通过购买选项租赁Ivan De Nîmes的作品“ Les Bons, Les Brutes Et Le Truand / Jean ”
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常见问题
What are the advantages of leasing works of art?
- Financial Flexibility: You can enjoy exceptional, high-value works of art without a large initial investment.
- Tax Benefits: Receive potential tax benefits as rents can be deducted as a business expense.
How are the prices of monthly payments for leasing works of art set?
- The costs depend on the value of the work, the duration of the leasing contract, and any services included such as installation.
Can we buy the work after the leasing period?
- Yes, on ArtMajeur leasing contracts offer a purchase option at the end of the contract, allowing customers to acquire the work at a determined price (residual value).
How are the safety and insurance of works managed?
- Insurance during the duration of the rental contract is the responsibility of the customer. It is therefore important to check the details of your insurance contract to be sure that your leased works are covered in the event of damage.
What are the conditions for terminating the leasing contract before its end?
- Unless there are specific conditions, leasing contracts for works of art commit the client to payment of the entire price of the work; payments are therefore due until the end of the lease.

关于作者
On voudrait comprendre mais Ivan n’est pas bien bavard.
« Faut pas croire » assène-t-il à tout bout de champ, rire d’autodéfense et poings serrés. On pressent quand même du vernis sur des cals : toutes ces couleurs seraient un baume, des surcouches pour faire croire, mais en dessous c’est tout noir.
C’est ça Ivan ? Pas de réponse. Faut pas croire. C’est plastique et destroy. C’est signé et saignant. S’y côtoient Jésus éclairant le monde, un führer qui dégueule, des femmes lèvres grand ouvertes et des nains sur piédestal.
C’est omniphallique et orgiaque, de la couleur un peu partouze. Ivan a des trucs à dire mais il n’est pas bavard.
C’est donc ça ? « Faut pas croire », suggère simplement Ivan. Il faudrait juste ouvrir les yeux et s’en prendre plein la tronche car au nom des pouvoirs qui lui sont conférés, Ivan dézingue et c’est à prendre ou à laisser, c’est brut et sans pilule.
Et si ça fait mal, lui ça lui fait du bien.
Faut pas chercher très longtemps la faille avec Ivan : on est en plein dedans et on dégringole. Du plomb authentique, des Mickey et encore des nains, on est bringuebalés entre la guerre et l’entertainment. Le baiser qui tue.
« Faut pas croire » mais faut surtout pas craindre. Il s’en passe des trucs dans sa tête, ça cabosse dans la caboche, on se dit qu’il fait bien d’en donner un peu aux autres, ça exploserait là dedans, ça flingue. Ca sérigraphe et ça sérigraffe, c’est pas fait pour ton salon !
Quoique, faut pas croire : Ivan est tout en noir, mais il a des couleurs plein les mains.
Vincent Duquesne pour Ivan de Nîmes (2017)