COP27 Like New Year reception "Greetings" or DIGITAL N°18A (2022) Dijital Sanat Grégory Dreyfus tarafından

COP27 New Year Greetings (Special Light)
" Where it's going to ? " - From DIGITAL(e) Series

Comme des voeux abstraits de nouvel an, souvent aussi creux que futiles et par ailleurs pourtant pleins de bonnes attentions, la COP 27 n'aura pas déçu cette année là encore, à Sharm el Sheikh, sur ce plan là avec les représentants en quelques sortes du peuple des nations.

Philosophiquement, quitte à tirer dans le vent, quel est le monde que nous voulons réellement ? Celui que nous construisons, celui que nous attendons, celui que nous pouvons laisser à nos descendants ? Celui que nous construirons peut-être ou juste le même que nous polluons, gazons, brûlons, laissons pourrir aujourd'hui ?

En fait on s'en fout de tout cela. Après tout Qui de nous préparent déjà leurs obsèques, mettent leurs "affaires en ordres" selon la formule consacrée mais préparent en faits déjà, l'avenir de leurs enfants ...de leurs progénitures sur plusieurs générations ?
Nous oublions tous que nous parlons, certes accessoirement de nous biensûr mais véritablement surtout de notre planète, cette terre fertile sur laquelle nous évoluons tant bien que mal, que nos pères nous ont laissé avec nos espèces, nos cellules du vivants et ces éléments de vie qui donc appartiennent à cette Terre, à notre planète, notre "Mère Planète" et qui aujourd'hui cautionnée d'énergie rendant cela finalement moins important paradoxalement car transformée par nous : l'air, l'eau, la terre, la mer, la glace, le végétal, l'animal, l'insecte... Si au moins de ceux là on ne les faisait pas disparaître, fondre, tarir, polluer, dégénérer, pâtir de nos fautes, de nos erreurs ...si au moins...

On se parlait pour Faire ce qu'on dit. Et Faire mieux à chaque fois.

...Plutôt que de donner à voir une famille dysfonctionnelle qui meurtri sa mère. Tous jaloux entre eux, ou se sentant... vous l'avez la métaphore ? ...avec des blessures narcissiques grosses comme le bras.


Toujours aucune discussions inter-nations à l'échelle globale sur cet enjeu, sur cet horizon.
"On verra bien" - Juste des plans mathématiques et c'est le minimum d'un plan d'un enjeu à 30 milliard de dégâts planétaires - je n'ose même pas dire par an quand je le ressens par semaine, personnellement - sur lequel on arrive à peine à placer 300 millions par an, oups, à échéance sur 8-10 ans, 30 ans ?

Un plan constitué qui met en place à chacun des états membres, participants ou impétrants un objectif pour atteindre des taux déjà dépassés, qui ne seront pas rattrapés, et que chacun des pays signataires, de son côté se choisira un chemin pour s'y contraindre, à aller atteindre, ce taux nouveau déjà dépassé, ... Cela semble fou !

De notre maison qui brûlait et qu'on ne voulait pas voir en regardant ailleurs, aujourd'hui pourtant on en fait un jeu d'entre pompiers pour savoir qui et comment l'on va aller se l'éteindre ou pas notre feu qui dévore notre maison, en commençant par : où ?
_ Ma chambre, ta chambre, et le couloir, il appartient à qui le couloir ?
_ En tout cas moi j'irais l'éteindre quand j'aurais atteint le nombre de seaux suffisant pour aller chercher l'eau.
_ Moi je vais chanter pour que la pluie vienne...
_ Et moi je vais construire une usine de voiture et extraire des énergies fossiles pour créer une combustion pour un moteur qu'on mettra dans un cylindre avec des roues accrochées autour par une armature conjuguée...
_ Ah tu vas inventé des roues ?
_ Oui et après j'irais loin dans le désert pour en ramener.
_ Des roues ?
_ Non des hydrocarbures.
_ Mais et l'eau ?
_ Mais c'est à qui le désert ?
_ Bah on s'en fout, non ?
_ Ouais dis tu voudrais pas des seaux ?
...

On ne peut visiblement ni arrêter ni la guerre, ni les crises... , ni le temps ni l'ignorance volontaire, ni l'aveuglement des uns face à l'évitement des autres. Juste faire face aux temps qui tremblent englués dans nos actions faites, d'inactions finalement partagées, caractérisées.



" Gouverner, c'est prévoir - Ne rien prévoir... c'est courir à sa perte. " A.Thiers - E.Girardin



Cette dérivée de "COP27 ou DIGITAL N °18 - Série DIGITAL(e)" est une version spéciale claire d'une très noire mais très engluée perspective "sur ce qui nous attend". Sur ce qui nous tend vraiment.


GrégoryDreyfus©2022
Photo and painting by GD2017 / DIGIT-Originel2000


Like abstract New Year greetings, often as hollow as they are futile and yet full of good attentions, COP 27 will not have not disappointed this year again, in Sharm el Sheikh, on this level with the representatives of some sorts of the people of the nations.

Philosophically, even if it means pulling in the wind, what is the world we really want? The one we are building, the one we are waiting for, the one we can leave to our descendants? The one we may build or just the same one we pollute, grass, burn, let rot today?

In fact, we don't care about all that. After all Who of us are already preparing their funerals, putting their "business in order" according to the established formula, but in fact already preparing the future of their children... of their offspring over several generations?
We all forget that we are talking, certainly incidentally of course, but really above all of our planet, this fertile land on which we evolve as best we can, that our fathers left us with our species, our cells of the living and these elements among life. Which therefore belong to this Earth, to our planet, our "Mother Planet" and who today endorse energy making this ultimately less important paradoxically because transformed by us : air, water, earth, sea, ice, plants, animals, insects... If at least of these we did not make them disappear, melt, dry up, pollute, degenerate, suffer from our faults, our errors... if at least less...

We talked to Do what we say. And do better every time.

...Rather than showing a dysfunctional family that hurt his mother. All jealous of each other, or feeling... you got the metaphor? ...with narcissistic wounds the size of an arm.


Still no inter-nation discussions on a global scale on this issue, on this horizon.
"We'll see" - Just mathematical plans and it's the minimum of a plan of a stake at 30 billion planetary damage - I don't even dare to say per year when I feel it per week, personally - on which one barely manages to invest 300 million per year, oops, maturing over 8-10 years, 30 years?

A constituted plan which sets up for each of the member states, participants or recipients an objective to achieve rates already exceeded, which will not be caught up, and that each of the signatory countries, for its part, will choose a path to force itself there , to reach, this new rate already exceeded, ... It seems crazy!

Of our house which was burning and which we did not want to see by looking elsewhere, today however we make it a game of firefighters to know who and how we are going to extinguish it or not our fire which devours our house, starting with: where?
_ My room, your room, and the hallway, who owns the hallway?
_ In any case, I would go and put it out when I would have reached the number of buckets sufficient to fetch the water
_ I'm going to sing for the rain to come...
_ And I'm going to build a car factory and extract fossil fuels to create combustion for an engine that we will put in a cylinder with wheels hung around it by a frame combined...
_ Ah, you are going to invent wheels?
_ Yes and then I would go far into the desert to bring some back.
_ Wheels ?
_ No hydrocarbons.
_ But and the water?
_ But whose desert is it?
_ Well who cares, right?
_ Yeah say you would not like buckets?
...

We can obviously neither stop war, nor crises..., nor time, nor voluntary ignorance, nor the blindness of some in the face of the avoidance of others. Just to face the times which tremble stuck in our actions made, of inactions finally shared, characterized.



"To govern is to foresee - To foresee nothing... is to run to ruin." A.Thiers - E.Girardin



This derivative of "COP27 or DIGITAL N°18 - DIGITAL(e) Series" is a version clear stage with a very black but very stuck perspective "on what awaits us". On what really tends to us.


GrégoryDreyfus©2022
Photo and painting by GD2017 / DIGIT-Originel2000

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