ROBERT GIBSON
Né à Dunoon Écosse en 1948, Robert Gibson est artiste peintre de formation et se spécialise dans la peinture à huile depuis plus de cinquante ans. Il a fait des études supérieures d’arts plastiques à l’école des Beaux Arts de Farnham, Surrey, Angleterre, puis de Maidstone, Kent, Angleterre dans les années soixante, soixante-dix.
Ses inspirations sont variées, allant du nu au monde de l'art ainsi que du sport en passant par la mode et la littérature. Esthète comme le sont tous les artistes, le monde qui l'entoure est une source d'inspiration. Son education classique se reflète dans sa peinture de nus, qui requière une maitrise particuliere afin d'illustrer l’influence de la lumière et l'environnement sur les modèles peints.
Présenté par 3 Galeries d'art ou Groupes
Debetum
(Association d'artistes, États-Unis)
NovAtlantis FLAI
(Galerie d'art, Italie)
Decorative Selected Assets
(Galerie d'art, Autriche)
ROBERT GIBSON
Né à Dunoon Ecosse en 1948
1965 : Baccalauréat, mentions arts graphiques.
1965 -1971 Etudes supérieurs d’arts plastiques à l’école des Beaux Arts de Farnham Surrey, Angleterre, puis de Maidstone, Kent, Angleterre.
1971 : Diplôme supérieur d’arts plastiques.
1972 : CAPES d’arts plastiques.
1973-1974 : Enseignant en collège à Londres.
1975 : rencontre une française et quitte Londres pour Marseille.
Expositions collectives : Marseille, Aubagne, Annonay, Le Puy, Crest, Valence.
2007 : Expositions collectives avec l’association « Partage des Arts » Chabeuil, Valence.
Mes portraits de femmes sont davantage le reflet de mes états d’âme qu’une représentation fidèle des modèles. Ce sont en quelque sorte mes paysages intérieurs. Ainsi, je n’ai pas besoin de travailler directement en présence du modèle. Je préfère découvrir dans une photographie une sensation à partir de laquelle je peux élaborer. Je choisis souvent comme point de départ un regard, une expression ou la photo d’une actrice en train de travailler une émotion, comme par exemple l’angoisse ou la peur.
Période Jaune 2000-2007
Elle m’a été inspirée par l’Abbatiale de Conques puis par les cartes de tarot. Elle coïncide avec le besoin que je ressens actuellement de simplifier, d’épurer mon travail. Dans les premiers couples de la série j’ai utilisé quelques motifs représentatifs de l’Art Nouveau écossais, en clin d’œil aux artistes du début du vingtième siècle.
