15 oeuvres par Anton Solomoukha (Sélection)
Télécharger en PDFPetit Chaperon Rouge 01 = 7 exempl. • 15 oeuvres
LIntemporelle Petit Chaperon Rouge.[...]
LIntemporelle Petit Chaperon Rouge.
«Lhumour prend la relève du sublime. C'est le sublime qui est mort avec son emphase».
T.Pavlov.
I
...................Le monde moderne a de grande capacité à prodiguer les concepts universelles, les utopies fascinantes, et en même temps est impuissant à les réaliser. Cependant, l'univers démodé est très riche en contradiction et confortable dans sa possibilité d’offrir le maximum d’isolement contre nos semblables, l’encontre de soi, le plaisir de la solitude.
.....................Au début de XXI siècle, en pleine maturité artistique, je me suis borné à chercher l’équilibre après une courte catastrophe sentimentale, qui épuisa (ou presque) mes ressources d’autodestruction, ma foi aux penseurs crépusculaires, aux arts plastiques, modernes, contemporaines, aux styles (kitch, éclectique et néo-pop), peinture figurative, narrative, etc. etc. Plutôt agacé, que désespéré par le deuil de cette affaire, je me suis noyé dans la recherche de la psychologie de composition. Thématique qui m’attirait déjà à l’école des beaux-arts. L’immunité contre le renoncement, je l’ai puisé dans ma passion pour l’art de la Renaissance et le Baroque, époques remplies des disciples de sagesse, sainteté et l’hygiène, des cieux, des « chien céleste », des faux-fuyants (Anges – réactionnaires). .Certains me prenaient pour un fou-crispé, idolâtre du malheur, qui resuçait sans cesse quelques idées, trouvant le refuge dans les fantasmagories sexuelles, orgueilleux sans réserves… Jai été comparé par la presse à un fétichiste des blessures symboliques, à un pédestrologue-hétéromaniaque .. L’homme vermoulu, le penseur d’occasion.
...................En réalité je connais très peut la vie des «Jeunes Normos». La chaleur de l’amitié, de la famille, les pratiques collective, lengagement associatif, la lute pour les causes religieuses ou progressistes, tout le répertoire de caractère universaliste, révolutionnaire, complaisant … respect même de la vie humaine ... tout ça, même si ça peut paraitre blasphématoire, désacralisant ou tout simplement débile, n’a pas pour moi d’attirance vitale, ni de passion. Face à face avec ma propre histoire de marginale miraculé (sauvé, pourtant, par l’absence de gout pratique et attirance pour l’occultisme). Surement pas Saint, mais pas non plus amère. La vie sans objet ni intérêt, mais aussi sans amertume. Le miracle de ma guérison subite – le rencontre avec une belle et énigmatique jeune femme, presque enfant, au nom bizarre mais significatif : Modèle.
II
..................Modèle : Visages de la Décadence. Superbe espèce ! Vierge, échappée d’une récréation de partouse, pleine d’inquiétude de la conscience du malheur de l’inutilité... Son apparition mentale, hermétiquement pictorialiste reflétait ses origines d’Agonisante : transgression, par au moins 3 générations de spécimens , (pas si rares) profondément blessés par la réalité . - Réalité, objective, puissante, matérielle et parfumée, positif et optimiste, si vénérer par la race opposée portant des gènes romantiques des Engages Perpétuelles . La première fois, que nous échangeâmes les préssentiments de nos potentielles vampiriques, je lui promis une photographie qui mettrait en évidence son pouvoir métamorphosiaque. Elle sengagea à poser en qualité originelle. En préparant la prise de vue, jai réalisé qu’elle serait apte d’affronté mes fantasmes visuels bien précis. Hantise de l’essentiel m’aider à évitée les pièges de la banalité. Le rôle romantique, pathétique ou naturaliste la rendrait grotesque. La précision glacé hyperréaliste , sentait le mauvais chapitre d’un roman de gare. L’idée de Mise-en-scène m est venue, quand elle essaya le petit bonnet rouge entre 2 grand miroirs en devenant Multiple. La fantasmagorie est devenue réalité (virtuelle).
.....................J’ai arrêté mon choix sur le grotesque « reproduction » photographique de l’art académique transposé (sublimé) stylistiquement. Mes mises-en-scènes pastichant les toiles des maîtres! L’inventaire sarcastique des Lolitas crapuleuses, le sens même des fétiches culturels, pin-up esthètes, Barbies corruptrices. Je simulais de cultiver le mauvais gout, mais l’artifice des «tableaux vivant » accentue, objectivise la mission occulte des chefs d’œuvres. La patine nostalgique des tableaux, l’univers démodé - viole par décadence arrogant de mes idées cachez les surprises. L’obsession du corps et du travestissement finissent par éclipser le modèle. Le rituel savamment exécuté, suggère une merveille du vice dans le cadre verrouillé de l’atelier. Les rôles et les costumes défilent, perruques blondes, brunes, rousses, l’art de rendre la mémoire fosse noyés dans l indifférence.
III
..................«On reprend : un miroir accroché au mur noir, une table sans pied, posée directement par terre, un corps nue, parfaitement blanc tête voilée, les étincelles dans les yeux noires sous les sourcilles en voutes. Dans leur confrontation, les diverses éléments de cet ensemble, s’affirment sous trois aspects au moins : Condition de la tragédie. Un noir mat presque velours de fond et parterre un noir profond, intense, qui en dématérialise et métamorphose les surfaces, les transforme en espace donc profond est impalpable, un noir comme une cendre de couleur, comme une monochromie obsessionnelle, un noir qui renvoie invariablement les corps tridimensionnels vers l’image et l lumière... Il y a du noir chez Anton, qui, comme le cimetière des définitions, comme la gamme du vide, comme le deuil des rêves - ébauche une fiction ».
A.S. Moscow, 2005.
«Lhumour prend la relève du sublime. C'est le sublime qui est mort avec son emphase».
T.Pavlov.
I
...................Le monde moderne a de grande capacité à prodiguer les concepts universelles, les utopies fascinantes, et en même temps est impuissant à les réaliser. Cependant, l'univers démodé est très riche en contradiction et confortable dans sa possibilité d’offrir le maximum d’isolement contre nos semblables, l’encontre de soi, le plaisir de la solitude.
.....................Au début de XXI siècle, en pleine maturité artistique, je me suis borné à chercher l’équilibre après une courte catastrophe sentimentale, qui épuisa (ou presque) mes ressources d’autodestruction, ma foi aux penseurs crépusculaires, aux arts plastiques, modernes, contemporaines, aux styles (kitch, éclectique et néo-pop), peinture figurative, narrative, etc. etc. Plutôt agacé, que désespéré par le deuil de cette affaire, je me suis noyé dans la recherche de la psychologie de composition. Thématique qui m’attirait déjà à l’école des beaux-arts. L’immunité contre le renoncement, je l’ai puisé dans ma passion pour l’art de la Renaissance et le Baroque, époques remplies des disciples de sagesse, sainteté et l’hygiène, des cieux, des « chien céleste », des faux-fuyants (Anges – réactionnaires). .Certains me prenaient pour un fou-crispé, idolâtre du malheur, qui resuçait sans cesse quelques idées, trouvant le refuge dans les fantasmagories sexuelles, orgueilleux sans réserves… Jai été comparé par la presse à un fétichiste des blessures symboliques, à un pédestrologue-hétéromaniaque .. L’homme vermoulu, le penseur d’occasion.
...................En réalité je connais très peut la vie des «Jeunes Normos». La chaleur de l’amitié, de la famille, les pratiques collective, lengagement associatif, la lute pour les causes religieuses ou progressistes, tout le répertoire de caractère universaliste, révolutionnaire, complaisant … respect même de la vie humaine ... tout ça, même si ça peut paraitre blasphématoire, désacralisant ou tout simplement débile, n’a pas pour moi d’attirance vitale, ni de passion. Face à face avec ma propre histoire de marginale miraculé (sauvé, pourtant, par l’absence de gout pratique et attirance pour l’occultisme). Surement pas Saint, mais pas non plus amère. La vie sans objet ni intérêt, mais aussi sans amertume. Le miracle de ma guérison subite – le rencontre avec une belle et énigmatique jeune femme, presque enfant, au nom bizarre mais significatif : Modèle.
II
..................Modèle : Visages de la Décadence. Superbe espèce ! Vierge, échappée d’une récréation de partouse, pleine d’inquiétude de la conscience du malheur de l’inutilité... Son apparition mentale, hermétiquement pictorialiste reflétait ses origines d’Agonisante : transgression, par au moins 3 générations de spécimens , (pas si rares) profondément blessés par la réalité . - Réalité, objective, puissante, matérielle et parfumée, positif et optimiste, si vénérer par la race opposée portant des gènes romantiques des Engages Perpétuelles . La première fois, que nous échangeâmes les préssentiments de nos potentielles vampiriques, je lui promis une photographie qui mettrait en évidence son pouvoir métamorphosiaque. Elle sengagea à poser en qualité originelle. En préparant la prise de vue, jai réalisé qu’elle serait apte d’affronté mes fantasmes visuels bien précis. Hantise de l’essentiel m’aider à évitée les pièges de la banalité. Le rôle romantique, pathétique ou naturaliste la rendrait grotesque. La précision glacé hyperréaliste , sentait le mauvais chapitre d’un roman de gare. L’idée de Mise-en-scène m est venue, quand elle essaya le petit bonnet rouge entre 2 grand miroirs en devenant Multiple. La fantasmagorie est devenue réalité (virtuelle).
.....................J’ai arrêté mon choix sur le grotesque « reproduction » photographique de l’art académique transposé (sublimé) stylistiquement. Mes mises-en-scènes pastichant les toiles des maîtres! L’inventaire sarcastique des Lolitas crapuleuses, le sens même des fétiches culturels, pin-up esthètes, Barbies corruptrices. Je simulais de cultiver le mauvais gout, mais l’artifice des «tableaux vivant » accentue, objectivise la mission occulte des chefs d’œuvres. La patine nostalgique des tableaux, l’univers démodé - viole par décadence arrogant de mes idées cachez les surprises. L’obsession du corps et du travestissement finissent par éclipser le modèle. Le rituel savamment exécuté, suggère une merveille du vice dans le cadre verrouillé de l’atelier. Les rôles et les costumes défilent, perruques blondes, brunes, rousses, l’art de rendre la mémoire fosse noyés dans l indifférence.
III
..................«On reprend : un miroir accroché au mur noir, une table sans pied, posée directement par terre, un corps nue, parfaitement blanc tête voilée, les étincelles dans les yeux noires sous les sourcilles en voutes. Dans leur confrontation, les diverses éléments de cet ensemble, s’affirment sous trois aspects au moins : Condition de la tragédie. Un noir mat presque velours de fond et parterre un noir profond, intense, qui en dématérialise et métamorphose les surfaces, les transforme en espace donc profond est impalpable, un noir comme une cendre de couleur, comme une monochromie obsessionnelle, un noir qui renvoie invariablement les corps tridimensionnels vers l’image et l lumière... Il y a du noir chez Anton, qui, comme le cimetière des définitions, comme la gamme du vide, comme le deuil des rêves - ébauche une fiction ».
A.S. Moscow, 2005.
"Petit Chaperon Rouge 01 Botticelli"
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"Petit Chaperon Rouge 05 Delacroix"
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"Petit Chaperon Rouge 09 Matisse"
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"Petit Chaperon Rouge 13 L.Di Credi"
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"Petit Chaperon Rouge 02 caravaggio"
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"Petit Chaperon Rouge 06"
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"Petit Chaperon Rouge 10 Titien"
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"Petit Chaperon Rouge 14 Giogione"
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"Petit Chaperon Rouge 03 Pollaiolo"
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"Petit Chaperon Rouge 07 Di Cosimo"
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"Petit Chaperon Rouge 11 Velasquez"
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"Petit Chaperon Rouge 15 Cranach"
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"Petit Chaperon Rouge 04 Courbet"
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"Petit Chaperon Rouge 08 Titien"
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"Petit Chaperon Rouge 12 Veronese"
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