Françoise Aubert-Moreau

http://www.amazon.com/Van-Gogh-durera-toujours-Nouvelles-ebook/dp/B00JRV7CY0/

Van Gogh durera toujours : Et pour ma, et notre plus grande joie je pense sincèrement!!!Une série de huit nouvelles très bien traduites en français, qui nous invite et nous entraîne dès les premières lignes, dans la vie de personnages imaginaires , femmes, hommes, de tous milieux, pour lesquels , à un moment de leur existence , Van Gogh à eu une influence déterminante. La rencontre avec l'oeuvre du peintre qu'elle soit picturale ou livresque (des fragments de la correspondance qu'il a entretenue avec son frère sont cités, et ajoutent encore un peu plus de "vérité" aux personnages) à provoqué une prise de conscience importante pour chacun d'entre eux et a insufflé un nouvel élan à leur vie.Un impact positif, sans doute né dans l'inconscient de chacun, un déclic puissant qui a motivé ces hommes et femmes, à se dépasser et a entamer une nouvelle façon de penser, de se surpasser , de vivre ou d'aller vers les autres, et tout cela grâce à Vincent à son oeuvre, son charisme ou sa" folie".Merci Vincent d'avoir existé , créé, pour tout ce que tu as suscité et engendré de positif à travers les générations, tu es un génie et tu es immortel!!!

Je viens de le lire.... a télécharger a tout petit prix
http://www.amazon.fr/Van-Gogh-durera-toujours-Nouvelles-ebook/dp/B00JRV7CY0/ref=sr_1_1?s=digital-text&ie=UTF8&qid=1398181341&sr=1-1&keywords=Van+gogh+durera+toujours

Yes je suis contente!!!

http://www.artmajeur.com/fr/art-awards/174547/francoise-aubert-moreau

Merci à vous tous qui avez voté pour moi!!!!

Cela fait chaud au coeur 

Belle journée

Congratulations !
Your web site has been reviewed by our team members and we have decided
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Je l'ai lue dans le regard de mes proches qui ont regardé mon travail, mais elle n'est peut être pas forcément partiale.

Je ne pourrais pas déceler un éclat de plaisir dans vos yeux, ou une moue rébarbative, à travers l'écran, ce sera donc à vous si vous avez éprouvé une émotion de me le faire savoir en me notant avec les petits pouces roses, ou en m'inscrivant une appréciation sur le livre d'or.

Tous les gouts sont dans la nature et ce qui me plait beaucoup, ne vous attire peut-être pas forcément ou vous est carrément rébarbatif.

Nous sommes tous différents et nos perceptions également.

Heureusement sinon le monde serait bien fade!!!

A vous donc...

Mes créations en exemplaire unique sur clé USB, ou sur carte SD et vous les imprimez à votre goût.

Me contacter.

Merci

Bonjour,
Vous me découvrez ici telle qu'elle, sans fard d'aucune sorte, comme j'aime l'être, dans ma tenue spéciale Méailles, assise sur les escaliers que les générations de mes ancêtres ont usés et ou j'ai élimé beaucoup de pantalons.
C'est la coutume ici.
Je n'aime pas beaucoup parler de moi, alors en quelques mots :
Je me qualifie souvent intérieurement de "guerrière pacifique", non que j'ai un caractère belliqueux, mais parce que je lutte sans merci contre moi-même et désire toujours dépasser mes limites. Il faut que" je fasse et fasse encore" , pied de nez au négatif

Mais je garde espoir, il faut se battre, ne pas se laisser aller, faire quelque chose de ses dix doigts pour s'occuper l'esprit et ne pas penser.
Voilà le raisonnement qui m'a conduit à me remettre à créer. Après avoir passé le plus clair de mon temps libre à rechercher mes ancêtres dans les registres en noir et blanc, j'avais besoin d'un peu de couleur.

Pour ceux qui veulent en savoir plus :

Mes recherches généanet

https://gw.geneanet.org/framboise04

et ma page facebook Méailles Passé Présent

https://www.facebook.com/337849582910803/photos/a.393653040663790/393653047330456/

J'espère progresser dans ma démarche créative, vos observations et vos conseils sont les bienvenus, car la critique est constructive.

Oh, beaucoup de "je"...
Que dire encore... j'aimerais que tout le monde soit heureux dans le meilleur des monde, sans guerre, famine ou misère, je suis pour la paix, l'égalité entre tous les hommes, je crois que je suis assez tolérante... Utopiste et rêveuse...
Bon stop,assez parlé, une chose encore , mes amis m'appellent Framboise

photos/cultureinside/sets/72157625217608987/with/5182170011/

Je ne me souviens plus de la date exacte de la photo qui est de mauvaise qualité. Nous avons pensé à prendre ce cliché lors du choix des toiles à exposer, alors que la plupart étaient déjà dans le coffre, et les lumières éteintes. Et je n'ai que celle-ci....
Sur cette photo vous pouvez voir au premier plan , deux sculptures.
Celle à droite de la photo est Eléa,
Celle de gauche La Gardienne. En effet de toute cette série c'est la seule qui possède une tête et qui veille sur tout le troupeau de femmes ailées au nombre de huit si je me souviens bien, qui se sont éparpillées un peu partout et dont il ne me reste que 3 spécimens.

Lorsque j'ai commencé à sculpter, j'avais une idée en tête, bien particulière.
J'errais entre l'éternel combat du cœur et de la raison, sachant qu'un jour ou l'autre, et malgré l'éducation stricte que j'avais reçue, il faudrait que je m'en affranchisse, si je voulais avancer.
Donc après maintes réflexions, j'en suis arrivée à la conclusion, que les femmes devaient êtres libérées de toutes leurs entraves, et que le cœur parle et agisse en laissant la raison de côté de temps en temps.
(C'est ma conviction , aujourd'hui encore)

J'ai donc entrepris de sculpter des bustes de femmes ailées, et sans tête, non pas parce que nous femmes n'avons pas les neurones aussi développés que ceux des hommes, mais parce que le cœur était devenu le siège des émotions et des décisions à prendre.

ELEA, Première de mes sculptures :

Mon nom est Eléa, à l'origine, je n'étais qu'un bloc de béton cellulaire qui dormait tranquille dans un entrepôt de matériaux. Un jour une nana est venue me réveiller, m'a observé sous toutes les coutures pour voir si je n'avais pas de failles. Puis délicatement elle m'a enveloppé dans une couverture et fourré dans le coffre de sa voiture.
Le voyage n'a pas été long et je me suis retrouvée quelques minutes plus tard dans ses bras, franchissant la porte de son appartement.

Elle m'a déposé sur sa table de cuisine, a dessiné quelques rapides traits avec un gros crayon de menuisier et a commencé à me grattouiller de ci de là avec une râpe à bois.
Elle avait mis de la musique et je me laissais faire, contente que l'on me chatouille.
De temps en temps je l'entendais râler, toute seule, dans son nuage de poussière.
Elle s'arrêtait un instant, me contemplait, se passait la main dans ses cheveux, buvait un verre d'eau et reprenait son travail, et moi je prenais vie petit à petit. Je naissais et elle vieillissait au fur et à mesure qu'elle râpait.
Elle devenait petite vieille à la chevelure blanche, mais n'en avais cure.

"Tu seras basique, étroite, juste une ébauche d'ailes", l'entendis je murmurer, tandis qu'elle s'affairait autour de moi me tournant et retournant, dans tous les sens


Elle me caressait en éliminant la poussière accumulée dans les parties creuses.

Elle jeta un rapide coup d'œil à sa montre et hocha la tête, l'air ennuyé.
"5 heures déjà" ronchonna-t-elle, il va falloir que j'arrête. Mais elle se mit à râper plus vite, et d'un coup un petit cri jaillit, sur ses doigts du sang perla....

Elle jura, puis continua son travail encore un moment, et d'un coup laissa tomber son outil sur la table.


'Fini ma petite me dit-elle, tu resteras comme ça. Allez à la douche, faut être belle pour Paikan".

Voilà l'histoire d'Eléa qui n'a pas trouvé de Paikan mais qui l'attend toujours toute seule cachée dans la montagne.

Rob Fairder Evocation 1995

« Elle maniait ses brosses et spatules avec dextérité et rapidement, debout, toujours.
Souvent sans chevalet, sa toile ou son panneau de bois directement adossés au mur , et lorsque la musique de Lennon , Janis Joplin, ou Hendrix au maximum des décibels n'envahissait pas la pièce, je pouvais percevoir le raclement de l'outil sur le support.
Alors en silence pour ne pas troubler son inspiration par ma présence, je m'adossais au chambranle de la porte, et l'admirait.
Flexible et mince, rejetant souvent sa crinière en arrière d'un mouvement de tête, elle mélangeait ses couleurs et en quelques instants la magie opérait et illuminait la toile.
Vite, il fallait qu'elle aille vite.
Elle reculait d'un pas, souriait ou grimaçait parfois, puis se ravisant touchait du doigt cette matière encore humide. Plus que les lois de la perspective et l'académisme, elle jouait avec les couleurs et textures ,et ne pouvait pas, à un moment ou un autre du travail, se retenir de toucher, une fois, deux fois dix fois...
Et lorsque je lui en faisait la remarque elle rétorquait spontanément que c'était ses émotions qu'elle tenait à faire passer dans ses oeuvres et qu'elle avait un besoin impérieux de la toucher cette matière. 
Je ne répliquais pas, j'aimais la vie dans ses toiles »

Cela c'était hier.
Le passé, la jeunesse, le bonheur, un autre monde démoli à grands coups de masse.
Il est vrai que plus le support était dur, et plus grand était mon plaisir, il m'est même arrivé dans certains abstraits de le griffer à l'aide d'une pointe.
Vrai aussi que j'allais vite et qu'il m'est arrivé en bonne période de faire plusieurs toiles dans la journée, je travaillais alors en silence et la peinture devenait méditation...

Aujourd'hui, de nouvelles possibilités de création s'offrent à nous, bien sur l'approche est différente, plus impersonnelle, moins émotionnelle, et pourtant le jeu est prenant, et je m'attache de plus en plus à ma petite souris bleue.
Alors si vous passez par ici , faites moi part de vos suggestions, remarques et commentaires, comme le faisait Rob.
Merci par avance et Bonne visite.