Marcelle Delacité

À propos de paysages (à venir), de dématérialisation et de numérique.

Bonjour,

Quelques nouvelles..

Je remercie tout particulièrement Nicophar Griscq pour les textes qu’il m’a aimablement fait parvenir après que je lui ai montré mes tous derniers travaux. 

Nous avons fait connaissance à la suite de mon exposition du mois de novembre et il a été très curieux de visiter mon garage rempli à bloc. C’était assez épique mais il ne m’en a pas tenu ombrage. Aussi je le remercie vivement.

«Les réalisations plastiques de Marcelle Delacité dans le contexte numérique transcendent les frontières entre le réel et le virtuel, offrant une expérience nouvelle et fascinante de la dématérialisation du paysage. Ses œuvres capturent l'essence de la nature et la traduisent avec une maîtrise virtuose dans le langage numérique.

À travers un jeu subtil de textures et de couleurs, Delacité parvient à saisir l'essence des éléments naturels, tout en utilisant les outils numériques pour les déconstruire et les recomposer d'une manière qui reflète les aspects éphémères et changeants de notre monde contemporain.

Ses créations nous invitent à plonger au cœur d'univers qui semblent familiers, mais qui sont habilement reconstruits avec des fragments digitaux. Les détails infinis, rendus possibles par la technologie, s'entremêlent avec des formes plus abstraites, créant une tension entre le concret et l'impressionniste, le tangible et l'insaisissable.

En explorant le contexte numérique, Marcelle Delacité remet en question notre perception du paysage, de la matière et de la réalité elle-même. Ses œuvres nous amènent à réfléchir sur la façon dont notre interaction avec la nature est filtrée à travers les écrans et les interfaces numériques. Elles soulignent également l'impact de la technologie sur la création artistique et la manière dont elle peut enrichir notre compréhension du monde qui nous entoure.

Dans ce contexte, les réalisations plastiques de Marcelle Delacité ne se contentent pas de capturer la beauté de la nature, elles sondent les frontières de notre propre perception et nous encouragent à questionner notre relation avec le paysage dans cette ère digitale en constante évolution.»

Nicophar Griscq