Nuit d'hiver (2024) Peinture par Lorenz

Réinterprétation d'une représentation surannée de la nativité, où les valeurs familiales, traditionnelles, et religieuses se mêlent et se confondent pour ne faire qu'une.
Le chat devant la porte exprime la peur de l'avenir, de l'inconnu. Il cherche à rentrer pour fuir son environnement qu'il perçoit comme menaçant.
La signature (un petit nuage) se trouve dans le tableau avec la vache.
La vache fait écho avec modestie à la chèvre de PICASSO et participe à une représentation déstructurée de la nativité. Elle peut également rappeler la vache sacrée - mère universelle - hindouiste, invitation au partage et à la tolérance de tous par tous par sa présence dans ce cadre plutôt chrétien.
Plus précisément ce tableau reprend un contexte politique et sociale actuel puisque son titre n'est pas sans rappeler qu'au nom de la laïcité la ville de Nantes n'a pas souhaité fêter Noël en 2023.

Reinterpretation of an outdated representation of the nativity, where family, traditional and religious values ​​mingle and merge to become one.
The cat in front of the door expresses fear of the future, of the unknown. He seeks to return to escape his environment which he perceives as threatening.
The signature (a small cloud) is in the painting with the cow.
The cow modestly echoes PICASSO's goat and participates in an unstructured representation of the nativity. It can also recall the sacred cow - universal mother - Hindu, invitation to sharing and tolerance of all by all through its presence in this rather Christian setting.
More precisely, this table takes up a current political and social context since its title is reminiscent of the fact that in the name of secularism the city of Nantes (city ​​of Jules VERNE) not wish to celebrate Christmas in 2023.

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