moderne : la jeunesse se perd dans notre société parfois floue.
Dans les méandres du temps, où les souvenirs scintillent comme des étoiles dans un ciel d'antan, se nichent les doux lambeaux de notre jeunesse. Comme un murmure, je me rappelle ces jours où les rues étaient nos royaumes, nos vélos nos destriers, et les frontières du village nos horizons sans fin. Rien ne nous effrayait et le temps, complice de nos aventures, s'étirait en de longs rubans d'insouciance.
Mais hélas, ô cruelle ironie des temps modernes, le tableau s'est assombri, les teintes de l'innocence ont viré au gris des désillusions. Jadis, un simple froncement de sourcils de la maîtresse d’école suffisait à plonger nos cœurs dans l'abîme de la culpabilité. Et que dire des réprimandes parentales, tels des balayages de conscience qui venaient éclaircir nos esprits égarés.
Mais voici venu le règne de la décadence, où les enfants se muent en bourreaux, où la violence s'érige en funeste symphonie. Des mômes qui se battent à en perdre haleine ou même à se tuer, des géniteurs aux abois qui, telles des hyènes voraces, guettent la sortie des temples du savoir pour y semer terreur et désolation.
Comment en sommes-nous arrivés là, me demanderez-vous ? Ah, le coupable tout désigné, la pomme pourrie de notre jardin d’Éden moderne : les écrans qui vomissent leur lot de sang et de pixels, les réseaux sociaux où se tricotent les fils tordus de la haine. Mais n'accablons pas seulement ces boucs émissaires, car les vrais maîtres d'éducation ce sont les parents, gardiens des vertus et des valeurs.
Mais quand ces gardiens eux-mêmes se muent en tyrans, quand les règles du jeu sont bafouées par ceux-là mêmes qui devraient les incarner, comment alors espérer voir fleurir la sagesse dans le cœur des plus jeunes ? Oui, j'ai goûté au fouet de la discipline, aux fessées éducatrices et je ne suis point ici pour pleurer sur mon sort, car en vérité, je l'avais mérité.
Mais lorsque les grands de ce monde se vautrent dans l'impunité, lorsque les lois semblent fléchir devant le pouvoir, comment, diantre, résister à la tentation de suivre leur funeste exemple ? Le chemin est étroit entre la juste punition et la perdition, entre le fouet juste et le coup d'état.
Dans ce vaste théâtre de la société, chacun endosse un rôle crucial dans la prévention de la violence juvénile et la promotion d'une éducation fondée sur des valeurs humaines. Tel le maillon d'une chaîne, les parents, les enseignants et les dirigeants politiques sont appelés à agir pour ériger les remparts de la civilité et de la bienveillance.
Aux parents incombe la noble tâche de modeler les fondations de la morale et du respect chez leurs enfants. Tels des jardiniers attentifs, ils doivent cultiver les graines de l'empathie et de la responsabilité, et veiller à ce que leurs rejetons grandissent dans un terreau fertile à l'épanouissement de la bonté.
Les enseignants, quant à eux, sont les artisans de la transmission du savoir, mais aussi des valeurs qui forgent le caractère de la jeunesse. Leur mission, en plus de l'enseignement des matières académiques, est de servir de guides, d'exemples vivants d'intégrité et de compassion.
Les dirigeants politiques ont le devoir impérieux de créer un environnement propice à l'épanouissement harmonieux de la société. Leurs décisions et leurs politiques doivent être guidées par le souci du bien-être collectif, par la volonté de combattre les inégalités sociales et de promouvoir la justice pour tous.
Enfin, dans l'équation complexe de l'éducation et de la discipline, la question de la "juste punition / sentence" se pose tel un défi épineux. D'un côté, il est impérieux de faire comprendre aux jeunes les conséquences de leurs actes et de leur inculquer le sens des responsabilités. De l'autre, il est primordial de respecter leur intégrité et leur dignité, en évitant tout recours à la violence physique ou psychologique.
La "juste punition / sentence", tel un équilibriste sur un fil tendu, doit trouver le bon milieu entre la fermeté et la bienveillance. Elle ne saurait être une fin en soi, mais plutôt un moyen de réparation et de rédemption. Loin de constituer une vengeance aveugle, elle doit être guidée par la volonté de corriger les comportements déviants et de réintégrer les jeunes dans le giron de la société.
Elle ne se réduit pas à une simple rétribution des fautes commises, mais s'inscrit dans une démarche éducative globale, visant à prévenir la récidive et à favoriser l'épanouissement personnel des jeunes. Elle doit être proportionnée à la gravité de l'infraction, mais aussi adaptée à la personnalité et au contexte de chaque individu.
En fin de compte, la "juste punition / sentence" est celle qui, tout en rappelant les règles et les limites, permet à chacun de se reconstruire et de se réconcilier avec soi-même et avec la société. Elle est le reflet d'une éducation fondée sur le respect mutuel et la solidarité, comme moyen de préserver la dignité et l'intégrité de chacun.
Ainsi va le monde, tissé de paradoxes et d'oxymores, où la jeunesse se noie dans les torrents de la violence, où l'éducation n'est plus qu'une chimère dans un océan d'indifférence. Mais gardons espoir, car dans les replis de l'âme humaine, réside toujours une lueur d'espoir.
À la recherche de l'équité : même en santé les femmes sont ignorées
Dans les méandres de la société humaine, où se mêlent les ombres de l'injustice et les lueurs de l'espoir, laissez-moi vous conter l'histoire de la recherche sans fin de l'équité, un récit où se mêlent la douleur des oubliées et l'ironie des évidences ignorées.
Dans un monde où l'égalité semblait un idéal à atteindre, une discordance persiste, obstinée comme une mule butant sur son chemin. Homme et femme, deux mondes parallèles qui se côtoient, mais dont les destinées divergent comme les rivières cherchant leur propre lit. Si la femme, douce émanation de la nature, a su tisser avec patience les fils de l'humanité, son statut demeure un terrain de lutte, de brimades et d'ignorance.
Même dans l'antre de la médecine, où science et compassion devraient se conjuguer harmonieusement, un venin se répand insidieusement. Tel le serpent dans le jardin d'Eden, le sexisme médical s'insinue, distillant ses effets néfastes. Aux portes des salles de soin, des femmes se présentent, non pas en quête de jugement, mais de guérison. Hélas, leurs maux sont souvent relégués au rang de chimères, leurs douleurs réduites au silence par l'arrogance d'un savoir empreint de préjugés.
Et que dire de leurs plaintes, noyées dans le flot tumultueux de l'indifférence ? Telle une voix criant dans le désert, leur appel au secours reste souvent lettre morte. Désemparées, elles cherchent refuge dans les labyrinthes numériques des réseaux sociaux, espérant y trouver écho à leurs souffrances, réconfort à leurs tourments. Mais méfiance, ô voyageuses imprudentes, car les marécages virtuels cachent bien des prédateurs. Parmi les bienveillants, se tapissent les opportunistes, prêts à profiter de la détresse pour assouvir leurs bas instincts.
Ah, quelle ironie cruelle que de voir ainsi les créatrices de vie reléguées au rang de parias dans la société qu'elles ont nourrie de leur sein ! Tels des enfants ingrats, les humains oublient trop souvent que c'est du ventre des femmes que jaillit la vie, que c'est de leur amour que s'épanouit l'humanité.
Alors, mes amis, ouvrez les yeux sur cette réalité qui se déploie sous vos paupières closes. Ne soyez pas sourds aux lamentations des oubliées, ne soyez pas aveugles à l'injustice qui ronge les fondations de notre monde. Car tant que l'équité demeurera un idéal lointain, notre humanité restera prisonnière des chaînes de l'ignorance et de l'indifférence.
Les professionnels de la santé doivent être formés de manière à reconnaître et à traiter équitablement les besoins spécifiques des femmes, en tenant compte de leurs expériences et de leurs préoccupations uniques en matière de santé. De même, il est essentiel que les femmes soient encouragées à prendre activement part à leur propre prise en charge médicale, en étant informées de leurs droits et en étant encouragées à exprimer leurs préoccupations sans crainte de jugement ou de discrimination.
En outre, il est nécessaire de promouvoir une représentation équilibrée des sexes dans tous les domaines de la médecine, tant au niveau des praticiens que des chercheurs et des décideurs. Une diversité de perspectives et d'expériences est essentielle pour garantir des politiques de santé inclusives et sensibles au genre, qui répondent efficacement aux besoins de l'ensemble de la population.
Ensemble, en reconnaissant et en défiant les préjugés et les discriminations fondées sur le genre dans le domaine des soins de santé, nous pouvons progresser vers une société plus équitable et respectueuse, où chaque individu, quel que soit son genre, reçoit les soins et le traitement qu'il mérite.