Le Réservoir

Du 12 au 19 avril 2025, le Réservoir change de peau pour accueillir la Crazy Art Week. 

Une semaine où design, automobiles et art ne feront qu’un sur 1000m2 d’exposition. Cette parenthèse unique imaginée en partenariat avec l’artiste Alexandra Frances, Porsche et Roche Bobois sera l’occasion de découvrir les nouvelles collections de nos prestigieux acolytes, un modèle mythique de Porsche surprise et les œuvres pop de l’artiste Alexandra Francès. 

Tout cela commence le 12 avril et sera visible jusqu’au 19 avril seulement. 

Un épisode à ne pas manquer.

Du coup, on vous dit à très bientôt ?

Alexandra Francès étudie très jeune les techniques des maîtres de la renaissance et des peintres hollandais. Elle s’affranchit ensuite de ces codes classiques, pour explorer la dimension anatomique des visages en s’appuyant sur une étude de la forme et des variations du crâne humain. Alexandra ajoute à ses « visages facettes » méticuleusement décortiqués, sa palette de couleurs rappelant les techniques de maquillage des années 70 où l’énergie disco jaillissait alors, hors des clubs New Yorkais.

Le Réservoir de Sète présentera une trentaine des ses œuvres dans le cadre de la Crazy Art Week !

Dès le 13 mars donc, et durant 3 jolis mois, le Réservoir exposera le talent d’artistes contemporains africains. Une première depuis nos expéditions outre Méditerranée à la découverte de ces virtuoses de la toile. 

Ces artistes aux techniques singulières racontent la vie, le rêve, le corps. Au travers d’un art nouveau, au travers de médiums inattendus, ils surprennent par leur inventivité et leur habileté. 

Terre Rouge vous transportera dans la douceur et la vie du continent puisque chaque toile relate un moment, un morceau de vie choisi ou la joie s’empare de l’œuvre avec un naturel déconcertant. 

Simple, maîtrisé, en deux mots ce que les griots maliens, burkinabés, camerounais, togolais, béninois nous livreront lors de cette exposition. 

De chaque composition se dégagent couleurs, textures, sourires et une farouche envie de vivre, de créer au-delà des clichés, au-delà du poids de l’histoire, au-delà de l’oubli. 

Terre rouge écrit les courbes d’un ailleurs fascinant, à venir contempler sans modération.

On retrouvera donc le travail de 16 artistes contemporains : 

William Bakaimo, Steve Bandoma, Casimir Bationo, Mohamed Dembele, Mohamed Diabagaté, Arnold Fokam, Alhassane Konte, Rafiy Okefolahan, Christophe Sawadogo, Roméo Temwa, Gérard Tête, Dramane Toloba, Daouda Traoré, Habibatou Yaye Keita et Alida Ymele.

Pour la rentrée 2024 le Réservoir Sète proposera une nouvelle exposition fièrement baptisée (Dé)construction. 

Elle mettra à l’honneur 7 artistes talentueux aux styles et aux techniques profondément engagés. Sous les mains des protagonistes qui l’auront façonné, ce thème, si puissant soit-il, se révélera friable voire aérien.

Construire pour déconstruire, puis se reconstruire, faire et défaire, casser, recoller, moudre, souder… l’ordre des mots pourrait presque être inversé. Un aller-retour infini, un cheminement paradoxal, genèse de toute production et essentiel à la création portée par les artistes Julien Barriol aka No Luck, Mathieu Bureau, Thomas Canto, Jean Denant,  Jules Hidrot, Elena Salah et Olivier Secretan. Le temps d’une exposition, ils se feront les architectes d’imaginaires bruts, et sous le calcaire, se révèlera la matière toute entière.

Il y a ceux qui déplacent la poussière, et avec elle, les souvenirs, ceux qui entaillent les traverses, ceux qui sculptent le passé et ceux qui peignent le présent pour revenir, toujours, à l’intemporalité. Comme si figer l’infini processus était leur destinée.

Ce cercle vertueux, nous compose et nous recompose, nous détruit mais nous maintient, alors même que nous en sommes les artisans. Et à l’image de nos vies, la création parcourt ces sentiers, parsemés de haltes et d’obstacles, pour s’accomplir ici, puis là, là-bas, aussi.

Ainsi, l’art et la vie ; véritables semblables, seront les piliers de cette exposition dont le thème, avant d’être cher à la pierre, est cher à l’humain.

La boucle est bouclée ?

Vernissage le vendredi 6 septembre à partir de 18.30 
45, 46 quai de Bosc  S.È.T.E 

Là, ce sont les petites fraîcheurs de l’été ! Du Clara Castagné tout prêt à emporter ou à se faire livrer !

De nouvelles éditions fraîchement arrivées, fraîchement signées, qui, comme vous le savez, partent à vitesse grand V.

Un tour du monde improvisé pour voguer entre le Japon et la France, pour atterrir, coûte que coûte sur les quais de Sète. La base, finalement. 

À chaque atelier, nous explorerons la posture, Asana en sanskrit. Toute position du corps que l’on peut tenir assez longtemps en restant immobile et sans effort, au moyen du contrôle de la respiration et donc du mental. Permettre la circulation fluide de l’énergie, la concentration et l’intériorisation.

Conquérir le corps par la pratique des postures et en faire le digne véhicule de l’esprit.

Un samedi sur deux, de 10h à 11h30 à partir du 15 Juin.

Avec Karine Bergami, professeure de Yoga ayant participé au projet Photographique Posture(s) exposé au Réservoir.

Inscription et renseignements au 06 16 76 24 98

Tous niveaux ; maximum 10 personnes

Chaque participant(e) amène son tapis

Tarif : 18 euros

NOUVELLE EXPOSITION À MONTPELLIER

Porteur de la parole, fidèle gardien de la tradition et conservateur incontesté des moeurs ancestrales, le griot aussi appelé barde est un artiste qui joue un rôle social très important. La parole du griot relève à la fois du « dire bien » et du « dire vrai ». Sa voix demeure la voie de l’expression des identités culturelles africaines, de la connaissance de la vérité historique.

Simultanément voix et voie de la scène artistique contemporaine africaine, les artistes Steve Bandoma, Mohamed Diabagaté, Nelson Teixeira, Daouda Traoré et Tesprit nous feront pénétrer dans l’imaginaire d’une Afrique plurielle, poétique, lucide, réconciliée et en pleine transformation. Par leurs pinceaux, ils questionnent et interpellent les sujets politiques, environnementaux et sociétaux.

Selon Steve Bandoma, art et politique sont indissociables, comme coulent le sang et l’oxygène dans des veines qui se veulent vivantes. S’il se sert de son goût pour le beau afin d’aiguiser son idéologie politique, l’inverse, ou le fait de puiser dans la politique pour nourrir son esthétique est aussi vrai.

L’oeuvre de Nelson Texeira est une conversation en constante évolution autour de l’expérience humaine et de notre place dans la vaste tapisserie de l’existence.

Tesprit nous permet quant à lui d’appréhender la précarité et la vulnérabilité, mais aussi la joie et l’optimisme omniprésents dans le quotidien des enfants des rues de Lomé.

Daouda Traoré peint les séquences d’un quotidien immédiat qui nous plongent dans la vie contemporaine des villes qu’il côtoie et traverse, passant d’une scène de vie à l’autre.

Les oeuvres de Mohamed Diabagaté permettent à celui qui les regarde de se plonger dans un ailleurs d’abstraction. On peut tout y voir, notre passé, l’état présent, nos songes, une apparition progressive du futur… ou rien.

Les nouvelles générations de griots africains s’adressent à un public mondial, utilisant un médium inconnu du griot traditionnel (littérature, cinéma, médias, musiques, peintures…) ; à l’historien-messager succède l’artiste peintre. Le griot-peintre oeuvre comme messager et comme reporter. Établissant un lien entre l’Afrique ancestrale et celle des temps modernes.

Finalement, le griot, peintre et reporter témoigne de la vie.

À nos corps égarés que nous avons du mal à saisir, à discipliner, à appréhender.

À nos corps disparus, sous l’image qu’il aurait fallu qu’ils aient.

À nos corps insolites, singuliers, bizarres, spéciaux, uniques.

De nos corps émanera l’art, de l’art émaneront nos cœurs.

Bientôt, dès le 6 juin, le Réservoir Sète proposera sa nouvelle expo : À corps perdus au caractère charnel et sans tabou, le corps sera sujet ou objet et se dévoilera du tout au tout.

Pour cet évènement, 12 artistes croiseront leurs regards et leurs arts sur les murs du Réservoir durant les 3 mois de l’été. Jacques Barry, Benjamin Carbonne, Stéphane Carbonne, Clara Castagné, Sophie Dherbecourt, Sarah Guiraudon, Sylvie Fraissard & Karine Bergami, Ganaelle Maury, Isabelle Piron, Morgane Ryckelynck et Claudia Vialaret nous dédient une interprétation de ce qui depuis la nuit des temps inspire l’Art.

Nos corps seront perdus, noyés dans l’immensité des représentations, dans l’immense temporalité de leurs interprétations. Il n’y aura ni de beau, ni de laid, il n’y aura pas de grands ou de gros, juste des sujets qui par leur pores, transpirent leurs irrégularités artistiques.

Ce sera drôle, évidemment, inattendu aussi, palpitant à coup sûr.

En cet été 2024, nous avions cette idée, peut-être décalée, de vous dévoiler ce que certains n’oseront pas trop regarder ! Mais au diable la pudeur, car si l’art n’est pas là pour surprendre que lui reste-t-il sinon le mérite d’exister.

Se jouer des codes, bouger quelques lignes, trancher parfois du côté de la vérité nue, se feront, le temps d’un été, les garants d’un art non dissimulé.

Une exposition dans laquelle nous vous accueillerons à cœurs perdus.

Vente aux enchères 

Le Réservoir organise une vente aux enchères au profit de l’association entre Ciel & Me le samedi 9 mars à partir de 16h. 

Vente aux enchères animée par la commissaire de Justice Maître Bertrand de Latour. 

Demande de catalogue et dépôt d’ordres d’achats par mail : sarcos@lereservoir-art.com

Entre Ciel & Mer est une association à but non lucratif fondée en mai 2015 par Christine Duchemin coach professionnel certifié.

L’intention est d’accompagner sur un voilier des femmes, touchées par le cancer du sein en post traitements, pour reprendre confiance en soi, se ressourcer et rebondir vers un nouveau Cap de Vie plein d’En Vies.

Christine a elle-même traversé cette tempête en 2014 et s’est fait une promesse faire partager et découvrir l’environnement qui l’a ressourcé : La Mer.

Au delà du séjour, l’association est un vrai soutien et permet à chacune d’oser reprendre la barre de son devenir de femmes (reprise d’activités).

Le corps, cet « objet » qui n’en est pas un.

Des corps, il en existe autant que de personnes. Grands, petits, gros, maigres. Musclés ou mous, souples ou raides, noirs ou blancs, rougis par le soleil ou ternis par la tristesse, des corps, il en existe autant que d’humains… 

 Ô Corps, une exposition qui donne à voir cet “objet” dans toute son authenticité.

Le pouvoir, le désir, le sacré, la soumission, des sujets que les artistes Khadija Tnana et Fatoumata Diabaté célèbrent et questionnent.

Pour la photographe et la plasticienne, représenter le corps en le mettant en scène ouvre de multiples réflexions politiques, culturelles et identitaires.

Souvent provocantes, parfois attirantes, leurs démarches artistiques apportent au corps une dimension multiple. Lors de cette exposition, le corps deviendra à la fois support et outil de création, revêtant tous ces aspects pour une ôde à l’art contemporain. 

Il sera l’écrin de tous les interdits, de tous les marquages. 

Il n’y a pas d’art sans corps disait l’écrivain Sailly O’Reilly. Cette exposition en est la preuve.

Vernissage le jeudi 29 février • 18.30

Le Réservoir M O N T P E L L I E R. 

Liquide : état de la matière, donnant à voir une forme fluide, inconstante.

Liquid : nom de notre prochaine expo.

Pour la chimie, un liquide est composé de molécules faiblement liées, pour l’art, un liquide se veut infiniment flexible, maniable à l’envi, illimité donc.

Écrire à n’en plus finir sur l’état de liquide et lire les interprétations croisées des artistes invités de cette exposition, une promesse que nous nous sommes faite, il y a un an déjà.

Car tant d’interprétations lui sont possibles, tant de remous lui sont pensables que l’infinie inspiration se prêtera à l’infini sujet… 

Vous croiserez donc le liquide comme élément vital, comme élément sacré, comme état multiple. Il dessine une courbe inconstante, transforme le solide en volatile, et étourdit la gravité. Le représenter, le cristalliser, et, dans un corps immuable, lui rendre son aspect inhérent ; le mouvement. Vous trouvez cela incroyable ? Nous aussi.   

C’est ainsi que les artistes Camille Adra, Amaral & Barthes, Agathe David, Marie Détrée, Giulio Di Sturco, Johann Fournier, Cléa Lala, Hugo Pondz, Clara Tournay et Yeolin Kim virtuoses photographiques et plastiques se prêteront au jeu de la métaphysique lors de cette exposition dédiée.

L’ensemble sera flottant, faisant chavirer le spectateur dans un ailleurs neptunien. Et à l’instar du liquide, la couleur deviendra impalpable et onctueuse. Du couché de soleil indien aux profondeurs méditerranéennes, elle viendra embrasser le sujet de sa robe nacrée, rendant la plongée plus douce encore. 

Alors, venez,

Sauter à pieds joints dans la flaque,

Glisser sur la vague,

Lire la mouvante matière,

Vivre au gré du sacré,

Contempler l’invisible,

Et, peut-être, délier les molécules.

• Vernissage de l’exposition le jeudi 7 mars à partir de 18.30 en présence des artistes. 

Le Réservoir. S È T E 
45 – 46 quai de Bosc

Vous avez apprécié les œuvres et l’univers des 14 artistes exposés ?

Bonne nouvelle ! À partir du 26 janvier, venez découvrir les toiles non dévoilées des artistes Alida Ymele, William Bakaimo, Roméo Temwa, CasziB, Habibatou Yaye Keita, Christophe Sawadogo, Rafiy Okefolahan, Dramane Toloba et Mohamed Dembele. Les œuvres des artistes africains contemporains sont réalisées au travers de nombreuses techniques tant africaines qu’occidentales, une explosion de découvertes. 

Alors, vous pourrez ainsi profiter de l’exposition tout au long du mois de février. Et Visibles, laissera sa place à la prochaine dès le 29 ! Restez connectés pour la suite de nos aventures artistiques.  

Nous vous accueillons au pied de l’Arbre Blanc du mercredi au vendredi pour vous faire découvrir ces nouvelles productions, toutes aussi fascinantes et hautes en couleur ! 

Une foire d’art contemporain unique à laquelle nous participons pour la première fois. 

Venez nous rendre visite sur le stand B10 au Grand Palais de Lille

Le Réservoir vous présentera les œuvres de Daouda Traoré, Mohamed Diabagaté, Tesprit, Claude Viallat Robert Combas, Hervé Di Rosa et Jean Denant. 

A chaque édition, une thématique est définie par le comité artistique. Autour de cette thématique, 3 expositions proposent un éclairage singulier et viennent enrichir la proposition artistique de la foire. Cette année les 3 expositions à découvrir sont :

– Thema : L’image en Partage. Le Musée de l’Estampe et du Dessin de Gravelines, présente des œuvres graphiques d’une vingtaine de créateurs qui nous racontent leur manière de dessiner les mondes.

– Interface, une proposition curatoriale d’artistes émergents sur la scène internationale.

-Révélation, une exposition dédiée aux jeunes artistes des écoles d’art de l’Euro-région.

Jacques a dit, l’exposition dédiée à l’enfance du Réservoir Sète, vous invite à découvrir ses artistes le samedi 17 février !

Une « rencontre collage » intimiste avec vos artistes.  Jacques à dit : Venez !

Samedi 17 février de 14.30 à 18.30 au Réservoir Sète.

Une rencontre privilégiée avec Aurélie Buridans et Julia Dutriez pour comprendre les techniques  du collage, ses subtilités et surtout ses secrets.

Pour la petite histoire…

Le collage a près d’un siècle d’existence ; et concerne différents domaines : la musique, la littérature, le cinéma ou encore l’architecture.

Aujourd’hui, il est une technique artistique à part entière que l’on distingue de la citation ou du montage. Il suppose un champ d’investigations plus large. Si le collage ne saurait être considéré seulement comme une technique, au même titre que la peinture à l’huile ou l’aquarelle, c’est bien parce qu’il suppose l’appropriation d’un élément conçu pour un autre usage, qui a un passé, avant d’être pris en main par un artiste.

En se saisissant d’un matériau préexistant, l’artiste crée un intervalle entre ce matériau prélevé à l’état brut et ce qu’il va devenir entre ses mains. C’est ainsi qu’il prend tout son sens et reflète toute sa beauté. C’est surtout à partir des années 40 que des matériologies liées à la tendance de « l’art informel » vont prendre place. Jean Dubuffet jouera un rôle catalyseur, pour qui, « l’art doit naître du matériau ».

Pratiquer le collage revient à « interroger la matière ». 

Toute l’équipe du Réservoir Sète sera ravie de vous accueillir, vous conseiller et vous chouchouter lors de votre visite ! 

Ne passez pas à côté de l’exposition « Jacques a dit », une joyeuse histoire racontée par nos artistes sur l’enfance jusqu’au 2 mars prochain.