Toutes les oeuvres de Valantin
Sélection exclusive à prix remisés • 4 oeuvres
Voir toutImpressions parisiennes • 9 oeuvres
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J'ai commencé par une photo floue. Une photo du bois de Vincennes, sous la neige, une photo ratée...[...]
J'ai commencé par une photo floue. Une photo du bois de Vincennes, sous la neige, une photo ratée...
Manque de lumière, vitesse trop lente, léger "bougé" avaient créé ce flou qui sublimait à mon goût le paysage.
L'"image" était à mi chemin entre photographie et peinture, entre réel et onirique et interprétait le paysage dans une dimension plus artistique.
Les combinaisons du hasard avaient produit un effet impressionniste, je voulais le reproduire...
Après une longue période d'essais, le flou m'est devenu familier.
On ne le maîtrise jamais complètement : on teste, on efface, on recommence jusqu'à ce que les formes dures et tranchantes s'adoucissent, jusqu'à ce que les couleurs se marient les unes les autres, jusqu'à s'enrichir d'une certaine myopie.
Chaque image est une recherche en soi. La méthode se fonde sur les équilibres instables de la gestuelle, le dosage de la vitesse, les modifications de la focale mais avant tout sur l'intuition que l'image finale saura rendre une atmosphère.
Impression souvent intemporelle...
Depuis mon enfance, habitant et amoureux de Paris, j'ai arpenté la capitale, tel un touriste avide de découvrir l'une des plus belles villes du monde.
J'exprime là toutes mes impressions... Paris tel que je le vois, avec mon regard, flou.
Manque de lumière, vitesse trop lente, léger "bougé" avaient créé ce flou qui sublimait à mon goût le paysage.
L'"image" était à mi chemin entre photographie et peinture, entre réel et onirique et interprétait le paysage dans une dimension plus artistique.
Les combinaisons du hasard avaient produit un effet impressionniste, je voulais le reproduire...
Après une longue période d'essais, le flou m'est devenu familier.
On ne le maîtrise jamais complètement : on teste, on efface, on recommence jusqu'à ce que les formes dures et tranchantes s'adoucissent, jusqu'à ce que les couleurs se marient les unes les autres, jusqu'à s'enrichir d'une certaine myopie.
Chaque image est une recherche en soi. La méthode se fonde sur les équilibres instables de la gestuelle, le dosage de la vitesse, les modifications de la focale mais avant tout sur l'intuition que l'image finale saura rendre une atmosphère.
Impression souvent intemporelle...
Depuis mon enfance, habitant et amoureux de Paris, j'ai arpenté la capitale, tel un touriste avide de découvrir l'une des plus belles villes du monde.
J'exprime là toutes mes impressions... Paris tel que je le vois, avec mon regard, flou.
Impressions maritimes • 1 oeuvre
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Un des avantages principaux de la peinture sur la photographie (sans l’utilisation de photoshop) c’est[...]
Un des avantages principaux de la peinture sur la photographie (sans l’utilisation de photoshop) c’est que l’on peut tricher sur les éléments du réel : effacer un élément disgracieux, rajouter des artifices, corriger une perspective, avec pour finalité de modifier et d’enjoliver la réalité…
A la suite d’un stage de 2 ans avec Jean Dotaro peintre de la marine, j’ai décidé d’associer 2 techniques : celle de l’aquarelle et de la gouache avec celle de la photographie.
Pour réaliser ce que j’appelle une peinture photographique il existe un certain nombre de règles.
S’il faut bien sûr sélectionner au départ une photographie qui procure une émotion, il faut aussi choisir une image que l’on va pouvoir sublimer en y rajoutant une touche de peinture. Il faut donc à ce stade évaluer le potentiel de la photographie à être peint (car cela ne marche pas sur toutes les images).
La deuxième phase de la peinture photographique consistera en un traitement sur Photoshop (plus ou moins long en fonction du sujet) car il s’agit alors de préparer la photographie comme support d’aquarelle.
Pour cela il faut jouer sur les contrastes et déterminer les zones qui doivent être édulcorées ou renforcées, corriger éventuellement la perspective et déplacer ou supprimer certains éléments (par exemple reconstituer une géométrie parfaite de personnages).
Une fois la photographie retouchée et prête à être peinte il faudra alors l’imprimer sur un papier dédié à l’aquarelle. Pour cela j’utilise les blocs de Canson Watercolor Acuarela en 300g que j’imprime sur mon Epson R 3000.
Ensuite je décide quelles seront les zones que je vais peindre et celles que je laisserai en l’état et je fais souvent un ou plusieurs mini tirages avant de me lancer, pour évaluer le résultat.
Une fois le travail de peintre réalisé je signe sur la toile car l’œuvre est unique. Et si je devais refaire l’exercice à partir de la même photographie je n’aurais jamais le même rendu et en conséquence une autre œuvre originale !
La série que je présente ici est une série que j’ai intitulé « impressions maritimes » et présente des scènes de plages de la côte d’Albatre à la côte de Lumière en passant par la côte d’Emeraude.
A la suite d’un stage de 2 ans avec Jean Dotaro peintre de la marine, j’ai décidé d’associer 2 techniques : celle de l’aquarelle et de la gouache avec celle de la photographie.
Pour réaliser ce que j’appelle une peinture photographique il existe un certain nombre de règles.
S’il faut bien sûr sélectionner au départ une photographie qui procure une émotion, il faut aussi choisir une image que l’on va pouvoir sublimer en y rajoutant une touche de peinture. Il faut donc à ce stade évaluer le potentiel de la photographie à être peint (car cela ne marche pas sur toutes les images).
La deuxième phase de la peinture photographique consistera en un traitement sur Photoshop (plus ou moins long en fonction du sujet) car il s’agit alors de préparer la photographie comme support d’aquarelle.
Pour cela il faut jouer sur les contrastes et déterminer les zones qui doivent être édulcorées ou renforcées, corriger éventuellement la perspective et déplacer ou supprimer certains éléments (par exemple reconstituer une géométrie parfaite de personnages).
Une fois la photographie retouchée et prête à être peinte il faudra alors l’imprimer sur un papier dédié à l’aquarelle. Pour cela j’utilise les blocs de Canson Watercolor Acuarela en 300g que j’imprime sur mon Epson R 3000.
Ensuite je décide quelles seront les zones que je vais peindre et celles que je laisserai en l’état et je fais souvent un ou plusieurs mini tirages avant de me lancer, pour évaluer le résultat.
Une fois le travail de peintre réalisé je signe sur la toile car l’œuvre est unique. Et si je devais refaire l’exercice à partir de la même photographie je n’aurais jamais le même rendu et en conséquence une autre œuvre originale !
La série que je présente ici est une série que j’ai intitulé « impressions maritimes » et présente des scènes de plages de la côte d’Albatre à la côte de Lumière en passant par la côte d’Emeraude.
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